My Weblog: kutahya web tasarim umraniye elektrikci uskudar elektrikci umraniye elektrikci istanbul elektrikci satis egitimi cekmekoy elektrikci uskudar kornis montaj umraniye kornis montaj atasehir elektrikci beykoz elektrikci

404 Error – page not found
We’re sorry, but the page you are looking for doesn’t exist.
You can go to the Page Accueil

NOS RÉCENTS ARTICLES

par
0 514

Alors qu’ il fait partie de la délégation officielle qui accompagne Joseph Kabila à New-York pour la traditionnelle assemblée générale de l’ ONU dont les travaux s’ ouvrent le mardi prochain, Barnabé Kikaya, conseiller diplomatique du chef de l’État congolais s’ est vu confier  une autre mission, convaincre Washington  à renoncer aux résolutions des sanctions ciblées en chantier à la chambre des représentants  contre certains dirigeants congolais.

Les militants du Rassemblement des forces politiques et sociales acquises au changement  seront bel et bien dans les rues de Kinshasa, le  lundi, 19 septembre 2016. Mais contrairement au plan initial, les manifestants en  ne se rendront plus en masse au siège de la Ceni pour y observer un sit-in.

Lors d’ une réunion tenue ce samedi au siège du parti Fonus, Rassemblement et gouverneur de la ville se sont plutôt accordés sur l’ organisation d’ une marche pacifique qui sera sanctionnée par un meeting. D’après l’ accord trouvé entre les organisateurs et l’ hôtel de ville,  la marche devra partir de l’ échangeur de limeté à la 17émè rue pour chuter sur le boulevard triomphal.

Satisfecit pour André Kimbuta qui salue sa politique de proximité. « J’avais promis le jeudi de venir vers les opposants pour la mise au point. Il faut aller vers les administrés. Ils sont tous administrés », déclare le gouverneur de la ville qui se réjouit du consensus qui s’ est dégagé entre les deux parties.

« C’est seulement aujourd’hui que je confirme que je vais prendre acte de la marche du Rassemblement. Nous nous sommes mis d’accord que la marche partira de la place de l’ Echangeur jusqu’au Boulevard Triomphal », explique t-il.

Le compromis trouvé prévoit que les manifestants rempruntent les avenues de la Libération, Kalembelembe et Kasavubu avant de déboucher sur le point de chute. Seule, une petite délégation du rassemblement a été autorisée à se rendre au siège de la Ceni  après la manifestation pour y déposer le mémorandum.

André Kimbuta qui tient à l’ itinéraire convenu place ainsi les organisateurs devant leurs responsabilités. « Il n’ y aura pas de sit-in», insiste le gouv. Le plus important renchérit-il, c’ est « la marche et le meeting qui seront organisés ».

Jean Pierre Kayembe

 

 

Moïse Katumbi  a annoncé, vendredi dernier, dans les réseaux sociaux, son grand retour en RDC, en s’appuyant sur une correspondance positive du Haut-Commissariat aux Droits de l’Homme à son nouvel avocat, Maître Dupond Moretti. Ce dernier avait saisi son comité en vertu du Protocole facultatif se rapportant au Pacte international relatif aux droits civils et politiques. Moïse Katumbi sollicitait son retour au pays en qualité de candidat à la présidence de la République et prétendait que l’Etat congolais l’en empêchait. Le Haut-Commissariat aux Droits de l’Homme a, par sa lettre sus évoquée, accusé réception de la requête et a, sans juger du fond, demandé aux autorités congolaises de prendre toutes mesures pour ne pas soumettre Katumbi au risque du préjudice irréparable, dans le cas de son retour au pays pour exercer ses droits civils et politiques. L’opposant politique préparerait déjà ses valises. Contrairement aux précédentes annonces de son retour,  qui ont suscité des réactions contradictoires et passionnées, celle-ci semble, curieusement, avoir été bien accueilli par tous. Pourquoi ? Voici une tentative de réponse.

Trois raisons peuvent expliquer cette unanimité apparente

Premièrement. Moïse Katumbi était sous mandat d’arrêt provisoire lorsqu’il quitta le pays. Et ce sur autorisation du Procureur Général de la République, saisi par les avocats de l’ancien gouverneur du Katanga. Ces derniers avait fondé leur requête sur l’état de santé de leur client qui nécessitait, selon eux, une prise en charge immédiate en République sud-africaine. Or, Moïse Katumbi  s’est rendu directement en Europe et a violé certaines mesures d’instructions, assorties à cette exceptionnelle mesure de liberté. Il a, notamment, multiplié des déclarations tapageuses sur l’affaire dite «des mercenaires » pour laquelle il était poursuivi. Ce qui lui était formellement interdit en raison du secret de l’instruction. Puis,  il s’est livré  à des propos diffamatoires envers la justice congolaise, cherchant, à chacune de ses sorties médiatiques, à saper l’autorité et l’image des magistrats congolais. Ainsi, le Procureur Général de la République serait ravi du retour de Moïse Katumbi pour annuler son autorisation de sortie dans un premier temps, sanctionner la violation des mesures assorties à  l’autorisation de sortie, dans un second temps, et enfin, faire poursuivre, par les magistrats désignés, l’instruction de l’affaire des mercenaires par l’interrogation du principal suspect et sa confrontation avec d’éventuels complices.

Deuxièmement. Moïse Katumbi a été condamné à cinq ans de prison, avec arrestation immédiate, dans une autre affaire, celle de la spoliation d’un immeuble, situé à Lubumbashi et appartenant à une famille grecque, représentée par Emmanouil Stoupis. Le retour au pays de Katumbi lui permettra d’assumer ses responsabilités et de favoriser une bonne administration de la justice. Ainsi, en exécution de sa condamnation, Moïse Katumbi sera arrêté, dès sa descente d’avion, puis conduit en prison, d’où il exercera ses voies de recours, indispensables pour solliciter une mise en liberté conditionnelle. Ceci est la procédure pénale et ne saurait être regardé comme un préjudice irréparable. La présence de Katumbi à la barre, face au grec  Stoupis, permettra à toute la nation d’être fixée sur la nature de  cette affaire, décriée, à  tort par certains, comme étant un procès boutiqué de toutes pièces pour empêcher Katumbitu d’être Président.

Troisièmement. La mesure provisoire par laquelle le Haut-Commissariat aux Droits de l’Homme a demandé aux autorités congolaises de prendre toutes mesures pour ne pas soumettre Katumbi au risque du préjudice irréparable, dans l’hypothèse de son retour au pays pour exercer ses droits civils et politiques, n’est pas encore exécutoire. Elle a été soumise à la réaction de l’Etat congolais, par respect du principe du contradictoire. La RDC, mise injustement en cause, dans cette procédure, a été invitée à faire connaître ses observations sur la forme et, éventuellement sur le fond. Il faut relever ici que, dans cette procédure, la RDC dispose d’un délai de six mois si elle entend répondre à  la fois sur la forme et le fond à la mesure provisoire accordée à Moïse Katumbi. Mais elle ne disposera que de deux mois si elle choisit de ne réagir que sur la forme. Il semblerait que les autorités congolaises ont opté pour une réponse quant à la forme. Elles auraient relevé l’irrecevabilité de la requête de Katumbi devant ce comité, au motif que celui-ci n’a pas rempli la condition indispensable qui exige que le requérant ait épuisé toutes les voies de recours dans son pays avant de se transporter vers cette instance. Il appert, cependant, que toutes les affaires, dans lesquelles Moïse Katumbi est poursuivi, sont encore pendantes devant les juridictions congolaises. Ceci est particulièrement vrai pour les deux affaires, évoquées ci-haut.

Ainsi, la mesure provisoire, dictée à la RDC et favorable apparemment à Moïse Katumbi, encourt, normalement, annulation pour irrecevabilité de la requête devant une instance incompétente. Dans ce contexte, et au lieu de perdre du temps en attendant une décision sur un débat quant à la forme, c’est à juste titre que Moïse Katumbi a suscité un regard bienveillant, de la part de tous les acteurs de la société congolaise, en prenant l’initiative de rentrer au pays afin de se mettre à la disposition de la justice et ainsi épuiser toutes les voies de recours dans les procès intentés contre lui et soutenir personnellement les actions en justice qu’il a, lui aussi, intentées contre plusieurs citoyens, congolais et étrangers.

Eu égard à tout ce qui précède, le retour de Katumbi est une bonne chose pour la justice congolaise et pour lui. Un candidat  à la présidence de la République ne se soustrait pas à la justice de son pays. Toutefois, au regard des risques d’arrestation, consécutivement aux procédures en cours et à l’exécution de sa condamnation à cinq ans de prison, il est fort à douter que Moïse Katumbi soit décidé  à  arrêter sa fuite en avant. Il sait, parce qu’il est, dit-on, assisté par un des meilleurs plaideurs de la France, que la procédure devant le Comité des Droits de l’Homme va être longue. Mais pourquoi a-t-il alors parlé si vite d’un retour imminent. Réponse : Un coup de bluff. Pour quel objectif ? Tester sa popularité. A-t-il été rassuré par les échos tronqués qui lui sont parvenus ? La réponse sera affirmative s’il revient au courant de la semaine. Dans le cas contraire, son annonce n’aura été qu’une démonstration de sa popularité fictive devant l’électorat congolais.

L’Avenir

par
0 7

Pour Lambert Mende Omalanga,  Ministre des Communications et médias, la justice congolaise entend désigner les coupables des massacres dans le Grand Kasaï et que le Gouvernement de la République encourage la justice militaire à rendre justice, sinon rejette toute enquête parallèle venant de la commission d’enquête extérieure. Toutefois, le Gouvernement congolais accepte aide et soutien des bonnes volontés y compris du Haut-commissariat des Nations Unies pour les Droits de l’Homme. Ce, conformément à la procédure et aux Droits judiciaires militaires de la RDC. Sinon, la justice militaire jouit d’une totale confiance du Gouvernement de la RDC pour mener à bon port le procès et désigner les coupables qui ont terni l’image du pays de Patrice Emery Lumumba.

 

 

La République Démocratique du Congo traverse ce dernier temps, une période difficile au regard de l’implication et l’ingérence de l’Occident dans les affaires internes. Des évasions massives dans différentes prisons, au massacre de deux experts des Nations Unies et le phénomène Kamwina Nsapu, autant de questions que ne cesse de se poser l’opinion quant à la déstabilisation des institutions de la République. Sans commune mesure, la main noire venant de l’extérieur est perceptible dans la déstabilisation des institutions de la République. Cependant, pour élucider le malentendu par rapport à l’organisation des élections, au prétendu arrestation du Ministre d’Etat, ministre de la justice Alexis Thambwe Mwamba, puis à l’implication de la communauté internationale à travers une commission d’enquête parallèle, Lambert Mende Omalanga a fixé l’opinion quant à ce. Dans une interview accordée à la Radio France internationale, le ministre des communications et médias juge inopportune la demande de la Communauté internationale d’être associée auxdites enquêtes.

A la question sur les multiples fosses communes et violences perpétrées dans le Grand Kasaï commises par les forces de sécurités et les FARDC, Lambert Mende précise qu’il n’y a pas encore de jugement prononcé quant à ce meurtre contre un responsable, sinon, indique le patron de la Communication, le Gouvernement de la République Démocratique du Congo attend avec impatience les résultats d’enquêtes judiciaires et procédures en pleine instruction. Et d’ajouter qu’il n’y a que les juges qui peuvent désigner le coupable de ces exactions que l’Etat congolais déplore.

S’agissant des propos de Scott Campbell, Monsieur l’Afrique centrale du Haut-Commissariat des Droits de l’Homme qui estime que si les miliciens de Kamwina Nsapu sont désarmés, ils ne représentent aucun danger et qu’il n’est pas acceptable que les militaires tirent à balle réelle, Lambert Mende précise que Monsieur Scott Campbell fait une juridiction parallèle à celles du Gouvernement de la RDC qui travaillent et qui ont leur appui dans le sens d’aider à découvrir la vérité des atrocités qui ont eues lieu dans la province du Kasaï. « Nous espérons qu’il ne se venge pas des ennuis qu’il a eus avec notre administration d’immigration, qu’il a eu maille à partir avec notre administration, lorsqu’il a été éjecté de notre pays pour ce genre de comportement », a indiqué Lambert Mende.

S’agissant de la vidéo de massacres de Mwanza Lomba diffusée officiellement par le Gouvernement de la République, dont le procès s’ouvre à Mbuji Mayi où 9 militaires des FARDC sont impliqués et poursuivis, RFI estime que les services de sécurité sont impliqués dans ce massacre. Lambert Mende fait encore cette mise au point : qu’il faut attendre que la justice désigne les coupables. « Je sais qu’il y a effectivement une procédure qui a cours à la Cour supérieure Militaire de Mbuji Mayi, contre les miliaires qu’on reconnait sur la vidéo de Mwanza Lomba, ils ont tous été arrêtés ; ils ont été déférés devant la justice. Il n’appartient pas à quelqu’un d’autre de désigner les coupables », a-t-il mentionné. Sinon, le patron de la Communication reconnait qu’il y a des militaires suspectés qui sont devant la Cour Supérieure Militaire en raison des atrocités commises dans la province du Kasaï, tout comme il y a des terroristes suspects qui comparaissent devant la Cour Supérieur Militaire de Kananga mais il n’appartient  à personne d’autre que la justice congolaise d’établir les cupables.

Quant au nombre de fosses communes découvertes, soient 40 au total et qu’il faut des enquêtes approfondies, Lambert Mende estime que le Gouvernement de la République Démocratique du Congo est d’accord qu’il soit soutenu par toutes les bonnes volontés, y compris le Haut -Commissariat aux Nations Unies pour les Droits de l’Hommes, à condition que cela soit fait conformément à la procédure régie par les Droits judiciaires congolais. « Vous pouvez en être certain. Il y a mille fosses communes, il y aura mille procédures judiciaires et nous n’arrêtons pas d’en faire des procédures tant qu’il n’y a pas le fin mot des atrocités qui ont déstabilisé sérieusement la partie centrale de notre pays », note le Ministre.

Evoquant l’assassinat le 12 mars dernier des deux experts des Nations Unies, et vu la gravité des faits de ce double assassinat, s’interroge la RFI qui pense à l’arrivée d’une commission d’enquête internationale. Lambert Mende indique que le Gouvernement de la République a accepté l’aide de qui que ce soit y compris celle de la Commission d’enquête internationale, pourvu qu’elle aide la justice congolaise à rendre justice à toutes les personnes qui ont été assassinées dans le Grand Kasaï y compris les deux enquêteurs des Nations Unies.

Toutefois, le ministre juge inappropriée une enquête parallèle à celle de la justice congolaise. Car la République Démocratique du Congo n’est pas sous tutelle de qui que ce soit, et qu’il y a une justice qui travaille au Congo ; la RDC est un pays souverain. Lambert Mende rejette cette enquête parallèle qui ne repose sur aucun fondement et sans raison.

A la question de savoir si l’intronisation du chef coutumier a connu la maladresse des autorités provinciales, Lambert Mende répond en ces termes : « Pourquoi pensez-vous qu’un gouverneur ait été contraint à abandonner son poste et à séjourner à Kinshasa, Monsieur Kande qui est à la disposition de la justice pour cette question-là ? S’il est à Kinshasa, c’est qu’il y a des questions que la justice se pose », a-t-il répondu.

Cependant, à la question sur l’implication de l’ancien vice-premier-ministre, ministre de l’intérieur Evariste Boshab dans les conflits au Kasaï, Lambert Mende indique que l’ancien SG du PPRD n’est pas exempté de donner son témoignage ou apporter une déclaration à la justice.

Pour Lambert Mende, tout le monde peut être obligé d’apporter un témoignage à la justice, si cette dernière juge nécessaire d’inviter telle ou telle personne. Aussi a-t-il fixé l’opinion en ces termes : Donc, cela ne dit pas de ceux que la justice invite, qu’ils sont forcément de coupables.

(Pius Romain Rolland)

par
0 7

La nouvelle nous est parvenue à la Rédaction du Quotidien L’Avenir, à travers le porte-parole de la Nouvelle Classe Politique et Sociale, NCPS en sigle,  c’est qu’aujourd’hui matin, devant le siège de l’Union européenne, les Congolais seront mobilisés pour protester contre la démarche de l’Union européenne contre la République Démocratique du Congo.

Devoir de mémoire oblige, la République Démocratique du Congo victime récurrente de l’ingérence dans ses affaires internes par la Communauté internationale, notamment Washington, Bruxelles, Paris et l’Union Européenne, se sent lésée quant à cette manière de procéder des pays frères et amis du Congo.

Le dernier épisode est celui orchestré par les pays de l’Union européenne, sanctionnant les personnalités et autorités de la République, en plus de l’interdiction formulée contre Alexis Thambwe Mwamba, ministre d’Etat, ministre de la justice et Garde des sceaux du gouvernement Tshibala, interdit de quitter l’espace européen, sous prétexte d’une plainte contre lui qui date de 19 ans.

Ces recrudescences d’ingérence dans les affaires internes de la République au point de dicter la volonté de l’Union européenne à l’organisation immédiate des élections, constituent une violation du Droit international, clament les Congolais épris de la conscience, notamment Steve Mbikayi, ministre de l’Enseignement Supérieur et Universitaire du Gouvernement Bruno Tshibala. Solidarité gouvernementale oblige, l’autorité morale du Parti Travailliste et porte-parole de la Nouvelle Classe Politique et Sociale invite les Congolaises et Congolais à la grande mobilisation devant le siège de l’Union européenne sur le Boulevard du 30 juin, pour protester contre la politique de deux poids deux mesures.

L’opinion nationale et internationale se souviendra que  l’actuel ministre de l’Enseignement Supérieur et Universitaire, Steve Mbikayi s’inscrit dans la logique du respect de la souveraineté de son pays, malgré les divergences qui opposent la classe politique. Connu de la classe politique de l’opposition nationaliste, Steve Mbikayi n’entend pas baisser les bras face à ce qu’il qualifie de néocolonialisme et impérialisme occidental en République Démocratique du Congo,  malgré son appartenance à la classe politique autre que celle du Chef de l’Etat Joseph Kabila. Pour l’élu PT de la Tshangu, la République Démocratique du Congo appartient aux congolais et non aux belges, français, américains, et cela malgré les divergences congolaises. D’où, sa solidarité au membre du Gouvernement Alexis Thambwe Mwamba poursuivi par une plainte qui date de 19 ans, en sa qualité de secrétaire exécutif en charge de Relations extérieures du Rassemblement Congolais pour la Démocratie, RCD au moment des faits. Donc, un responsable politique et non militaire.

Partant, du fait de l’imprescribilité  de l’infraction de crime contre l’humanité, les personnes poursuivies seraient les militaires sur le champ  qui ont porté cette affaire. Et donc, pour avoir répondu à la question d’un journaliste sur cette attaque du missile sur l’avion des Lignes aériennes congolaises, à Kindu, Alexis Thambwe Mwamba, alors un des responsables de la branche RCD, sa déclaration diffusée par la Radio France Internationale ne constitue en rien une infraction.

Donc, cet acharnement de l’occident sur les officiels congolais cache ce que d’aucuns qualifient d’ingérence dans les affaires internes. Cela  constitue une violation du principe même du droit international car, tout Etat souverain jouit de l’égalité au même titre que les pays occidentaux. D’où, la mobilisation de Steve Mbikayi à protester contre l’ingérence de la communauté internationale plus précisément les sanctions de l’Union européenne et la restriction de mouvements imposée au ministre d’Etat, ministre de la justice et Garde des Sceaux, Alexis Thambwe Mwamba. La NCPS entend faire valoir sa voix en faveur des congolais tourmentés par l’occident. Solidarité et fraternité congolaises obligent.

(Pius Romain Rolland )

par
0 10

Le CEPADHO est très préoccupé par l’intensification en ces jours des attaques de la coalition May-May/ADF en Ville et Territoire de Beni. En effet, ces attaques observées depuis l’évasion à la prison centrale de KANGBAYI (à Mukulya, Pabuka et Kabasha, au sud  de la ville de Beni) sont des signes avant-coureurs d’une nouvelle guerre contre les Institutions du pays.

Cette structure constate que, outre le fait que cette barbarie est à la base d’une paralysie des activités socio-économiques sur l’axe routier Beni-Butembo, elle risque d’affecter négativement la passation des Examens d’Etats des finalistes du secondaire dans la Province éducationnelle Nord-Kivu II. Considérant l’impressionnante  logistique (armes et munitions, radios,…) dont fait usage l’ennemi,  d’aucuns restent convaincus que les rebelles bénéficient d’un appui extérieur qui reste à déterminer.

A cet effet notre Organisation, tout en encourageant les FARDC et la MONUSCO dans la contre-offensive réservée aux différentes attaques de la coalition terroriste, alerte le Gouvernement et la Présidence de la République sur l’ampleur de la menace.  A côté de la sécurisation des EXETAT, le CEPADHO attire l’attention des Autorités nationales sur la nécessité de protéger le Grand-nord de la Province du Nord-Kivu (Beni, Butembo et Lubero) et de veiller sur l’aéroport de Mavivi, ainsi la douane de Kasindi qui sont les cibles potentielles de l’ennemi.

(JMNK)

par
0 11

Après avoir bouclé avec brio en un temps record sa navette diplomatique des neuf pays limitrophes de la Rd Congo et désamorcé la veille de son départ la grève structurelle des agents et fonctionnaires du Ministère des Affaires Étrangères, Léonard She Okitundu s’est rendu jeudi 15 juin 2017 à Dakar, capitale du Sénégal où il a porté un message spécial du Président de la République Joseph Kabila Kabange à son Homologue Sénégalais Macky Sall, dont la teneur n’a pas été révélée à la presse.

Au cours de cet entretien qui a duré plus d’une heure, le Président du Sénégal a salué l’initiative de son homologue Congolais qui permet d’avoir “une information crédible” sur la situation en RDC en lieu et place de celle souvent biaisée de certains médias internationaux et des réseaux sociaux. Macky Sall a rappelé que le Congo était un pays africain martyr qui a subi depuis son Indépendance de grandes difficultés suite aux interventions étrangères. Pour lui, son pays étant très attaché au principe de souveraineté des États, il est important que celle de la République Démocratique du Congo soit respectée et préservée.

Macky Sall salue les avancées politiques

Le Président sénégalais a salué les avancées dans le processus politique issu du dialogue politique national, notamment la formation du Gouvernement de Large Union Nationale dirigé par Bruno Tshibala et l’enrôlement qui se déroule normalement avec plus 26 millions d’enrôlés à ce jour, soit plus de la moitié du corps électoral attendu. Il encourage donc cet esprit de consensus national entre toutes les forces politiques et sociales insufflé par la Président Kabila. Pour Macky Sall, “c’est aux Congolais seuls de trouver les solutions et équilibres internes à leur pays. Et cela, à travers le dialogue permanent.

Au sortir de l’audience, le Vice-Premier ministre Okitundu a circonscrit la visite dans le cadre des relations historiques et fraternelles entre les deux pays. En outre, Okitundu a affirmé qu’il était important de rencontrer le Président Sall, car a-t- il rappelé,  le Sénégal occupe un siège de membre non permanent au Conseil de Sécurité des Nations Unies où la situation en RDC est à l’ordre du jour. Sur les relations bilatérales, le Sénégal ayant élevé sa représentation en RDC au rang d’ambassadeur dont l’arrivée est imminente, par réciprocité,  She Okitundu a promis que Kinshasa ferait de même pour consolider les relations entre les deux pays frères.

(JMNK)

par
0 21
A. Atundu, lors d’un passage sur une chaine de télévision

Depuis un certains temps, la toile est alimentée par de fausses rumeurs et autres allégations, faisant état des démêlées judiciaires et l’arrestation dans un pays étranger, de M. Alexis Thambwe Mwamba, ministre d’Etat, ministre de la Justice et Garde des Sceaux et membre du Bureau politique de la Majorité Présidentielle. Et ce, pendant qu’il est en séjour en Belgique dans le cadre d’une mission officielle, et qu’il compte regagner le pays à la première occasion pour  s’acquitter normalement de ses obligations d’Etat.

A en croire André-Alain Atundu qui signe le communiqué, la Majorité Présidentielle saisit cette occasion pour renouveler, d’une part, sa confiance à tous les membres du Bureau politique forcément sollicités dans le contexte actuel et, d’autre part, sa foi au système international de la justice comme instrument de régulation des relations entre Etats de la communauté Internationale. « A ce propos, la Majorité présidentielle rappelle le principe sacré de complémentarité et de subsidiarité de la justice internationale par rapport à la justice nationale des Etats, en l’occurrence à la justice congolaise, tel que consacré par les instruments internationaux pertinents », indique ce document parvenu à la Rédaction du Journal L’Avenir.

Voilà pourquoi la Majorité Présidentielle encourage le Gouvernement de la République à ne ménager aucun effort et à user de tous les moyens juridiques pour rétablir dans leurs droits tous les compatriotes visés par les sanctions dites ciblées, notamment Messieurs Emmanuel Ramazani Shadary, Alexis Thambwe Mwamba, Lambert Mende, Kalev Mutond, Evariste Boshab.

La Majorité Présidentielle condamne absolument la pratique de harcèlement judiciaire comme instrument d’ingérence dans les affaires intérieures d’un Etat, notamment en matière électorale en République Démocratique du Congo, et de gestion des relations entre Etats.  La Majorité Présidentielle exhorte à la retenue pour que la justice joue adéquatement son rôle d’hypotenseur, social.

Visiblement, la nouvelle stratégie de la communauté internationale semble bien marcher. Car selon elle, il faut affaiblir le régime, à travers des mandats d’arrêt et autres sanctions contre les autorités congolaises, à quelques niveaux qu’elles soient, pour les empêcher de poser tout acte tendant protéger  la souveraineté et l’intégrité territoriale du pays. C’est le moment où un sursaut d’orgueil est nécessaire, et un appel à la solidarité doit être lancé, afin de protéger ce qui est cher à tous, la nation congolaise.

(JMNK)