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Alors qu’ il fait partie de la délégation officielle qui accompagne Joseph Kabila à New-York pour la traditionnelle assemblée générale de l’ ONU dont les travaux s’ ouvrent le mardi prochain, Barnabé Kikaya, conseiller diplomatique du chef de l’État congolais s’ est vu confier  une autre mission, convaincre Washington  à renoncer aux résolutions des sanctions ciblées en chantier à la chambre des représentants  contre certains dirigeants congolais.

Les militants du Rassemblement des forces politiques et sociales acquises au changement  seront bel et bien dans les rues de Kinshasa, le  lundi, 19 septembre 2016. Mais contrairement au plan initial, les manifestants en  ne se rendront plus en masse au siège de la Ceni pour y observer un sit-in.

Lors d’ une réunion tenue ce samedi au siège du parti Fonus, Rassemblement et gouverneur de la ville se sont plutôt accordés sur l’ organisation d’ une marche pacifique qui sera sanctionnée par un meeting. D’après l’ accord trouvé entre les organisateurs et l’ hôtel de ville,  la marche devra partir de l’ échangeur de limeté à la 17émè rue pour chuter sur le boulevard triomphal.

Satisfecit pour André Kimbuta qui salue sa politique de proximité. « J’avais promis le jeudi de venir vers les opposants pour la mise au point. Il faut aller vers les administrés. Ils sont tous administrés », déclare le gouverneur de la ville qui se réjouit du consensus qui s’ est dégagé entre les deux parties.

« C’est seulement aujourd’hui que je confirme que je vais prendre acte de la marche du Rassemblement. Nous nous sommes mis d’accord que la marche partira de la place de l’ Echangeur jusqu’au Boulevard Triomphal », explique t-il.

Le compromis trouvé prévoit que les manifestants rempruntent les avenues de la Libération, Kalembelembe et Kasavubu avant de déboucher sur le point de chute. Seule, une petite délégation du rassemblement a été autorisée à se rendre au siège de la Ceni  après la manifestation pour y déposer le mémorandum.

André Kimbuta qui tient à l’ itinéraire convenu place ainsi les organisateurs devant leurs responsabilités. « Il n’ y aura pas de sit-in», insiste le gouv. Le plus important renchérit-il, c’ est « la marche et le meeting qui seront organisés ».

Jean Pierre Kayembe

 

 

En bon Commandant des troupes, le président Joseph Kabila Kabange n’a pas attendu longtemps pour mobiliser les hauts cadres de sa famille politique, regroupés dans une délégation conduite par le Secrétaire général du Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie (PPRD). C’était sous l’œil vigilant de l’honorable Aubin Minaku Ndjalandjoko, président de l’Assemblée nationale et Secrétaire général de la Majorité Présidentielle (MP). Et ce, quelques jours seulement après la publication du calendrier électoral global par la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI).

Fini le suspens ! Tout doit être fait pour que les Congolais, où qu’ils soient, participent aux élections pour une alternance apaisée en Rdc. Aux délégués du bureau politique et du conseil national du PPRD, le chef de l’Etat leur a donné des instructions sur le renforcement des capacités dans le but de maximiser les chances de succès du parti aux prochaines élections dont le calendrier a été rendu public  dimanche dernier, par la CENI.

En effet, plus question de se laisser distraire par ceux qui ne veulent pas l’organisation des élections et qui font tout pour qu’elles ne se tiennent pas. C’est dans ce cadre qu’ils voudraient à tout prix provoquer un chaos qui leur serait profitable, mais dont le peuple congolais sortira toujours victorieux.

Sinon, le calendrier électoral publié, le 05 novembre par le CENI,  est conforme aux dispositions de l’Accord de la Saint-Sylvestre 2016 en son article IV.3 qui stipule que le chronogramme à présenter par la CENI « prendra en compte les opérations préélectorales et électorales ci-après : fin de la constitution du fichier électoral consolidé ; adoption de la loi sur la répartition des sièges par circonscription électorale et de la loi électorale ainsi que leur promulgation par le chef de l’Etat ; convocation des scrutins par la CENI ; tenue en une seule séquence des élections présidentielle, législatives nationales et provinciales ; prestation de serment et installation du nouveau président de la République élu et élections sénatoriales, des gouverneurs et vice-gouverneurs des provinces ».

En plus, au regard de l’environnement politique et des attentes des parties prenantes tirées des récentes évaluations en tripartite et des consultations que la CENI a eues avec différents acteurs, le calendrier qui a été présenté est basé sur le principe de rationalisation du système électoral, tel que recommandé par l’Accord en son point IV.4. Cette disposition préconise la recherche des voies et moyens de rationalisation du système électoral, pour réduire les coûts excessifs des élections.

(JMNK)

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Dans une déclaration du mardi 7 novembre 2017, les membres de l’opposition au gouvernement prennent acte du calendrier électoral publié par la Ceni et jugent réaliste le calendrier électoral publié et appelle à la tenue d’une tripartite entre la Ceni, le CNSA et le gouvernement pour statuer sur les contraintes soulevées par la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI).

«Nous prenons acte de la publication de ce calendrier et de son caractère réaliste. Nous constatons néanmoins que ce calendrier quoi que organisant les trois premiers scrutins en une séquence, conformément à l’accord du 31 décembre 2016, il est assorti de contraintes légales, financières et logistiques qui risquent de retarder la tenue de ces scrutins. Demandons fort de cette situation, la convocation de la tripartite CNSA, Ceni, gouvernement en vu d’évaluer l’impact de ces contraintes sur le processus électoral et de trouver des réponses idoines devant permettre le respect sans faille du calendrier. Nous appelons la communauté internationale dont nous saluons l’accompagnement, à s’investir davantage à travers des appuis financiers et logistiques susceptibles de contribuer au respect dudit calendrier», ont dit les membres de l’opposition au gouvernement dans une déclaration lue par José Makila, Vice-Premier ministre et ministre des Transports.

Ces opposants au gouvernement ont par ailleurs décidé de se constituer en une coalition pour «défendre le respect intégral de l’accord du 31 décembre ». Ils ont en outre, insisté sur le fait que les animateurs des institutions à caractère électif devraient rester en place jusqu’à l’installation de nouveaux élus. José Makila, Pierre Kangudia, Justin Bitakwira, Lumeya-Dhu-Malegi, Lisanga Bonganga, Jean-Lucien Bussa ont signé la déclaration de l’opposition au gouvernement.

Pierre Kangudia : « ceux qui critiquent le calendrier ne sont pas prêts pour les élections »

« Qu’ils ne vous trompent pas. On nous a accordé un moment de se préparer pour aller aux élections en fin 2018, et cela, selon l’exigence de l’Accord de la Saint-Sylvestre. Ne cédons pas aux désordres, pas aux troubles. Préparons-nous pour les élections », telle est la déclaration du ministre Pierre Kangudia hier, au sortir de la réunion des opposants signataires de l’Accord du 18 octobre 2016.

Les membres du Gouvernement de la République issus de l’Opposition signataires de l’Accord politique du 31 octobre 2016 à la Cité de l’Union africaine se sont réunis hier dans l’après-midi à Kinshasa pour donner leur point de vue à la suite de la publication dimanche dernier, du calendrier électoral par la Commission électorale nationale indépendante (CENI). Ainsi, ont-ils exprimé leur sentiment de satisfaction par rapport à cette publication du calendrier électoral.

Au sortir de cette réunion, M. Pierre Kangudia, ministre du Budget et ancien proche collaborateur de l’opposant Vital Kamerhe, leader du parti Union pour la nation congolaise (UNC), a fait remarquer à la presse que la publication de ce calendrier faisait l’objet de beaucoup de polémiques dans le pays. « Maintenant que le calendrier électoral est rendu public, et que l’on a tous suivi le soutien de la Communauté internationale, je pense qu’il faut donner la chance à la tenue des prochaines élections dans un climat apaisé », a-t-il déclaré.

Et de poursuivre : « Beaucoup d’amis politiciens contestent le calendrier aujourd’hui. Mais remarquez les activités de leurs partis politiques. Ceux qui parlent beaucoup, aucun parmi eux ainsi que leurs partis politiques ne s’étaient préparés pour aller aux élections en décembre 2017. Nous nous regardons dans les yeux. Personne n’était prêt pour affronter les élections à la fin de cette année. On nous a donné un peu du temps pour qu’on se prépare afin d’aller aux élections en fin 2018. C’est toujours conformément aux prescrits de l’Accord politique du 31 décembre 2016 au Centre interdiocésain. Voilà pourquoi nous disons, laissez des désordres, laissez des bruits inutiles, qu’on fasse la politique, et qu’on se prépare à aller aux élections selon que le calendrier électoral publié par la CENI a indiqué ».

(Lepetit Baende)

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Dans ce travail, le sondage Echos d’Opinion, à travers son échantillon, a voulu savoir, quel ministre du gouvernement Bruno Tshibala a posé des actions à impact social et de paix durable ? A cette question, les sondés ont plébiscité le Professeur Michel Bongongo Ikoli Ndombo (84%), Léonard Shé Okitundu (81,6%), Lumeya Dhu Maleghi (77,3%), Alexis Thambwe Mwamba ( 76,5%), Gaston Musemena (68%),  Joseph Kokonyangi Witanene (62%),  Pierre Kangudia (60,8%), Stève Mbikayi Mabuluki (56%), Emmanuel Ilunga (53%) et  Joseph Kapika (50,7%).

Pour ce sondage, dix pays ont été sélectionnés en raison de la participation massive de la diaspora congolaise. Il s’agit de la République Sud Africaine, la Hollande, la France, la Belgique, le Canada, les Etats-Unis d’Amérique, la Suède, le Brésil, la Chine et l’Inde. Ici, seuls les actes à caractère social durable sont retenus, tels que la paie régulière des fonctionnaires, une mise à la retraite en toute dignité, l’emploi des jeunes, le prestige du pays à l’extérieur, la stabilisation de l’espace macroéconomique, de prix sur le marché et du taux de change, ainsi que la prise en charge en matière de soins de santé et de l’éducation.

Ainsi, au regard de ce tableau, Michel Bongongo arrive en tête avec 84%  d’opinion favorable exprimée par la diaspora congolaise. A son actif, il faut comptabiliser le retour de la paix sociale à la Fonction Publique grâce à la sensibilisation, la réforme de l’administration pour la rendre performante, la régularité  de la paie, l’amélioration du net à payer, le dégèle de la mise à la retraite par l’approche participative, entrainant celui de la promotion et du recrutement de manière à donner de l’emploi aux jeunes en chômage avec le concours de la Banque mondiale.  Léonard Shé Okitundu, Vice-Premier ministre des Affaires Etrangères et de l’Intégration Régionale se classe en seconde position avec 81,6%. La diaspora apprécie la constance du VPM dans la défense des intérêts et la souveraineté de la RDC, la fin de la grève observée par les agents et la victoire diplomatique du pays par son élection en qualité de membre du Conseil des Droits de l’Homme des Nations Unies. Lumeya Dhu Maleghi, ministre des Affaires Foncières : 77,3% des suffrages. Il doit sa troisième place grâce à l’exigence de l’ouverture du guichet d’une banque dans les lieux où sont installés les bureaux des conservations foncières, l’utilisation des NTIC pour sécuriser propriétés et propriétaires ainsi que la récupération des parcelles et concessions de l’Etat ainsi que le règlement sans parti pris des conflits fonciers.

La quatrième position est occupée par Alexis Thambwe Mwamba, ministre d’Etat en charge de la Justice et Garde de Sceau, qui a obtenu 76,5%. La réforme de la justice congolaise et le projet portant modification de la loi organique relative aux cultes et associations en vue de remettre de l’ordre dans le secteur. Gaston Musemena, ministre de l’Enseignement, Primaire, Secondaire et Professionnel rafle la cinquième place du classement avec 68,2% d’opinion favorable. Le financement des mutuelles de santé des enseignants, l’assainissement de la SECOPE et l’élargissement de la diffusion des résultats de l’examen d’Etat à plusieurs opérateurs de téléphonie cellulaire brisant l’exclusivité longtemps détenue par la société Vodacom.

Joseph Kapika intègre le Top 10

En sixième position arrive Joseph Kokonyangi Witanene : 64,8%. Le ministre de l’Urbanisme et Habitat est plébiscité pour avoir démantelé les constructions anarchiques érigées sur les terrains de l’Etats ou sur les espaces occupés par les bureaux et écoles officielles, l’engagement pris par le Gouvernement de résoudre de manière sensible, le déficit en logements sociaux en créant des mécanismes appropriés devant permettre à chaque Congolais, toutes classes confondues, d’avoir un logement décent à un prix abordable et l’initiative du projet de la création d’un Fonds national de l’habitat (FONHAB) pour lever les financements nécessaires au bénéfice de la construction des logements. La septième place revient à Pierre Kangudia, ministre d’Etat en charge du Budget : 60,8%. Sa politique relative à la hausse du Budget de l’Etat, le décaissement régulier de la part allouée à la Ceni, le relèvement du taux de change à la paie des fonctionnaires sont autant d’actes appréciés par la frange de l’opinion de la diaspora qui lui est favorable.

Stève Mbikayi Mabuluki, ministre de l’Enseignement Supérieur et Universitaire : 56,2%. Entre autres innovations qu’il a apportées dans son secteur, l’opinion de la diaspora congolaise retient à l’actif de Stève Mbikayi le lancement de la bourse de Solidarité nationale de l’ESU (BSN-ESU). Tous les deux cycles seront gratuits pour les bénéficiaires de cette bourse, soit les diplômés d’Etat des familles modestes et les filles qui accepteront de s’inscrire dans les filières devenues orphelines dans le secteur de l’ESU, notamment les Mathématiques, la Chimie, la Physique, le Latin, et la fin de la grève observée par les professeurs des Universités. Emmanuel Ilunga, ministre délégué aux Congolais de l’Etranger : 53%. C’est grâce à ses nombreuses initiatives telles que l’instauration de la carte Okapi pouvant servir de visa permanent aux ressortissants congolais de la diaspora, la  création de la Banque des Congolais de l’étranger, la lutte contre le chômage des jeunes en partenariat avec la BAD.

Terminons par Joseph Kapika, ministre d’Etat en charge de l’Economie : La stabilisation de l’espace macroéconomique, du taux d’inflation, des prix sur le marché, l’uniformisation du taux de change par les opérateurs économiques et l’imposition de l’affichage des prix.

(JMNK)

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Le  vice-Premier ministre, ministre de l’Intérieur et sécurité, Emmanuel Ramazani Shadary, a regagné Kinshasa mardi, de retour de Charm El Cheik, en Egypte, où il a participé au Forum mondial de la jeunesse programmé du 04 au 09 novembre 2017. Le  vice-Premier ministre a été accueilli à son arrivée à l’aéroport  de Kinshasa  par le vice-ministre de l’Intérieur, Basile Olongo Pongo.

Le Vice-Premier ministre et ministre de l’Intérieur et Sécurité, Emmanuel Ramazani Shadary vient de Sharm El Cheik en Egypte où il a représenté personnellement le président de la République, Joseph Kabila Kabange, à  la conférence internationale sur la jeunesse. 10.000 jeunes venus de 66 pays de tous les continents ont pris part à ces assises dont l’ouverture qui se sont ouvertes le dimanche 05 novembre dernier.

A en croire des échos en notre possession, les jeunes présents au sommet ont suivi, au cours de deux sessions de la journée les exposés Professeurs et savants invités par l’Égypte sur les défis  du monde d’aujourd’hui et la responsabilité des jeunes.

Le président Egyptien a autorisé qu’un jeune savant de son pays qui a pris de force la parole pour parler de ses recherches sur les maladies rénales soit autorisé à s’exprimer, bien que le temps des débats n’était pas encore venu. Ce geste lui a valu les ovations des jeunes du monde entier présents dans la salle.

Au terme de la session de lundi dernier, le Vice-Premier ministre et ministre de l’Intérieur et Sécurité, Emmanuel Ramazani a salué la célèbre phrase du Président Egyptien qui a déclaré en marge de ces travaux que « combattre le terrorisme aujourd’hui, c’est défendre les droits de l’homme ». Ceci devrait interpeller les jeunes, a-t-il dit.

Une fois  à Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo, Ramazani Shadary va prochainement retourner à Kindu, chef-lieu de la province du Maniema, afin de terminer les consultations qu’il avait entamées avec les notables, la société civile et les May-May, pour le retour de la paix dans cette partie du territoire national.

(JMNK)

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*6 joueurs déclarés forfaits et déjà remplacés

Les Léopards de la République Démocratique du Congo affrontent le Silly National de la Guinée ce dimanche 11 novembre au Stade des Martyrs de la Pentecôte. Match qui s’inscrit dans le cadre de la 6ème et dernière journée des éliminatoires de la Coupe du Monde/Russie 2018. Après la publication d’une liste de 23 Léopards, l’heure est maintenant aux séances d’entrainements afin de créer l’harmonie dans le groupe avant cette rencontre de tous les enjeux pour les Congolais. Ceci parce qu’en cas de faux pas de la Tunisie, et d’une victoire des Léopards, la Rdc obtiendra ainsi son billet pour cette grande fête du football mondial.

A cet effet, une première séance d’entrainement sous la supervision du sélectionneur principal de la RD Congo, Jean-Florent Ibenge Ikwange, a eu lieu hier mardi 7 novembre 2017 en fin d’après-midi avec le groupe déjà à Béatrice Hôtel depuis lundi soir.

Des sources dignes, l’on apprend déjà que plusieurs Léopards estimés au nombre de 16 sont déjà à Kinshasa. Le reste du groupe est arrivé dans la Capitale dans la soirée d’hier mardi. L’effectif affichera complet ce mercredi 8 novembre 2017.

6 Léopards déclarés forfaits

De la liste publiée en date du lundi 30 octobre par Florent Ibenge, l’on apprend que 6 des 23 sélectionnés ne pourront répondre à cette grande rencontre RDC-Guinée. Il s’agit de Nicaisse Kudimbana, Remy Mulumba, Paul-José Mpoku, Chadrack Akolo, Jordan Botaka et Gaël Kakuta. Ils évoquent des raisons de blessures, les différents championnats européens ayant atteint une vitesse de croisière.

Tous ces joueurs seront remplacés par le gardien Nathan Mabruki, (Dcmp) Yannick Bangala (AS V.Club), Harrison Manzala (Amiens/France), Jérémy Bokila ( Clu /Roumanie), Yeni Ngbakoto ( Qeen Park GB° et Mondeko Kevin (TP Mazembe).

Effectif déjà présent à Kinshasa

Gardiens

Joël Kiassumbua (Lugano/Suisse)

Nathan Mabruki (DCMP/ RD Congo)

Ley Matampi Vumi (TP Mazembe/ RD Congo)

Défenseurs

Gabriel Zakuani (Gilligam/ Grande-Bretagne)

Fabrice Nsakala (Alanyaspor/Turquie)

Glody Ngonda Muzinga (AS V.Club/ RD Congo)

Christian Luyindama (Standard de Liège/Belgique)

Wilfried Moke (Konyaspor/Turquie)

Arnold Nkufo (Vitoria Setubal/ Portugal)

Djos Issama (TP Mazembe/ RD Congo)

Milieux de terrain

Yannick Bangala (AS V.Club/ RD Congo)

Chancel Mbemba (Newcastle/Angleterre)

Neeskens Kebano (Fulham/ Grande-Bretagne)

Chikito Lema (Raja de Casablanca/ Maroc)

Attaquants

Firmin Mubele (Rennes/France)

Jonathan Bolingi (Moucron/Belgique)

8 Joueurs sont arrivés hier

Trois (3) défenseurs : Jordan Ikoko (Guingamp/France) et Marcel Tisserand (Wolfsburg/Allemagne) et Kevin Mondeko (TP Mazembe/ RD Congo)

Deux (2) milieux de terrain : Harrison Manzala (Amiens/ France) et Jacques Maghoma (Birmingham/ Grande-Bretagne)

Trois (3) attaquants: Junior Kabananga (FK Astana/Kazakhstan), Jéremy Bokila (Clu/Roumanie) et Yeni Atito Ngbakoto (Queens Park Rangers/ Grande-Bretagne).

(Altesse B. Makambo)

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Le Roi Mohammed VI a adressé lundi soir, un discours à la Nation, à l’occasion du 42eme anniversaire de la Glorieuse Marche Verte. Et dans quelques semaines, le Royaume du Maroc célébrera le soixantième anniversaire du Discours que Sa Majesté le Roi Mohammed V, avait prononcé à M’hamid El-Ghizlane. Ces deux moments fondateurs symbolise le pacte indéfectible d’unité nationale, scellé entre le Trône et le Peuple, pacte dont la clé de voûte est le Sahara marocain. De fait, le discours historique de M’hamid El-Ghizlane est lourd de sens, en ce qu’il marque une étape saillante dans le processus de parachèvement de l’intégrité territoriale de notre pays, et qu’il souligne une seule vérité que nul ne peut contester : la Marocanité du Sahara et l’attachement du peuple marocain à sa terre.

Antérieurement à tous ces faits, s’adressant aux chioukhs et aux représentants des tribus sahraouies venus lui faire allégeance -la Beia-, Notre Grand-père avait souligné les droits historiques et légitimes du Maroc sur son Sahara. Il déclara en substance : « Nous proclamons solennellement que nous poursuivrons notre action pour le retour de notre Sahara, dans le cadre du respect de nos droits historiques et conformément à la volonté de ses habitants… ».
Replacée dans le contexte de l’époque, cette déclaration est sans ambiguïté, et nul ne peut remettre en cause son bien-

fondé. Plus qu’un engagement, elle est l’expression d’une alliance pérenne entre le Trône et le Peuple.
En outre, cette proclamation atteste la permanence de la Marocanité du Sahara, et ce, bien avant la mise en scène artificielle d’un conflit indûment suscité autour de cette vérité historique. Aussi, le Sahara restera marocain jusqu’à la fin des temps, et les sacrifices qu’il sera nécessaire de consentir pour qu’il en soit toujours ainsi importent peu. Par fidélité à ce pacte sacré et se prévalant de cette légitimité historique et politique, Sa Majesté le Roi Hassan II, a conçu, avec sagacité, l’idée de la Marche Verte pour le recouvrement des provinces du Sud.  « Marchant sur les traces de Notre Grand-père et de Notre Père, Nous avons à cœur, maintenant que la terre est libérée, d’œuvrer, avec le même sens de l’engagement, pour assurer à la population de ces provinces les conditions d’une vie digne et pour favoriser son développement. Nous sommes aussi déterminé à libérer nos fils retenus dans les camps et à arrimer ces zones à la Mère-Patrie, de manière pleine et entière », a indiqué le Roi Mohammed VI, avant d’ajouter que dès mon Accession au Trône, J’ai fait serment devant Dieu et devant toi, de tout mettre en œuvre, pour défendre notre intégrité territoriale et garantir aux habitants du Sahara les conditions d’une vie libre et digne.

Une action extérieure en cohérence avec les efforts de développement interne
Pour y parvenir, le Royaume a constamment veillé à ce que l’action extérieure dédiée à la défense de nos droits légitimes soit menée en totale cohérence avec les efforts de développement interne, sous-tendus par un esprit de solidarité et d’unanimité nationale. Sur le plan international, le Maroc maintient l’engagement qu’il a fait d’adhérer à la dynamique actuelle voulue par Son Excellence Monsieur Antonio Guterres, le Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies et à coopérer avec son Envoyé Personnel. Il en sera ainsi tant que seront respectés les principes et les fondamentaux de la position marocaine. En voici quelques-uns :
- Premièrement : aucun règlement de l’affaire du Sahara n’est possible en dehors de la souveraineté pleine et entière du Maroc sur son Sahara, et en dehors de l’Initiative d’autonomie, dont la communauté internationale a reconnu le sérieux et la crédibilité.
- Deuxièmement : les expériences passées devraient permettre de méditer sur une évidence: le problème n’est pas tant de trouver une solution à cette affaire, mais plutôt d’arriver à définir le processus à suivre pour y parvenir ;  Il appartient, donc, aux parties à l’origine de ce conflit monté de toutes pièces, d’assumer pleinement leur responsabilité dans la recherche d’un règlement définitif ;
- Troisièmement : le plein respect des principes et fondamentaux retenus par le Conseil de Sécurité pour le traitement de ce conflit régional artificiel; l’organe onusien étant, de fait, la seule instance internationale chargée de superviser le processus de règlement ; et
- Quatrièmement : le refus catégorique de tout dépassement, de toute tentative de porter atteinte aux droits légitimes du Maroc et à ses intérêts supérieurs, de toute proposition obsolète visant à écarter le plan de règlement des paramètres référentiels retenus, de l’insertion abusive d’autres sujets, lesquels sont traités par des institutions compétentes.
Sur le plan interne, comme Je l’ai plusieurs fois souligné, nous n’allons pas rester les bras croisés à attendre que soit

trouvée la solution souhaitée. Nous poursuivrons plutôt l’action engagée pour stimuler le développement de nos provinces du Sud et assurer à leur population les conditions d’une vie libre et digne.  Dans ce cadre, nous irons de l’avant dans la réalisation du modèle de développement propre à ces provinces, en parallèle avec la mise en œuvre de la régionalisation avancée, ce qui devrait permettre aux habitants de la région d’assurer la gestion démocratique de leurs affaires et de contribuer au développement de leur région.  En effet, les projets que Nous avons lancés et ceux que nous allons mettre en chantier, vont permettre au Sahara marocain de se positionner comme un pôle économique intégré. Appelé à servir de trait d’union entre le Maroc et sa profondeur africaine, il s’affirmera comme une plaque-tournante pour les relations entre les pays de la région.
Un projet de société cohérent
« Comme Nous l’avons souligné précédemment, ce modèle ne doit pas être ramené à sa seule dimension économique. Il s’agit bien en fait d’un projet de société cohérent qui a pour ambition de favoriser l’épanouissement de l’individu marocain, de préserver sa dignité et de le placer au cœur du processus de développement. De ce fait, ce projet accorde une place particulière à la sauvegarde du patrimoine culturel et civilisationnel sahraoui, dont Nous mesurons la grande valeur affective pour les populations de la région », explique sa Majesté, tout en justifiant pourquoi il veille à prendre soin de la culture hassanie, en favorisant sa promotion grâce à des structures et des services culturels mis en place à cet effet, en encourageant les initiatives et les manifestations artistiques qui contribuent à son rayonnement, et en rendant hommage aux artistes, aux intellectuels et aux créateurs qui en sont les vecteurs.
Et de renchérir, nous faisons de même pour toutes les composantes de l’identité marocaine unifiée. Car, Nous n’établissons aucune différence entre les patrimoines et les spécificités culturelles et linguistiques des régions du Maroc, qu’il s’agisse du Sahara, du Souss, du Rif, de l’Atlas ou de l’Oriental.
Par ailleurs, la volonté de prendre soin du patrimoine culturel local n’est en aucune manière une façon d’instiller le fanatisme ou de favoriser le repli sur soi. Ce n’est nullement une incitation à l’extrémisme ou au séparatisme. C’est, bien plutôt, une manière d’exprimer notre fierté d’une identité nationale plurielle, diverse qui se déploie pleinement dans le cadre du Maroc uni des régions.  Il est, donc, de notre responsabilité à tous, de sauvegarder ce patrimoine culturel et civilisationnel national, en protégeant ses ressources et en favorisant l’interaction féconde de ses différentes composantes. Corrélativement, il convient également de rester ouvert aux valeurs et aux civilisations universelles, d’embrasser le monde du savoir et de la communication.
Soulignons que la commémoration de l’anniversaire de la Marche Verte et le rappel du Discours de M’hamid El-Ghizlane constituent une occasion privilégiée d’exalter le patriotisme sincère, l’attachement loyal aux constantes de la nation, le sens du sacrifice pour la patrie.  C’est grâce à ces valeurs et à la mobilisation nationale collective que le Maroc a récupéré ses provinces du sud. C’est aussi grâce à cet idéal patriotique qu’aujourd’hui, il va de l’avant dans sa marche vers plus de développement et de réalisations.
Désormais, nous avons grand besoin de ces valeurs: il convient de les véhiculer à l’école, au sein de la famille, dans tous

les secteurs de la vie sociale. Elles constituent un préalable pour qu’ensemble, nous soyons en mesure de relever les défis internes et externes qui se posent à notre pays.  A cette occasion, Nous tenons à exprimer la fierté que nous inspirent nos Forces Armées Royales et les forces de sécurité, toutes catégories confondues. Nous leur manifestons Notre considération pour leurs efforts, leurs sacrifices, et leur mobilisation constante à défendre, sous Notre commandement, l’intégrité territoriale du pays et à préserver sa sécurité et sa stabilité.
C’est, pour Nous, l’opportunité de renouveler notre engagement, de renforcer l’esprit de mobilisation collective, et, in fine, de stimuler la dynamique de développement global, à l’œuvre dans toutes les régions du Maroc, notamment nos provinces du sud. Cette entreprise est menée dans le cadre d’un Maroc uni, garantissant à tous ses enfants la liberté, la dignité et la justice sociale.  C’est le meilleur gage de fidélité à la mémoire immaculée des héros de la libération et de l’indépendance, avec, en première ligne, Notre Auguste Grand-Père, Sa Majesté le Roi Mohammed V, que Dieu ait son âme. C’est aussi un exemple de fidélité au serment de la Marche Verte et à l’artisan de cette épopée, Notre Vénéré Père, Sa Majesté le Roi Hassan II, que Dieu l’ait en Sa sainte miséricorde, et à tous les valeureux martyrs de la Nation.

(JMNK)