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Alors qu’ il fait partie de la délégation officielle qui accompagne Joseph Kabila à New-York pour la traditionnelle assemblée générale de l’ ONU dont les travaux s’ ouvrent le mardi prochain, Barnabé Kikaya, conseiller diplomatique du chef de l’État congolais s’ est vu confier  une autre mission, convaincre Washington  à renoncer aux résolutions des sanctions ciblées en chantier à la chambre des représentants  contre certains dirigeants congolais.

Les militants du Rassemblement des forces politiques et sociales acquises au changement  seront bel et bien dans les rues de Kinshasa, le  lundi, 19 septembre 2016. Mais contrairement au plan initial, les manifestants en  ne se rendront plus en masse au siège de la Ceni pour y observer un sit-in.

Lors d’ une réunion tenue ce samedi au siège du parti Fonus, Rassemblement et gouverneur de la ville se sont plutôt accordés sur l’ organisation d’ une marche pacifique qui sera sanctionnée par un meeting. D’après l’ accord trouvé entre les organisateurs et l’ hôtel de ville,  la marche devra partir de l’ échangeur de limeté à la 17émè rue pour chuter sur le boulevard triomphal.

Satisfecit pour André Kimbuta qui salue sa politique de proximité. « J’avais promis le jeudi de venir vers les opposants pour la mise au point. Il faut aller vers les administrés. Ils sont tous administrés », déclare le gouverneur de la ville qui se réjouit du consensus qui s’ est dégagé entre les deux parties.

« C’est seulement aujourd’hui que je confirme que je vais prendre acte de la marche du Rassemblement. Nous nous sommes mis d’accord que la marche partira de la place de l’ Echangeur jusqu’au Boulevard Triomphal », explique t-il.

Le compromis trouvé prévoit que les manifestants rempruntent les avenues de la Libération, Kalembelembe et Kasavubu avant de déboucher sur le point de chute. Seule, une petite délégation du rassemblement a été autorisée à se rendre au siège de la Ceni  après la manifestation pour y déposer le mémorandum.

André Kimbuta qui tient à l’ itinéraire convenu place ainsi les organisateurs devant leurs responsabilités. « Il n’ y aura pas de sit-in», insiste le gouv. Le plus important renchérit-il, c’ est « la marche et le meeting qui seront organisés ».

Jean Pierre Kayembe

 

 

A quelques semaines de l’organisation des élections générales en République démocratique du Congo, le candidat commun issu des travaux de Genève en Suisse peine à délivrer un message clair à la population congolaise. Son message est tellement ambigu que certains esprits éclairés se demandent s’il n’a pas de plan B caché dans ses manches. Pendant que les matériels de campagne ayant son effigie sont imprimés, affichés et distribués, son comportement traduit le contraire: celui du boycott des scrutins.

Sinon, comment expliquer que dernièrement, il se soit permis de dire que « nous ne boycottons pas les élections, mais nous ne laisserons pas à Nangaa organiser les élections avec la machine à voter ?». Concrètement, quel est le sens de ce message ? Logiquement, Fayulu ne peut pas se départir du mot d’ordre donné par ses maîtres à penser de la communauté internationale. Ceux-ci lui ont donné un agenda clair, qu’il doit fidèlement réaliser, au risque d’être discrédité et déclaré persona non grata. La démarche consiste à rejeter la machine à voter et d’exiger qu’on élague les enrôlés sans empreintes. Démarche considérée comme caduque, vu qu’il y a un consensus qui s’est déjà dégagé au sein de la classe politique quant à l’utilisation de la machine à voter. Pour les enrôlés sans empreintes, il s’agit d’une question dépassée, qui n’influe pas sur le déroulement normal des élections.

En tout état de cause, la formation et le déploiement des témoins de partis politiques, demeurent les éléments clés pour assurer la crédibilité des résultats. Loin de donner un simple message en direction de ses militants, Martin Fayulu est en train de préparer le chaos. Car, quel sera le comportement d’un électeur qui, lorsqu’il entre dans un bureau de vote, exige qu’on lui donne un bulletin de vote en lieu et place de la machine à voter ?  C’est de la révolte, de la contestation que l’on prépare, parce que cet électeur n’aura d’autre choix que de semer le trouble susceptible de perturber le bon déroulement des élections. C’est ici que la CENI ainsi que les services de sécurité devront se préparer en conséquence, pour qu’au moment opportun, ils mettent en échec tout plan de déstabilisation concocté depuis Genève et exécuté à Kinshasa. Ainsi, si cette déstabilisation intervenait, le groupe proche aux maffieux internationaux prendraient le pouvoir, avec pour promesse d’organiser les élections dans les deux ans qui suivent.

Il est très étonnant, pour un candidat président de la République en visite dans une famille, de s’adresser à quelques sympathisants s’ils veulent ou pas utiliser la machine à voter. Quel est le sens de cette question pour un candidat qui s’apprête  à présenter son programme de campagne ! Sinon, il veut continuer à semer l’incertitude dans la tête de beaucoup de Kinois. Il est temps pour que ces Kinois comprennent que Fayulu ne mérite pas leur confiance, parce qu’il n’est pas prêt d’aller voter. Ils doivent changer leur fusil d’épaule, s’ils veulent réellement que l’alternance politique s’installe en Rd Congo.  Non seulement que Fayulu ne mérite pas leurs voix, Tshisekedi non plus ne devrait les intéresser, parce que n’étant pas préparé à occuper les hautes responsabilités étatiques. Pour l’instant, le seul choix qui s’impose à eux est celui de Shadary, candidat de la continuité et de la rupture.

Une stratégie du mensonge

« Mentez mentez, il en restera toujours quelque chose ». Il aura fallu qu’Olivier Kamitatu, directeur de cabinet et porte-parole de Moïse Katumbi ouvre sa bouche, pour que tout le monde se rende rapidement compte que rien de vrai n’y sortirait. En effet, dans un Tweet, il a estimé qu’en dépit d’une demande régulière adressée en bonne et due forme, l’avion de Lamuka est arbitrairement bloqué par l’ANR. Et d’ajouter qu’un Etat voyou (est) réduit aux plus basses manœuvres pour empêcher  Martin  Fayulu d’aller parler aux Congolais.

S’exprimant sur une radio de la place, José Makila, Vice-premier ministre et ministre des Transports et Voies de communication rétorque : « je n’ai aucune demande du candidat Martin Fayulu sur ma table sollicitant l’atterrissage de son avion ». Voilà qui vient mettre un terme à cette inutile polémique de ceux qui ne rêvent pas gagné les élections et qui comptent se focaliser dans la contestation des résultats. C’est  donc une stratégie facile pour se victimiser et tenter de glaner quelques voix lors des élections à venir.  Une stratégie qui ne paye pas à tous les coups, lorsqu’on connait le comportement d’un adversaire politique.

Sinon, José Makila a insisté sur Top Congo, que l’Autorité de l’aviation civile s’occupe de l’octroi des autorisations d’atterrissage des avions sur le sol congolais. « Il y a une procédure à respecter. Il faut tout d’abord que les techniciens de l’AAC se rendent dans le pays d’origine de l’appareil, faire l’inspection de l’avion et s’assurer du bon fonctionnement dudit appareil », explique-t-il, avant d’ajouter qu’on ne peut refuser à un avion qui remplit les normes selon la loi congolaise d’atterrir sur le sol congolais. Selon lui, si une demande est formulée, l’appareil remplit les normes, pourquoi lui refuser l’atterrissage ? Qu’à cela ne tienne, s’il est avéré que l’avion à affréter ne remplit pas les normes, la Rdc a une flotte capable d’assurer la mobilité des candidats et de permettre que leurs messages passent partout. Car quand on a la volonté, on peut tout faire.

JMNK

 

 

 

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Qui sont ces organisations terroristes qui menacent d’attaquer les installations du gouvernement des États-Unis en République démocratique du Congo et quelles sont les réelles motivations ? Ce questionnement vaut son pesant d’or, maintenant que depuis 4 jours, l’ambassade des Etats-Unis d’Amérique est restée fermée au public. Sur les réseaux sociaux circulent une photo du centre culturel américain, démontrant que le drapeau américain aurait été arraché. Faits qui alimentent les discussions et font monter la pression dans une capitale résolument tournée vers la campagne électorale.

En effet, M. John Dunne, Attaché de presse à l’Ambassade des Etats-Unis à Kinshasa a été interviewé par ses services sur cette actualité, avant de donner des précisions. Que pouvons-nous dire aux citoyens américains au sujet de la menace en République démocratique du Congo? Quand l’ambassade reprendra-t-elle ses activités? Et de répondre que la priorité la plus haute du Secrétaire d’Etat est la sûreté et la sécurité des citoyens américains, y compris notre personnel diplomatique, militaire et les autres représentants du gouvernement travaillant à l’étranger.

Et de renchérir que nous suivons de près les rapports faisant état des menaces contre des installations du gouvernement des États-Unis à Kinshasa. Le Département d’Etat ne peut en dire davantage sur les rapports évoquant ces menaces. L’ambassade des États-Unis restera fermée au public le 29 novembre. Et d’ajouter que les forces de l’ordre locales et les responsables de la sécurité de l’ambassade prendront des mesures appropriées pour garantir la sécurité du personnel et des visiteurs.

Il a par la suite encouragé tous les citoyens américains vivant en dehors des États-Unis à s’inscrire au Smart Traveler Enrollment Program (STEP).  « Nous publierons des informations actualisées dans les Avertissements aux Voyageurs sur travel.state.gov<http://travel.state.gov/> et nous les enverrons aux citoyens américains inscrits au STEP.  Pour accéder à une liste détaillant les manières diverses de recevoir nos informations au sujet de la sûreté et de la sécurité, incluant Twitter et Facebook, veuillez consulter le site travel.state.gov/<http://travel.state.gov/stayingconnected>stayingconnectedhttp://travel.state.gov/stayingconnected », dit-il.

A la question de savoir, quelles organisations terroristes opèrent en Rdc et qui est responsable de cette menace? M. John Dunne répond que la liste des Organisations terroristes étrangères (FTO) reprend les noms d’organisations qui, de l’avis du Secrétaire d’Etat, se sont engagées dans la planification et la préparation d’actes terroristes futurs possibles ou qui conservent la capacité et l’intention de commettre de tels actes. Le Département d’Etat qualifie aussi les organisations et les individus ayant commis, ou qui pose un risque significatif de commettre, des actes terroristes comme étant des Terroristes internationaux Désignés Spécialement (SDGT), en application du Décret Présidentiel 13224.

En outre, la Liste d’Exclusion des Terroristes (TEL) répertorie les organisations qui, de l’avis du Secrétaire d’Etat, ont commis, planifié ou soutenu matériellement des activités terroristes. Toutes les listes sont publiées sur le site du Département d’Etat.

JMNK

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Le candidat du Front Commun pour le Congo (FCC), Emmanuel Ramazani Shadary poursuit sa campagne dans le Grand Katanga. Jeudi dans la soirée, le candidat n°13 à la présidentielle du 23 décembre 2018 est arrivé à Kalemie, chef-lieu de la province du Tanganyika, où il a fait ses études secondaires, décroché son diplôme d’Etat et marqué ses premiers pas en politique et dans l’enseignement supérieur et universitaire.

C’est à une population qui le connait fort bien et qu’il connait lui-même qu’il s’est adressé au stade Sendwe de Kalemie, où il a eu à jouer au football. Un meeting plein de chaleur pour une population qui retrouve un candidat qui connait bien ses problèmes et qui suggère dans le cadre de son programme électoral des pistes de solution pour les prochaines cinq années.

« Mettre fin à l’insécurité sous toutes ses formes, au banditisme urbain, aux tracasseries administratives sur les motards et autres hommes d’affaires, réhabiliter le chemin de fer, les routes de desserte agricole dans les six territoires du Tanganyika, jeter en prison les corrupteurs et ceux qui détournent les deniers publics… ». Tous ces thèmes ont été abordés dans son meeting maintes fois stoppé par des Slaves d’acclimations.

À la question posée à la foule de savoir qui allait voter pour le numéro 13 le 23 décembre, toute la foule a soulevé la main en guise de soutien.  Voilà pourquoi il a invité les habitants de Kalemie et de différents territoires à sécuriser le processus électoral et les matériaux de vote. L’occasion était également fort belle pour les organisateurs d’inviter le professeur Néhémie Mwilanya, coordonnateur du comité stratégique du FCC d’installer officiellement le Gouverneur Richard Ngoyi Kitangala comme coordonnateur provincial de la plateforme des nationalistes et patriotes progressistes dont Joseph Kabila est autorité morale.

Il sied de signaler à l’accueil tout comme au meeting la présence de plusieurs notables originaires du Tanganyika dont les honorables Jaynet Kabila, Zoé Kabila  et bien d’autres parmi lesquels le chef de la maison civile du chef de l’État, l’ambassadeur Théodore Mugalu.

Kamina : Shadary échange avec la base

C’est par plusieurs audiences accordées à différentes couches sociales et aux forces vives de la Province du Haut Lomami représentant de cinq territoires ( Malemba Nkulu, Kabongo, Bukama,  Kanyama, Kamina territoire) et la ville de Kamina que Ramazani Shadary a clôturé sa mission de campagne électorale dans le Haut Lomami. Aussi a-t-il organisé, avec le coordonnateur national du Fcc,  Néhémie Mwilanya et d’autres cadres de cette plateforme, une matinée politique de renforcement des capacités et de mise à niveau stratégique des candidats du FCC aux différents scrutins dans le Haut Lomami.

M.Ramazani a été également à l’Université de Kamina où il a réalisé la promesse faite la veille pour le payement des frais dits connexes pour tous les étudiants en difficulté qui lui avait soumis ce problème au cours du meeting du mercredi au stade de Kamina. Après le haut Katanga, le Lualaba et le Haut Lomami, Shadary est sa suite ont été reçus à Kalemie, dans la Province du Tanganyika, 4ème province en 4 jours de campagne à l’américaine.

Soulignons en passant que le Gouverneur Joachim Taila s’en va en campagne pour faire gagner à l’élection présidentielle du 23 décembre 2018 Emmanuel Shadary, candidat commun du FCC. C’était hier après son retour de Kinshasa qu’il a fait cette annonce.  Taila Nage promet de ne ménager aucun effort et de ratisser large pour le Dauphin du Président de la République Joseph Kabila, le Père de la Nation.  Une foule immense de membres du FCC Sud-Ubangi a accueilli le Coordonnateur de l’équipe de campagne d’Emmanuel Ramazani. Les membres ont fait des démonstrations de leurs capacités à rafler tous les sièges à tous les scrutins. Le Coordonnateur de l’équipe de campagne dans le Sud-Ubangi a aussi annoncé sa candidature à la députation nationale dans le territoire de Gemena.

JMNK

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Il y a quelques jours, une vidéo a circulé sur les réseaux sociaux et qui distille de fausses informations selon lesquelles, le ministre de Pêche et Elevage, Paluku Kisaka Yereyere aurait été kidnappé par des inconnus. En scrutant de près, il s’avère que cette information ne relève que d’un complot monté de toutes pièces à partir de Kampala en Ouganda par certains fils de la région pour porter atteinte à sa vie physique. Il promet de descendre à Beni pour y battre campagne pour lui-même à la députation nationale et pour le candidat du Front Commun pour le Congo (FCC), Emmanuel Ramazani Shadary.

Dans une mise au point parvenue hier au Journal L’Avenir, le ministre explique qu’il est encore à Kinshasa et en plein travail dans son bureau, bien qu’il s’apprête à aller battre campagne dans son fief électoral. Alors, il ne comprend pas le sens de ces rumeurs qu’il attribue plutôt à un leader du coin, mais opérant dans un pays voisin. Et ce, parce que le leader du RCD/KM, Antipas Mbusa Nyamwisi a déjà intoxiqué certains jeunes pour perturber le meeting tenu à Kasindi par Mumbere Kapitula Adelard, candidat député  provincial membre du Mouvement social pour le renouveau, parti auquel appartient le ministre Daniel Paluku Kisaka Yerere.

L’élu de Beni met en garde Mbusa Nyamwisi qui est du reste piégé, parce qu’il ne saura pus répéter la même recette. A cette occasion, le ministre a présenté toute sa compassion à la population de Béni, victime des tueries des terroristes de l’ADF, tout en  encourageant les opérations lancées contre les positions de l’ADF par les FARDC appuyées par la Brigade internationale d’intervention de la Monusco.

« Tout ce qu’on raconte dans les réseaux sociaux est un mensonge cousu de fil blanc, objectif, ternir mon image et celle de notre Champion du Front Commun pour le Congo à la Présidentielle, Emmanuel Ramazani Shadary », précise-t-il, tout en fixant l’opinion tant nationale qu’internationale sur l’intoxication d’un petit groupe de quelques individus par ses adversaires politiques en mal de positionnement à Kasindi dans le territoire de Béni, ce qui constitue une simple distraction de mauvais goût.

Il en appelle donc à la tolérance politique pendant cette période électorale, car le peuple attend plutôt des candidats des projets de société pour le convaincre et non pas de manipulations ni des injures. Il promet que dans les heures qui suivent, il se rendrait à Béni pour battre sa campagne et celle d’Emmanuel Ramazani Shadary à la présidentielle du 23 décembre 2018 en République Démocratique du Congo, car son programme est basé sur l’émergence de la Rdc avec la lutte contre la corruption, le détournement des deniers publics, les coulages de recettes publiques et la pacification avec la neutralisation définitive de toutes les forces négatives qui écument l’Est du pays dont les ADF, les Maï-Maï et les FDLR ainsi que la promotion de l’agriculture, pêche, aquaculture et élevage.

Il demande à sa base du territoire de Béni de voter massivement pour lui, le numéro 56 à la députation nationale et pour Emmanuel Ramazani Shadary à la Présidentielle, le numéro 13 car c’est un homme pétri d’expériences ; mais pas pour les vendeurs d’illusions qui n’ont jamais géré même une avenue et venir faire essai et erreur à la tête du pays.

Disons que certains opposants font une très mauvaise lecture, lorsqu’ils pensent que le pouvoir en place ne fournit pas assez d’effort pour mettre un terme au terrorisme de Beni. Mais ils oublient vite que certains parmi eux collaborent étroitement avec ces tueurs et ne sont même pas prêts à les dénoncer devant les services étatiques. Avant d’accuser méchamment le Gouvernement qui fait face à une guerre asymétrique et qui a trop perdu en termes de personnel militaire et matériels de guerre, ils devraient conjuguer les efforts pour mettre hors d’état de nuire ces terroristes, plutôt que de sympathiser avec eux.

JMNK

 

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Kinshasa et les autres villes et villages de la RDC bouillonnent au rythme de la campagne électorale. Les banderoles et affiches rivalisent dans toutes les rues. On peut y lire toutes sortes de messages : Voici l’homme nouveau…Votre candidat de confiance…Muana Mboka…L’homme du développement…Le candidat du changement…La maman sociale…, etc.

Particulièrement à Kinshasa, les yeux vont se fatiguer de lire et contempler les affiches dont la beauté est incomparable à celle des années passées (technologie aidant). A trois semaines de la date fatidique, personne ne s’avoue vaincue. Tout le monde y croit dur comme fer alors que l’Assemblée nationale n’a que 500 sièges pour toute la nation. Un seul constat se dégage à travers divers messages affichés partout : beaucoup de Congolais désirent aller au parlement et y passer au moins les 5 prochaines années.

Les raisons de cet engouement

La plupart des Congolais qui désirent être appelés honorables députés pensent d’abord à l’aisance matérielle et financière. Etre député, cela paie bien. Un boulot où tu bosses trois mois et tu te reposes trois autres mois, mais toujours bien payés. Un boulot où l’on est pris en charge et on roule carrosse. Etre député est un bon statut social en RDC.  Beaucoup de ministres sont passés par l’Assemblée nationale. Ils ont vu leurs conditions de vie changer substantiellement. Dans un pays de crise où la majorité de la population a du mal à nouer les deux bouts du mois, il est normal que de nombreuses personnes aspirent à être heureuses à travers un travail relativement moins contraignant. Un bon job où l’on est rarement invalidé à cause de l’incompétence ou l’absentéisme, alors que dans d’autres secteurs, l’obligation des résultats reste de mise. D’autres candidats veulent sécuriser leurs investissements. Ils ont de l’argent et désirent se protéger dans un statut d’intouchable, afin de prospérer davantage. Trop peu aspirent à cette fonction pour servir, bousculer l’Exécutif qui doit faire plus pour la pauvre population. Cette dernière catégorie est souvent avalée par les jouisseurs et égoïstes. La mauvaise semence corrompt la bonne. Résultat : la population voit les années passer mais sa misère demeure.

Qui doit être élu député ?

Cette fonction  nécessite des capacités intellectuelles au-dessus de la moyenne. Ensuite du courage pour dire ce que veut le peuple et pousser le gouvernant à le faire. Un député est un législateur. Il doit être bien outillé pour initier et voter des lois justes pour son pays. Et surtout veiller à leur application. Un député, c’est aussi celui qui contrôle l’Exécutif et les entreprises publiques. Il doit être moralement correct étant le représentant d’une partie de la société en crise. Un député est un homme du peuple, qui porte les préoccupations de celui-ci dans toutes ses démarches. Cela suppose un carnet d’adresses et un lobbying fort. N’importe qui n’a pas le droit de s’improviser député dans une nation. Au peuple congolais de savoir opérer un choix éclairé.

 

Muntu  Bualu

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Le Président de la République, Joseph Kabila Kabange a présidé mercredi à Kinshasa une réunion du Conseil Supérieur  de la Défense (CSD), à son bureau de travail. Le Président de la République, Président du Conseil Supérieur de la Défense a rappelé les Forces Armées de la République Démocratique du Congo et la Police Nationale Congolaise leurs obligations  en ce qui concerne, la protection du personnel politique, l’encadrement des activités politiques pendant la campagne jusqu’au scrutin du 23 décembre 2018 et la proclamation des résultats, la protection des infrastructures et des matériels commis à ce processus.

JMNK

Compte rendu de la réunion du Conseil Supérieur de la Défense  du mercredi 28 Novembre 2018

Le Président de la République, Chef de l’Etat, Commandant Suprême des Forces Armées de la République Démocratique du Congo, de la Police Nationale Congolaise et Président du Conseil Supérieur de la Défense, a présidé en cette qualité une réunion du Conseil Supérieur  de la Défense (CSD), à son bureau de travail de GLM, ce mercredi 28 Novembre.

Après analyse de la situation générale du pays, le Conseil Supérieur de la Défense a jugé  relativement calme la situation sécuritaire en dépit des quelques poches d’insécurité dans quelques territoires du pays, notamment : Secteur de Beni ; Djugu ; Fizi et Nord-Est du Tanganika.

Le Conseil Supérieur de la Défense a constaté le bon déroulement du processus électoral par le déploiement des matériels et le lancement de la campagne électoral sur toute l’étendue de la République. Le Président de la République, Président du Conseil Supérieur de la Défense a rappelé les Forces Armées de la République Démocratique du Congo et la Police Nationale Congolaise leurs obligations  en ce qui concerne : La protection du personnel politique, l’encadrement des activités politiques pendant la campagne jusqu’au scrutin du 23 décembre 2018 et la proclamation des résultats. Enfin, la protection des infrastructures et des matériels commis à ce processus.

Tout en rappelant son financement total par le gouvernement, le Président du Conseil Supérieur de la Défense invite la population congolaise au soutien massif et à éviter tout acte de nature a perturbé ce processus. Le Conseil Supérieur de la Défense a suivi l’exposé du ministre de la Santé, suite à la persistance de l’épidémie à virus Ebola dans le secteur de Bini-Butembo, et le risque de voir le processus électoral être impacté négativement par cette épidémie.

Le Conseil Supérieur de la Défense informe l’opinion publique nationale et internationale, la fin de l’opération de rapatriement des combattants FDLR et leurs dépendants cantonnés depuis 04 ans à Ki sangani, Kanyabayonga, et Walungu. Le Conseil Supérieur de la Défense rappelle que cette opération s’est effectuée en exécution de la recommandation des Chefs d’ Etats et des gouvernements signataires de l’Accord Cadre du 24 Février 2012, réunis le 19 Septembre 2017 à Brazzaville pour la 8ème  réunion de Haut Niveau du Mécanisme Régional de Suivi.

En effet, en date du 19 septembre 2017, les Chefs d’ Etats et des gouvernements des pays signataires de l’Accord-cadre pour la paix et la coopération pour la République Démocratique du Congo et la région avaient décidé que le «  rapatriement sans condition » des combattants FDLR désarmés, cantonnés dans les camps de transit de Kisangani, Kanyabayonga et Walungu en RDC ainsi que des ex-combattants de l’ ex- M 23 qui sont encore présents en Ouganda et au Rwanda soit achevé au plus tard le 20 octobre 2018.

Après sensibilisation, le gouvernement de la RDC a procédé au rapatriement de tous ces combattants rwandais et leurs dépendants. Au total 1.609 citoyens rwandais ont été rapatriés dont 516 combattants, 228 épouses et 865 enfants. Aussi, 237 combattants désarmés par les FARDC dans le cadre des opérations gardés en détentions à Lisala/Angenga ont été rapatriés. Le Conseil Supérieur de la Défense précise que cette opération s’est globalement déroulée dans le calme et sans aucun incident.

Enfin, le Conseil Supérieur de la Défense déclare officiellement la fin de cette opération et déclare par la même occasion, la Fermeture définitive de tous les camps de transit ayant servi au cantonnement des combattants FDLR, saisit cette opportunité pour féliciter les Forces Armées de la République Démocratique du Congo pour ce travail accompli  avec professionnalisme.

Ont pris part à cette réunion : Le vice-Premier ministre, ministre des Affaires Etrangères et Intégration Régionale, Son excellence Monsieur She Okitundu; Le vice-Premier ministre, ministre de l’Intérieur et Sécurité, Henri Mova Sakanyi; Le Chef d’ Etat-major général des Forces Armées de la République Démocratique du Congo, le lieutenant-Général Mbala Munsense Célestin; Le Commissaire général de la Police Nationale Congolaise, le Commissaire Divisionnaire Principal Amuli Bahigwa Dieudonné; Le Chef d’ Etat-major de la Force Terrestre, le Général-Major Kaumba Yankole Isidore; Le Chef d’Etat-major de la Force Aérienne, le Général Major Numbi Ngoie Enock; Le Che d’Etat-major de la Force Navale, le vice-amiral Linguma Mata Linguma; Le Chef de la Maison militaire du Président de la République ad intérim ; le Général-Major Yaw Kabey Jean-Claude.

Invité : Le ministre de la Santé, M. Oly Ilunga Kalenga.

Fait à Kinshasa, le 28 Novembre 2018

Le Ministre de la Défense Nationale, Anciens Combattants et Réinsertion

Crispin Atama Tabe Mogodi

P.O  Général major Yav Kabey Jean-Claude de la Maison Militaire du Président  de la République