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Alors qu’ il fait partie de la délégation officielle qui accompagne Joseph Kabila à New-York pour la traditionnelle assemblée générale de l’ ONU dont les travaux s’ ouvrent le mardi prochain, Barnabé Kikaya, conseiller diplomatique du chef de l’État congolais s’ est vu confier  une autre mission, convaincre Washington  à renoncer aux résolutions des sanctions ciblées en chantier à la chambre des représentants  contre certains dirigeants congolais.

Les militants du Rassemblement des forces politiques et sociales acquises au changement  seront bel et bien dans les rues de Kinshasa, le  lundi, 19 septembre 2016. Mais contrairement au plan initial, les manifestants en  ne se rendront plus en masse au siège de la Ceni pour y observer un sit-in.

Lors d’ une réunion tenue ce samedi au siège du parti Fonus, Rassemblement et gouverneur de la ville se sont plutôt accordés sur l’ organisation d’ une marche pacifique qui sera sanctionnée par un meeting. D’après l’ accord trouvé entre les organisateurs et l’ hôtel de ville,  la marche devra partir de l’ échangeur de limeté à la 17émè rue pour chuter sur le boulevard triomphal.

Satisfecit pour André Kimbuta qui salue sa politique de proximité. « J’avais promis le jeudi de venir vers les opposants pour la mise au point. Il faut aller vers les administrés. Ils sont tous administrés », déclare le gouverneur de la ville qui se réjouit du consensus qui s’ est dégagé entre les deux parties.

« C’est seulement aujourd’hui que je confirme que je vais prendre acte de la marche du Rassemblement. Nous nous sommes mis d’accord que la marche partira de la place de l’ Echangeur jusqu’au Boulevard Triomphal », explique t-il.

Le compromis trouvé prévoit que les manifestants rempruntent les avenues de la Libération, Kalembelembe et Kasavubu avant de déboucher sur le point de chute. Seule, une petite délégation du rassemblement a été autorisée à se rendre au siège de la Ceni  après la manifestation pour y déposer le mémorandum.

André Kimbuta qui tient à l’ itinéraire convenu place ainsi les organisateurs devant leurs responsabilités. « Il n’ y aura pas de sit-in», insiste le gouv. Le plus important renchérit-il, c’ est « la marche et le meeting qui seront organisés ».

Jean Pierre Kayembe

 

 

Le professeur Néhémie Mwilanya, Coordonnateur du Comité stratégique du Front Commun pour le Congo (FCC), a animé hier une conférence de presse à Kinshasa, dans un triple objectif. C’était en présence des membres du Comité stratégique du FCC. D’abord, apporter sa réponse à la question du silence observé depuis sa première conférence de presse. Ensuite, fixer l’opinion sur sa position par rapport au processus électoral en cours. Et enfin, annoncer la suite de son programme d’action d’ici aux prochaines élections, qui consiste dans l’annonce d’une série d’actions d’envergure tendant à obtenir la mobilisation générale des électeurs, tant à Kinshasa qu’en province, en vue des élections du 23 décembre 2018. Et la première de ces actions à laquelle le FCC convie les Kinois et tous ceux qui croient au Congo, c’est un grand meeting populaire au Stade tata Raphaël ce samedi 27 octobre 2018 à partir de 10 heures.

Pour la 2ème fois, le front Commun pour le Congo était face à la presse tant nationale qu’internationale, pour délivrer trois grands messages. Mais avant d’y arriver, le professeur Néhémie Mwilanya, Coordonnateur du Comité stratégique du FCC a adressé toute la sympathie et les encouragements de la méga plateforme dont le président de la République est l’Autorité morale, aux multiples familles affectées par différents événements malheureux qui ont meurtri le pays tout récemment, du Kongo central au Nord-Kivu, en passant par les provinces frontalières à l’Angola.

« Grâce au combat que mène le FCC sous le leadership de son Autorité morale, le président Joseph Kabila, le FCC poursuivra le programme de développement des infrastructures de base qui nous évitera à l’avenir des accidents déplorés, mais il poursuivra également le combat pour la stabilité de ce pays et la sécurité des Congolais à travers la modernisation, l’équipement et l’amélioration des conditions de vie de nos Forces de défense afin d’éradiquer totalement et définitivement les groupes terroristes et les groupes armés qui endeuillent le territoire de Beni et ses environs », dit-il, avant d’ajouter que grâce à la poursuite de ses efforts de diversification de l’économie, de création de la richesse nationale avec comme conséquence la création de multiples emplois, le FCC améliorera les conditions de vie et de travail des Congolais et permettra à ceux-ci de se sentir mieux chez eux plutôt que de tomber dans l’illusion de chercher mieux ailleurs.

Trois messages importants

A travers le premier message qui consiste à apporter la réponse à la question du silence observé depuis sa première conférence de presse, le Coordonnateur du FCC répond que sa plateforme s’est assigné un devoir de réserve républicaine pendant près de trois mois pour des raisons de décence et de respect des normes établies et engagements souscrits. « Aujourd’hui, le FCC se félicite du travail accompli par la CENI et la Cour constitutionnelle et qui a permis d’enrichir le processus électoral d’un agrégat clé : la détermination de la liste de compétiteurs », a-t-il souligné, avant de poursuivre qu’en même temps, la réserve du FCC était due au fait qu’une polémique étant née autour des questions techniques relevant de la compétence de la CENI (machine à voter et électeurs sans empreintes digitales), notre plateforme électorale a préféré laisser le soin à celle-ci d’éclairer la lanterne de toutes les parties avant de se prononcer quant à ce.

Au sujet de la polémique née de l’usage de la machine à voter, le FCC note que la loi électorale oppose le vote électronique au vote à bulletin à papier. La présence du bulletin papier dans la procédure de vote proposée et le recours au comptage manuel rassure pleinement le FCC quant à la légalité et à la transparence de ce mode de vote.

Par ailleurs, la question des électeurs à empreintes illisibles ne saurait ébranler la crédibilité du fichier électoral dès lors que d’une part, l’empreinte digitale n’est qu’un mode parmi tant d’autres, d’identification des électeurs et que le palliatif à ce désagrément est suppléé par l’affichage des listes des électeurs qui permet d’identifier les fictifs. Au regard de ces deux explications, le FCC estime que les questions soulevées trouvent des réponses techniques crédibles et les acteurs de bonne foi doivent en prendre acte.

De ce qui précède, le FCC annonce sa décision de poursuivre son soutien au processus électoral en cours, et sa décision définitive et irrévocable de participer aux scrutins prévus le dimanche 23 décembre 2018. Le FCC estime qu’à ce jour, tous les préalables (respect strict des délais d’organisation des élections ou du calendrier électoral, respect strict des termes des mandats présidentielles pour le président en exercice et recherche d’un consensus électoral), ont été accomplis.

Le 3ème message, c’est l’annonce d’une série d’actions d’envergure tendant à obtenir la mobilisation générale des électeurs, tant à Kinshasa qu’en province, en vue des élections du 23 décembre 2018. Et la première de ces actions à laquelle le FCC convie les Kinois, c’est un grand meeting populaire au Stade tata Raphael ce samedi 27 octobre 2018 à partir de 10 heures.

Le FCC a tous les atouts pour gagner les élections à tous les niveaux

Tout juste après le mot du Coordonnateur du Comité stratégique du FCC, Néhémie Mwilanya, il s’en est suivi un jeu des questions-réponses. A l’occasion, la presse a voulu savoir si les élections étaient du bluff et qu’il y aura une transition ; Comptez-vous toujours utiliser la machine à voter en dépit de la protestation de l’opposition ? Qu’est-ce qui vous rassure que le candidat du FCC va gagner aux prochaines élections ?

A la question de la transition, Néhémie Mwilanga a expliqué qu’à New York, les audiences accordées par le président Kabila à plusieurs personnalités ont été rendues publiques. « Partout où je l’ai accompagné, je n’ai pas vu la silhouette de l’opposition », dit-il, avant d’affirmer que ceux qui pensent que le président a rencontré l’opposition en vue d’une transition, que c’est à mettre sur le compte des spéculations et rumeurs de mauvais goût.

Il a été suivi par un autre membre du Comité stratégique, le ministre de l’Energie Ingele Ifoto, qui s’est posé la question : qui veut la transition ? Avant de répondre que ce sont ceux-là qui ne sont pas prêts pour les élections. « Nous avons promis un candidat commun, il est là. De l’autre côté, on discute encore. Ils manquent de cohérence et de cohésion dans la démarche. Ceci, parce que la finalité n’est pas connue », dit-il, tout en affirmant que cette rumeur ne proviendrait que de ceux-là qui ne veulent pas aller aux élections.

Au sujet de la machine à voter, Henry Mova constate que l’opposition a toujours été contre quelque chose. « Il suffit que nous disions oui, l’opposition va dire non … ». Il a expliqué qu’il y a un énorme bénéfice à voter par la machine. A titre illustratif, il explique qu’aucun pays n’a de bulletins de cette taille : 53 pages pour la Lukunga seule ! Cela est fastidieux ! Et d’ajouter qu’en termes de poids, de coût et de commodité, on gagne. On gagne aussi en termes de respect du calendrier électoral. Et de révéler que l’opposition a un plan B : la contestation du fichier électoral en lui-même.

Concernant les atouts du candidat du FCC, le professeur Tshibangu Kalala, ministre près le Premier ministre pense que celui-ci va gagner à l’élection présidentielle du 23 décembre 2018. Et ce, pour plusieurs raisons. D’abord, la stratégie et la tactique mises en place consistent au fait que le FCC va gagner toutes les élections et à tous les niveaux. Puisque le candidat Emmanuel Ramazani Shadary est dans le FCC et il va de soi qu’il gagne. Ensuite, le FCC a une épaisseur sociologique qu’aucune autre plateforme n’a dans ce pays. Les forces politiques et sociales sont majoritaires dans le pays. En face, il n’y a pas une autre force de même envergure. Donc, c’est un rouleau compresseur qui va tout écraser à son passage. Enfin, sur le plan programmatique, on parle du programme après les élections. Au FCC, nous allons avoir le programme de gouvernement avant les élections. Il s’agit d’un programme réaliste et ambitieux, dit-il, avant d’affirmer que le FCC a tous les atouts pour gagner les élections à tous les niveaux.

JMNK

 

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L’ouverture de la Session ordinaire de Septembre 2018 n’avait qu’un seul point à l’ordre du jour, le discours du président. Abordant le point de l’ordre du jour, le président Kintuasisa s’est articulé essentiellement autour des points ci-après : la convocation de la session ordinaire en cours, en vertu des dispositions des articles 54, alinéa 2 du Règlement intérieur de l’APK, point 2 de la Loi n°13⁄008 du 22 janvier 2013 modifiant et complétant la Loi numéro 08⁄ 012 du 31 juillet 2008 portant principes fondamentaux relatifs à la libre administration des provinces et article 182, alinéa 2 de la Loi numéro 11⁄011 du 13 juillet 2011 relative aux Finances publiques. Il a souhaité aux honorables députés une bonne rentrée parlementaire en les félicitant pour leur sens élevé du patriotisme et d’amour à l’endroit des Kinoises et Kinois. Il a salué la tenue de la 3ème édition de la Conférence minière à Kolwezi dans le Lualaba, visant la promotion de l’industrie minière en RD Congo.

Il a également insisté sur l’abondance de matières à traiter au cours de la session ordinaire en cours qui, du reste, est essentiellement budgétaire. Le dépôt des rapports des vacances parlementaires au plus tard le 15 octobre. L’applicabilité sans faille du principe de collégialité du Bureau qui attire ainsi un nouveau vent à l’Assemblée provinciale de Kinshasa. Il a souhaité le vœu de voir le personnel politique, d’appoint et administratif tenir bon pour accompagner les députés dans l’accomplissement de leurs tâches, et le vœu  de voir les institutions provinciales, exécutif et législatif provincial, se compléter pour leur fonctionnement harmonieux. Le président Kintuasisa a rappelé les dispositions de l’article 124, alinéa 5 du Règlement intérieur de l’APK qui voudrait que le quart de sa dotation soit mis trimestriellement à sa disposition après la promulgation de l’Edit budgétaire de l’année. Il a également insisté sur l’opposabilité de la Constitution et des Lois de la République à tous les congolais sans discrimination aucune.

Lors de cette allocution, le président Kintuasisa Lukoki a parlé de la fièvre hémorragique Ebola qui a sévi dans les provinces de l’Equateur, du Nord-Kivu et de l’Ituri faisant plusieurs morts.

Lors de la plénière du 19 octobre 2018, quatre points étaient à l’ordre du jour, notamment adoption de l’ordre du jour ; audition et approbation du Procès-verbal numéro 01 de la plénière du 1er octobre 2018 ; adoption du projet de calendrier des matières de la session ordinaire de septembre 2018 et le divers.

Dans le domaine législatif, les représentants de la population de Kinshasa ont parlé de l’examen et de l’adoption du projet d’Edit portant statut des agents de carrière des services de la ville de Kinshasa. Et également l’examen et adoption du projet d’Edit portant organisation et fonctionnement des services de la ville de Kinshasa et de ses communes.

Dans le domaine non-législatif, les élus de Kinshasa ont validé les pouvoirs des suppléants des députés provinciaux qui ont été invalidés à l’Assemblée provinciale de Kinshasa, et ceux qui sont décédés.

En dehors des arriérés parlementaires, la séance plénière s’est penchée sur des nouvelles matières, telles que l’examen et adoption du projet d’Edit portant reddition des comptes pour l’exercice 2018. Et également, l’examen et adoption du projet d’Edit de Finances portant Budget de la ville de Kinshasa pour l’exercice 2019.

L’examen et l’adoption du rapport de gestion de l’APK, puis l’examen et l’adoption de la dotation de l’APK pour l’exercice 2019 ont été abordés dans le cadre non-législatif. Les députés provinciaux se sont aussi déversés sur l’audition et l’exploitation des rapports des vacances parlementaires et la mise en place des commissions permanentes, environnement et infrastructures et diplomatie parlementaire, et également le contrôle parlementaire.

Payne

 

 

 

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Fini le suspens. Le Parti lumumbiste unifié (PALU) a fait son choix. Il vient de se ranger derrière la candidature d’Emmanuel Ramazani Shadary, candidat du Front commun pour le Congo (FCC). Ce parti de masse va alors mobiliser tous ses cadres et militants, pour le triomphe du candidat qui est, pour rappel, le choix du président de la République, Joseph Kabila Kabange, son allié naturel. Bien avant, cette décision républicaine du PALU, retenons que des démarches ont été menées pour une coalition très forte.

Dans un communiqué parvenu à la Rédaction du Journal L’Avenir, la Direction politique du Parti lumumbiste unifié (PALU) tient à informer l’opinion tant nationale qu’internationale que ce Parti demeure un Parti de Gauche et démocratique, pour lequel les élections est le socle de la démocratie, suivant son slogan «  Pouvoir au peuple », car sans les élections, le peuple ne peut avoir le pouvoir.

En respectant la loi et le calendrier électoral, renchérit le document, notre Parti avait aligné les candidats à tous les niveaux comme promis. Mais, comme le Palu n’a jamais été à la solde des impérialistes ni des néocolonialistes, n’ayant jamais voulu prendre part à leurs manigances au Congo étant contraires à notre engagement envers le peuple, nous fûmes trahis. Dans la mesure où, nous avions non seulement été spoliés de notre candidature à l’élection présidentielle de 2018, mais aussi des cadres du parti ont été corrompus dans l’optique de provoquer le fractionnisme du parti. La visé étant de le rendre plus faible, plus malléable et prêt à être absorbé.

« Et si le fractionnisme a réussi au niveau de certains intellectuels ambitieux, nous restons, cependant, un parti indépendant et autonome, avec des principes intacts et toujours avec une base constituée de milliers de militants dévoués à la cause socialiste à travers tout le Congo », ajoute le communiqué, qui souligne du reste que c’est  à ce titre que la Direction politique vient d’interroger ou mieux consulter la base du parti pour savoir si son niveau de compréhension des enjeux majeurs de l’heure est le même que celui de sa Direction politique.

Et ces enjeux sont tels que : d’une part, seul l’avènement du socialisme au Congo pourrait offrir à notre pays une vision prometteuse de développement devant le faire quitter le bas du tableau mondial des indices de développement humain où seule une élite profite des richesses de notre pays au détriment de la grande masse des Congolais. D’autre part, notre combat, initié il y a plus de cinq décennies contre le néocolonialisme, est toujours d’actualité à en juger par la manière de réaction du camarade Antoine Gizenga, Chef du Parti et père de l’indépendance de la course à réfection présidentielle

A cet effet, les militants et cadres du PALU se sont prononcés librement comme c’est dans leurs habitudes sur ces enjeux et les avis, dans leur majorité ont rencontré la vision du Secrétaire Général chef du parti et qui lui ont permis d’être mieux éclairé quant aux orientations à leur donner. La Direction politique du parti relève que le parti va poursuivre l’œuvre de la construction d’une démocratie bipartite Gauche Droite devant se construire non pas autour des individus,  mais autour des valeurs, gage d’une bonne gouvernance.

C’est ainsi que le Palu annonce que, dans ce souci d’atteindre son objectif, de  poursuivre cette œuvre avec les forces politiques qui avancé déjà accepté de construire le bloc de gauche nationaliste avec le Palu. En conséquence, la Direction politique du Parti lumumbiste unifié, par la présente déclaration, donne à ses militants, à ses sympathisants et tout son électorat, les consignes suivantes : Aux législatives nationales et provinciales, soutenir les candidats du Regroupement Politique Palu et Alliés, en vue de prendre le contrôle du Gouvernement central et des Gouvernements Provinciaux. A l’élection présidentielle, soutenir le candidat indépendant Emmanuel Ramazani Shadary, en vue de donner une chance à la construction d’un front de Gauche au pouvoir, pour une nouvelle vision de développement au Congo. A cet effet, le Parti demande à toute sa base et à ses sympathisants de se mobiliser pour la victoire de nos candidats aux élections législatives et présidentielle.

JMNK

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Plus de 3.000 personnes venues d’horizons divers et dont la majorité est composée des jeunes, se sont réunies en la salle Africas de Kolwezi, dans la province du Lualaba, ce dimanche 21 octobre 2018 pour la sortie officielle d’une grande structure appelée : « Le Rassembleur ». Ce mouvement qui rassemble tous les Congolais, particulièrement les jeunes, est une initiative conjointe de Mme Syntia Ntumba et Daddy Ngoy Tshisuaka, avec l’accompagnement de celui qu’ils ont surnommé Munganisho, le Gouverneur Richard Muyej Mangez Mans. Il se fixe comme objectifs, entre autre de faire élire Emmanuel Ramazani Shadary à la présidentielle du 23 décembre 2018, d’autant plus qu’il est le choix de Joseph Kabila Kabange, Autorité morale du Front commun pour le Congo (FCC).

Le Gouverneur Richard Muyej, le parrain du Rassembleur a encouragé les jeunes, l’avenir du pays à rester unis. A tous les fils et filles de Lualaba, il a demandé de considérer le Rassembleur comme une structure qui vient rassembler, qui vient mettre tout le monde ensemble. Et ce, parce que Lualaba est une province de la Rdc et que le Rassembleur reste ouvert à tous ceux qui peuvent venir de partout, apporter leur pierre pour le bonheur et la prospérité de cette province.

Le Gouverneur Richard Muyej n’a pas manqué d’encourager les jeunes  creuseurs, aussi présent à cette occasion,  à travailler d’arrache-pied et il a annoncé l’organisation d’une conférence au mois d’avril 2019 et qui aura un impact positif dans la mise en place des projets qui aideront les creuseurs à être formés et à intégrer les compagnies minières.  Les étudiants n’ont pas été oubliés. Il est prévu des bourses d’études, ainsi que la construction d‘une grande bibliothèque, etc.

Dans son discours, le Gouverneur dont la province a abrité dernièrement les travaux de la conférence minière, a fait un bilan élogieux du président de la République, Joseph Kabila kabange, notamment sur le plan de la démocratie, avec l’organisation des élections du 23 décembre 2018. Par rapport aux élections qui pointent à l’horizon, il a appelé à soutenir la candidature d’Emmanuel Shadary, puisque c’est le choix de Joseph Kabila, l’Autorité morale du FCC.

Le président du Groupe stratégique des jeunes pour le développement (GSJD), Daddy Ngoy Tshisuaka et co-initiateur du Rassembleur  a encouragé la jeunesse à rester vigilante et à ne pas se laisser distraire par les détracteurs de la démocratie.  Surtout par ceux qui ne veulent pas aller aux élections. Il les a encouragé à bannir la facilité, à être courageux, à entreprendre, parce qu’ils sont dans une province qui a énormément d’opportunités et un gouverneur qui a un esprit d’ouverture, prêt à accompagner les initiatives de la jeunesse à travers son gouvernement provincial.

Mme Synthia, co-initiatrice du Rassembleur a pour sa part, encouragé la jeunesse, surtout féminine, à se porter candidate. Elle a appelé  la femme à voter pour la candidature de la femme et à rester derrière Emmanuel Shadary.

JMNK

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Au cours d’une réunion interinstitutionnelle présidée le 19 octobre dernier par le président de la République, et ayant un seul point à l’ordre du jour : le processus électoral, le président de la CENI, M. Corneille Nangaa a fustigé les velléités de glissement du calendrier dans le chef de certains acteurs politiques qui se servent du prétexte du refus de la machine à voter comme paravent, ainsi que la question des électeurs sans empreintes. Il constate cependant des poches d’insécurité nécessitant des mesures particulières, kidnapping d’un agent de sensibilisation avec sa machine à Ubundu, secteur de Bakumu Kilinga (non encore retrouvé), otages et séquestrations avec brimades des agents de repérage de la CENI dans les territoires de Kalemie et de Nyunzu par des pygmées et la persistance de l’épidémie d’Ebola dans certains coins de la République.

Prenant la parole lors de cette réunion interinstitutionnelle élargie , pour les deux Chambres du Parlement, aux membres des Bureaux, et pour le Gouvernement de la République, à certains membres du Gouvernement concernés, le Président de la CENI a fait l’état des lieux du processus électoral en relevant respectivement les activités calendaires réalisées, celles en cours ou en instance de réalisation, les défis à relever avant de fixer les chefs des Institutions sur la possibilité ou non de tenir l’échéance de l’organisation des élections au 23 décembre 2018.

S’agissant des activités calendaires réalisées, indique le compte-rendu fait par M.  Henri Mova, Vice-premier ministre et ministre de l’Intérieur et Sécurité, le Président de la CENI a livré les informations ci-après : Le cadre légal est complet à ce jour depuis l’adoption et la promulgation des lois jadis en souffrance, à savoir : La loi électorale et ses mesures d’application ; La loi portant répartition des sièges par circonscription électorale pour les élections législatives, provinciales, municipales et locales ;La liste des partis politiques (601) et de regroupements (69) a été publiée ; L’ordonnance portant création des Cours d’Appel dans les 26 provinces a été signée et les magistrats du siège et des Parquets rattachés à ces juridictions ont été nommés et affectés.

Quant au fichier électoral, il a été constitué, nettoyé et audité par l’OIF et comprend 40.024.897 électeurs dont les listes provisoires sont affichées pour consultation en vue d’éventuelles corrections. De ce fichier, 6.500.318 électeurs ont été radiés à la suite du nettoyage et 337.208, à la suite de l’Audit, de telle sorte que seuls 40.024.897 électeurs restent maintenus sur les listes électorales.

Aussi, les listes définitives des candidats, après contentieux, renseignent-elles les statistiques ci-après : 21 candidats à l’élection présidentielle, 15.355 aux élections législatives et 19.640 candidats aux élections provinciales. Le Président de la CENI a informé les chefs des Institutions que s’agissant des activités calendaires en cours et en instance de réalisation, elles se déclinent de la manière suivante :

Vendredi 19 Octobre 2018 : Formation et déploiement des préposés au repérage, affichage, désengorgement, identification et recrutement des agents électoraux ; Sensibilisation, éducation des électeurs et éducateurs civiques (machine à voter, Code de bonne conduite, etc.) ; Recrutement et préparatifs de la cascade de formation de 511.901 agents électoraux.

Sur le volet de la réception et du déploiement du matériel électoral, il a été précisé : Production terminée des machines à voter, des isoloirs, des kits bureautiques des BVD, des urnes et encre indélébile ; Tous les 109 containers de 40 pieds et 2 de 20 pieds venant de la Chine contenant kits BVD, isoloirs, urnes et encre indélébile ont été réceptionnés : 5 containers à Goma, 8 à Matadi, 39 en route pour d’autres hubs ; 180 containers en provenance de la Corée du Sud contenant les machines à voter sont en mer. 133 de ces containers arrivent courant octobre, dont 24 réceptionnés à Matadi le 05 octobre 2018 et 15 autres containers le 15 octobre dernier ; 15 containers en provenance de l’Inde, contenant des panneaux solaires pour toutes les antennes vont arriver à Matadi le 28 octobre 2018 ; Réception programmée pour ce samedi 20 octobre, des engins de déploiement du matériel électoral (camions, hélicoptères et gros porteurs), de la part du Gouvernement.

Mettre les moyens pour les étapes critiques

Concernant le financement, le Président de la CENI a confirmé qu’aucune entorse fatale n’était à explorer en rapport avec le plan du décaissement mais qu’il y avait nécessité, cependant, de mettre à disposition les moyens requis pour les étapes critiques restantes.

Le Président de la CENI a terminé son exposé en relevant les défis qui se posent au processus, notamment : les velléités de glissement du calendrier dans le chef de certains acteurs politiques qui se servent du prétexte du refus de la machine à voter comme paravent, ainsi que la question des électeurs sans empreintes ; les poches d’insécurités nécessitant des mesures particulières, kidnapping d’un agent de sensibilisation avec sa machine à Ubundu, secteur de Bakumu Kilinga (non encore retrouvé), otages et séquestrations avec brimades des agents de repérage de la CENI dans les territoires de Kalemie et de Nyunzu par des pygmées ; La persistance de l’épidémie d’Ebola dans certains coins de la République.

Le Gouvernement s’est félicité à son niveau des dispositions prises, conformément aux instructions précises et pertinentes du Chef de l’Etat, de mettre les moyens financiers requis pour le fonctionnement et les activités opérationnelles de la CENI, de telle sorte que le plan de décaissement indique un taux d’exécution de plus de 72%, tandis que 50 millions de dollars avaient déjà été affectés directement à la logistique liée au déploiement du matériel.

Outre qu’il s’est engagé à poursuivre l’exécution de ses opérations restantes évaluées à près de 122 millions de dollars à décaisser, il a également souligné qu’au plan sécuritaire, des éléments supplémentaires de la Police, recrutés et formés allaient être déployés incessamment, suivant un plan de sécurisation dont l’actualisation pourra être consacrée incessamment par un nouvel acte règlementaire.

Le Vice Premier ministre, ministre de l’Intérieur a indiqué que c’est suite à ces efforts que des correspondances ont été adressées aux candidats Présidents de la République confirmant la disponibilité des éléments de la Police commis à leur sécurisation, et que le maximum allait être fait pour sécuriser également l’ensemble du processus électoral et du peuple congolais.

Quant à la gestion du contentieux électoral, les responsables du pouvoir judiciaire, à différents niveaux, se sont félicité des conditions dans lesquelles le contentieux des candidatures a été géré et ont fait des propositions afin d’améliorer et de sécuriser les sites de travail mis à leur disposition.

Certains participants ayant relayé la controverse soulevée au sein de la classe politique à propos de la légalité de la machine à voter et de 6 millions d’électeurs sans empreintes digitales, le Président de la CENI a fourni les éléments légaux et technologiques qui ont évacué les doutes quant à la conformité technique et légale de ces deux paramètres électoraux.

Il résulte de ce qui précède, qu’aux termes de la réunion interinstitutionnelle de ce jour que : Les Chefs d’institutions réunis à la cité de l’UA ont harmonisé leurs vues sur le processus électoral en cours en RDC ; Ils ont pris acte des informations pertinentes fournies par la CENI quant aux préparatifs techniques du processus électoral et de celles fournies par le Gouvernement quant à l’exécution en cours du plan de décaissement des moyens de financement des élections, et celui de la sécurisation du processus électoral ; Se sont félicité des dispositions mis en place au niveau de la gestion du contentieux des candidatures ; Sont parvenu à dégager un consensus sur la poursuite sans relâche de l’exécution des activités calendaires restantes en vue de l’organisation effective des scrutins combinés (présidentiels, législatifs et provinciaux) le 23 décembre 2018.

JMNK

par -
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Depuis le 12 octobre dernier, la presse nationale a fait écho de l’arrestation de 2 cadres de la BCDC et 5 autres de la SCTP, ex-Onatra par le Parquet Général de Kinshasa-Matete, sur demande des services du Conseiller Spécial du Chef de l’Etat chargé de la bonne gouvernance et de la lutte contre la corruption. Pour l’ex-Onatra, il s’agit du Directeur des avoirs financiers, du conseiller juridique, du comptable réviseur, du Directeur de la trésorerie et de l’Inspecteur de la trésorerie, qui sont écroués au Centre pénitentiaire et de rééducation de Kinshasa (ex-prison de Makala) pour détournement supposé des fonds publics.

Les mêmes services du Professeur Luzolo Bambi ont lancé un avis de recherche via Interpol du Directeur du département financier qui serait en cavale. Mais une analyse froide de la question suscite quelques interrogations. Et c’est là que quelques proches du Directeur de département financier Dread Karulaje-a-Wetshy sont étonnés. Car, en date du 10 juillet 2018, ce dernier avait demandé au Directeur Général de la SCTP, son chef, l’autorisation d’aller se faire soigner en Afrique du Sud. Et cette autorisation lui avait été accordée le 11 juillet 2018. Bien plus, le 08 août 2018, sur demande de l’intéressé, la direction des ressources humaines de la SCTP avait accordé à M. Dread Karulaje-a-Wetshy un congé de récupération sur ses arriérées de congé de 3 ans, lettre signée par le Directeur de département de ressources humaines, Kahozi Kabula.

Par ailleurs, une note de la direction médicale de l’ex-Onatra datée du 18 juillet 2018 et portant le numéro 180/0844015/DM/2018 demandait au département financier de décaisser 219.000 Rands pour l’hôpital Times Square de Johannesburg où le Directeur de département Karulaje-a-Wetshy devait être admis pour soins médicaux. Et la demande de la direction médicale a été concrétisée par l’émission d’un chèque de 29.795.755 USD de Afriland First Bank, le 09 août 2018 au profit de M. Dread Karulaje-a-Wetshy qui se trouve à Johannesburg pour des soins à l’hôpital Times Square.

De tout ce qui précède, il apparaît clairement que le Directeur de département financier de la SCTP n’est pas en cavale. S’il y a un dossier judiciaire contre lui, il se présentera librement devant la justice, comme l’a expliqué son avocat, Me Vincent de Paul Alumba. En attendant, halte à la chasse aux sorcières, à la diffamation et au régionalisme qui semble souffler à l’ex-Onatra.

JMNK