Partenaire incontournable dans la reconstruction de la Rdc: CREC 7 derrière les 100 jours de F. Tshisekedi
Maintenant que le Président de la République a lancé son programme de 100 jours pour la réhabilitation et la construction des infrastructures, CREC 7, partenaire incontournable dans la reconstruction du pays, et qui accompagne le Gouvernement congolais depuis plus de 9 ans, se sent interpellée pour poursuivre l’œuvre de la reconstruction de la Rdc. Pour ce faire, elle a, par l’entremise de son Directeur général adjoint, le Dr Stéphane Mundadi, représentant le Directeur général, M. Li, rassuré de manière solennelle le Président de la République que CREC 7 se tiendra à ses côtés pour concrétiser son rêve, celui de faire du Congo, le paradis de demain.
Très présente dans la réalisation du Programme d’urgence que le 5ème Président de la République Démocratique du Congo, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, qu’il a dévoilé, le 2 mars dernier, à Kinshasa, le moment était venu pour cette entreprise de se dévoiler aux Congolais et d’apporter la lumière sur plusieurs allégations infondées, développées par ceux qui ont du mal à supporter l’expertise et le matériel utilisé par cette entreprise, dans la réhabilitation des routes lui confiées par les Gouvernements central et provincial. Et pourtant, CREC 7 reste et restera le témoin de l’accélération que Félix Tshisekedi veut donner à la reconstruction du pays depuis son accession à la magistrature suprême. Ce programme, rien qu’à le parcourir, donne la part belle aux infrastructures sur l’ensemble du territoire national.
Chaque jours qui passe, CREC 7, ensemble avec tous les ingénieurs chinois, se voit interpeller par cette phrase du Chef de l’Etat prononcée lors du lancement de son programme de 100 jours : « Sans les infrastructures de base, la reconstruction du pays restera un mirage et un slogan politique », et de poursuivre : « Nous sommes capables de construire plus de 5 000 km de routes dans les 5 prochaines années », voilà une interpellation, mieux une invitation pour l’émergence du Congo.
Que fait CREC 7 sur le terrain ?
CREC 7, partenaires incontournables dans la reconstruction du pays, et qui accompagne le Gouvernement congolais depuis plus de 9 ans, s’est sentis interpellée pour poursuivre l’œuvre de la reconstruction de la RDC. « Nous voulons ici et d’une manière solennelle, rassurer, son Excellence Monsieur le Président de la République à qui nous rendons un hommage mérité, que Crec 7 se tiendra à ses cotés pour concrétiser son rêve de faire du Congo, le paradis de demain », a indiqué le Dr Mundadi lors de ce point de presse, avant d’ajouter que notre soutien inconditionnel est total, il peut compter sur le soutien du Gouvernement de la Chine à travers Crec7 dans la reconstruction et l’investissement des projets des infrastructures routières en RDC.
Et de renchérir que CREC7, est capable avec son expertise, ses ingénieurs qualifiés de réhabiliter, construire, entretenir les ouvrages comme les routes, ponts, bacs. « Nous sommes déjà à pied d’œuvre et je vous assure que depuis le lancement de cet ambitieux programme par le Chef de l’Etat des travaux d’hercule à travers le pays, sont en pleine exécution », dit-il, avant d’ajouter que nous effectuons des travaux de réhabilitation des voiries dans les provinces du Kongo Central avec la construction de la route Songololo-Lufu, longue de 13 kilometres qui sera suivi de son asphaltage dans le plus bref délai.
A ces jours, les travaux avancent au pas de géant et 8 kilometres sont dejà stabilisés. Pendant ce temps, les camions de Crec 7 entassent les graviers pour le demarrage de bitumages, je rappelle ici que c’est à la demande expresse du Chef de l’Etat. Toujours dans le Kongo Central, il vous souviendra que le Président de la République s’était déplacé lui-même au mois d’avril, pour lancer les travaux d’asphaltage de la Route Boma-Moanda et Boma –Matadi, là encore.
A Kinshasa, à la demande expresse du Père de la nation, Félix Antoine Tshisekedi, notre entreprise, est intervenue sur l’érosion Arret zappé, Dumez et maman Koko. A Mbuji-Mayi et Kananga, toujours dans le cadre du programme de 100 jours, il a été demandé à notre entreprise de réhabiliter 93 kim partant de Mbuji-Mayi au lac Munkamba et 103 km de Tubuluku au Lac Mukamba.
Pas de différend entre la DGM et CREC 7
Lors de cet échange avec la presse, celle-ci a voulu savoir s’il y avait un différend entre CREC 7 et la Direction générale de migration (DGM). Avant de se faire compléter par l’avocat de l’entreprise, le Dr Mundadi a expliqué que la route Kananga-Kalambambuji n’existait pas depuis l’indépendance du pays. Celle-ci a été créée par CREC 7 qui avait décidée de la financer à 100%. C’est dans ce cadre que plus de 25 millions seront déboursés. Et ce, même si CREC 7 devait se financer via le paillage.
Pour l’avocat, cette affaire a été créée de toutes pièces et il n’y a jamais eu un seul différend entre la DGM et CREC 7. Il a quand même rappelé que CREC 7 devait construire les bureaux de la Direction provinciale de la DGM à Kananga. Mais en présence du Directeur général d’alors de la DGM, une convention avait été signée et une somme de 302 millions de dollars Us devait être versée à CREC 7. Mais la DGM va seulement avancer 2.000 dollars Us pour le nettoyage de la route. Et depuis lors, aucun rond n’a été versé. Curieusement, constate l’avocat-conseil de cette entreprise, la DGM va initier une action contre CREC 7 par saisie de ses comptes. Même cette saisie sera levée plus tard, les ennemis de CREC 7 vont intenter une autre action contre le Directeur général adjoint, pendant qu’il ne s’agissait pas d’une personne physique, mais morale ! Chose étonnante ! Ils ne vont pas s’arrêter là, ils intenteront une autre action contre le DGA, prétextant un faux et usage de faux. Cette affaire sera déclarée non établie.
Signalons que toute gymnastique a été faite dans le but non seulement de pousser CREC 7 à fermer boutique, mais aussi de permettre aux concurrents de récupérer le matériel de cette entreprise dont le capital est détenu à 100% par la Chine. C’est donc un coup donné aux efforts pour l’amélioration du climat des affaires et au projet de 100 jours du Président de la République. Et pourtant, il est démontré au niveau de la Banque mondiale que le climat doit être assaini, pour permettre aux privés d’investir dans la réhabilitation des infrastructures.
Quid de la qualité des routes
A cette préoccupation, le Dr Stéphane Mundadi a démontré que dans beaucoup de cas, le problème réside dans le chef des Congolais. Ce sont eux qui commandent des marchés, sans pour autant payer la contrepartie et CREC 7 aligne plusieurs chantiers exécutés sans que le Gouvernement de la République ait payé ne fût-ce qu’un seul franc. C’est l’exemple de tous les aménagements de la Cité de l’Union africaine.
Et pourtant, lorsque CREC 7 obtient un marché, fait une étude et tout est validé. Mais si le Gouvernement ne paye pas et qu’il y a une pression populaire, l’entreprise va travailler de sorte à donner aux Congolais ce qu’ils demandent. Et c’est tout à fait normal que la qualité puisse en pâtir, nonobstant sa volonté à mieux faire.
Jean-Marie Nkambua