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Alors qu’ il fait partie de la délégation officielle qui accompagne Joseph Kabila à New-York pour la traditionnelle assemblée générale de l’ ONU dont les travaux s’ ouvrent le mardi prochain, Barnabé Kikaya, conseiller diplomatique du chef de l’État congolais s’ est vu confier  une autre mission, convaincre Washington  à renoncer aux résolutions des sanctions ciblées en chantier à la chambre des représentants  contre certains dirigeants congolais.

Les militants du Rassemblement des forces politiques et sociales acquises au changement  seront bel et bien dans les rues de Kinshasa, le  lundi, 19 septembre 2016. Mais contrairement au plan initial, les manifestants en  ne se rendront plus en masse au siège de la Ceni pour y observer un sit-in.

Lors d’ une réunion tenue ce samedi au siège du parti Fonus, Rassemblement et gouverneur de la ville se sont plutôt accordés sur l’ organisation d’ une marche pacifique qui sera sanctionnée par un meeting. D’après l’ accord trouvé entre les organisateurs et l’ hôtel de ville,  la marche devra partir de l’ échangeur de limeté à la 17émè rue pour chuter sur le boulevard triomphal.

Satisfecit pour André Kimbuta qui salue sa politique de proximité. « J’avais promis le jeudi de venir vers les opposants pour la mise au point. Il faut aller vers les administrés. Ils sont tous administrés », déclare le gouverneur de la ville qui se réjouit du consensus qui s’ est dégagé entre les deux parties.

« C’est seulement aujourd’hui que je confirme que je vais prendre acte de la marche du Rassemblement. Nous nous sommes mis d’accord que la marche partira de la place de l’ Echangeur jusqu’au Boulevard Triomphal », explique t-il.

Le compromis trouvé prévoit que les manifestants rempruntent les avenues de la Libération, Kalembelembe et Kasavubu avant de déboucher sur le point de chute. Seule, une petite délégation du rassemblement a été autorisée à se rendre au siège de la Ceni  après la manifestation pour y déposer le mémorandum.

André Kimbuta qui tient à l’ itinéraire convenu place ainsi les organisateurs devant leurs responsabilités. « Il n’ y aura pas de sit-in», insiste le gouv. Le plus important renchérit-il, c’ est « la marche et le meeting qui seront organisés ».

Jean Pierre Kayembe

 

 

Pendant que certains Congolais s’illustrent à concocter des plans machiavéliques d’embrasement de leur propre pays à partir de l’étranger, campagne du reste vouée à l’échec, d’autres compatriotes dont les professeurs d’universités estiment que le moment était venu pour se souder derrière le candidat du Front Commun pour le Congo (FCC), désigné par le président de la République, Joseph Kabila Kabange et l’accompagner ainsi à gagner l’élection présidentielle du 23 décembre 2018. Dans une déclaration rendue publique le week-end dernier, ces Universitaires congolais pensent que c’est le moment pour eux de soutenir la candidature d’Emmanuel Ramazani Shadary, candidat de la relance du Congo à la magistrature suprême.

Avec une feuille de route que le prochain président de la République, vraisemblablement Emmanuel Ramazani Shadary devra respecter, les signataires de la déclaration (qui suit) se disent préoccupés par la problématique de la liquidation de la crise de légitimité des institutions héritées des querelles survenues à l’aube de l’indépendance de la Rdc et sont soucieux de la certification de la démocratie à travers une passation de pouvoirs exemplaire à  l’issue du terme des premières mandatures de la  troisième République.

Leur comportement, mieux leur agir est motivé par le fait qu’ils pensent, en rapport avec l’issue des élections et la  légitimation des institutions politiques, que les élections en cours rompent avec la longue pratique  de l’usurpation du pouvoir par les opérateurs politiques,  auteurs des coups d’Etat ou bénéficiaires du partage du pouvoir d’Etat entre membres de clubs ou composantes politiques et que le Peuple congolais mérite les félicitations pour sa forte mobilisation qui a montré la volonté des citoyens de reprendre leur destin en mains.

Voilà pourquoi le Peuple congolais ne doit reconnaître la légitimité politique qu’aux mandataires légalement issus des urnes, et ne doit plus jamais accepter que des négociations permettent à des acteurs perdants de se retrouver sur la scène politique au même titre que les gagnants. De même, les mandataires élus doivent au préalable s’engager devant le Peuple au strict respect de la lettre et de l’esprit de la Constitution et s’interdire solennellement de solliciter auprès du Parlement la révision des dispositions constitutionnelles relatives à la durée et au nombre de mandats qui leur sont impartis.

Egalement, les candidats et leurs propagandistes doivent faire montre de bonne éducation et s’interdire toute  thématique électorale exploitant les clivages tribaux, ethniques, provinciaux ou régionaux, de même que des propos injurieux, haineux ou incitant à la violence et le peuple congolais doit refuser d’être gouverné par des personnes indignes et irresponsables, dépourvues de tout sens du bien commun et de la dignité humaine, ou qui hypothèquent l’avenir pour des générations.

Prenant la parole, le candidat président de la République, Emmanuel Ramazani Shadary s’est dit heureux de s’exprimer devant ceux qu’il considère comme ses maîtres. Ce, avant de montrer, devant ces derniers et à la face du monde, combien le domaine scientifique s’avère indispensable pour l’expansion d’un Etat.

 

JMNK 

Candidature de Emmanuel RAMAZANI SHADARY :

 L’Appel des Universitaires Congolais

Nous Universitaires Congolais, Signataires de la présente déclaration,

Préoccupés par la problématique de la liquidation de la crise de la légitimité des institutions héritées des querelles survenues à l’aube de l’indépendance de notre pays ;

Soucieux de la certification de la démocratie à travers une passation de pouvoirs exemplaire à  l’issue du terme des premières mandatures de la  Troisième République ;

Gardant, dans notre mémoire et dans nos  archives, la feuille de route ci-après :

  1. Vision 10/25 : Vivre dans une société d’espoir (26 octobre 2005) (DSCRP 1)

Société d’espoir

En 2030, le Congo abrite une société d’espoir où il fait  bon naître et vivre, et où l’espérance de vie de la population est devenue longue.

Tous les citoyens y sont respectés. Les savants, les hommes de culture et de science y sont honorés. Avec le concours des leaders politiques, ils développent des mécanismes adéquats de lutte contre le retour de la pauvreté, sous quelque forme que ce soit.

  1. A l’issue du Conclave du Mont Amba (15 septembre 2006) – A la veille du second tour des

élections 2006

  1. En rapport avec l’issue des élections et la légitimation des institutions politiques
  2. Les élections en cours rompent avec la longue pratique de l’usurpation du pouvoir par les opérateurs politiques, auteurs de coups d’Etat ou bénéficiaires du partage du pouvoir d’Etat entre membres de clubs ou composantes politiques.
  3. Le Peuple congolais mérite nos félicitations pour sa forte mobilisation qui a montré la volonté des citoyens de reprendre leur destin en mains.
  4. Le Peuple congolais ne doit reconnaître la légitimité politique qu’aux mandataires légalement issus des urnes, et ne doit plus jamais accepter que des négociations permettent à des acteurs perdants de se retrouver sur la scène politique au même titre que les gagnants.
  5. Les mandataires élus doivent au préalable s’engager devant le Peuple au strict respect de la lettre et de l’esprit de la Constitution et s’interdire solennellement de solliciter auprès du Parlement la révision des dispositions constitutionnelles relatives à la durée et au nombre de mandats qui leur sont impartis.
  6. Les candidats et leurs propagandistes doivent faire montre de bonne éducation et s’interdire toute

thématique électorale exploitant les clivages tribaux, ethniques, provinciaux ou régionaux, de même que les propos injurieux, haineux ou incitant à la violence.

  1. Le Peuple congolais doit refuser d’être gouverné par des personnes indignes et irresponsables, dépourvues de tout sens du bien commun et de la dignité humaine, ou qui hypothèquent l’avenir pour des générations.
  2. A l’issue du Symposium du Cinquantenaire de l’Indépendance (3 décembre 2010)

Notre rêve, c’est de reprendre définitivement le bel élan pour faire du Congo une terre d’espérance, une nation unie, une puissance en Afrique et dans le monde, un pays que nous aimons et dans lequel nous voulons vivre dans la prospérité, la fierté, la paix et la dignité.

Pour y parvenir, nous nous engageons prioritairement à :

  • Promouvoir, comme principes de base de la vie nationale, l’amour de la patrie, les droits fondamentaux de la personne humaine, l’éthique, l’intégrité et le respect des lois et règlements de la République ;
  • Former un nouveau front commun par un nouveau pacte démocratique et républicain, en vue de l’édification d’un Etat de droit doté d’une économie forte et sécurisée d’une armée républicaine en vue du développement durable.

Notons avec satisfaction la progression soutenue des préparatifs devant nous conduire aux  élections à la date du 23 décembre 2018, conformément au calendrier publié par la CENI ;

Avons pris connaissance des différentes candidatures à l’élection présidentielle et les avons évaluées au regard des défis de l’édification d’un pays conforme à nos ambitions légitimes ;

Saluons avec ferveur la candidature de Emmanuel RAMAZANI SHADARY, laquelle offre le meilleur profil de tous, vu son cursus académique, sa personnalité, sa moralité, son sens d’humanité, son expérience de la gestion de la chose publique, son patriotisme, son attachement à la droiture ;

Appelons la communauté universitaire et la nation tout entière à tenir le pari pour l’excellence.

Loin des clivages sectaires, portons à la Magistrature Suprême ce candidat de la relance du Congo.

Le moment est venu, pour les Congolaises et les Congolais, de redire : « et pour de bon, prenons le plus bel élan ».

Fait à Kinshasa, le 08 septembre 2018

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Le Programme commun des nations unies sur le VIH/SIDA (ONUSIDA) et StarTimes expérimentent une nouvelle méthode de sensibilisation de la jeunesse africaine au VIH/sida via une application de vidéo en ligne. C’est ce qu’indique un article publié dans le site d’Actualite.cd.

A en croire ce médias, la Première dame de la République du Malawi, Gertrude Mutharika, le directeur exécutif de l’ONUSIDA, Michel Sidibé, et la vice-présidente du Groupe StarTimes, Guo Ziqi, ont tenu lundi 3 septembre à Pékin une réunion sur le thème « Valeur des nouveaux médias dans les campagnes africaines de prévention au VIH/sida ».

A l’heure actuelle, les nouvelles infections au VIH et les décès liés au sida sont plus fréquents chez les jeunes en Afrique car les informations de prévention du VIH/sida ne parvient pas jusqu’aux jeunes de manière efficace. Il s’agit d’un problème urgent pour la campagne mondiale de prévention du VIH/sida que de toucher plus de jeunes.

Michel Sidibé a déclaré lors de la réunion : « Nous avons constaté des progrès dans la plupart des pays mais notre principal défi est l’autosatisfaction. Les jeunes, ils n’ont pas d’information, ils n’ont pas de connaissances donc ils ne se protègent pas. Donc l’information, la connaissance et l’éducation, c’est pourquoi StarTimes est très important pour nous  (…) Je veux simplement dire que partager l’information, apporter les connaissances et garantir que nous puissions changer les jeunes sera déterminant pour mettre fin au sida ».

Il a noté que dans la plupart des pays africains, 70% de la population a moins de 35 ans et ne reçoit pas ces informations. « Notre nouvelle approche va changer complètement la situation et nous aider à avoir une génération libérée du sida. »

Grâce à la popularisation d’Internet et des Smartphones, l’Afrique a entamé sa révolution numérique. A l’image des Européens, Américains ou Chinois, les jeunes Africains regardent de plus en plus de vidéos sur leur téléphone.

« Partant de ce constat, StarTimes a lancé en juin son service de vidéo en ligne sur le marché africain avec l’application StarTimes. En trois mois, l’application StarTimes a totalisé 8 millions de téléchargements et ce chiffre devrait se monter à 15 millions d’ici la fin de l’année», explique Guo Ziqi en précisant que l’application StarTimes diffuse actuellement une vidéo de prévention de l’ONUSIDA dans le cadre de tests de coopération avec l’ONUSIDA sur sa plate-forme de vidéo en ligne.

La première dame du Malawi et ancienne présidente de l’Organisation des Premières dames africaines contre le VIH/sida, Gertrude Mutharika, a déclaré : « Le Malawi a connu une croissance rapide et significative du nombre de téléphones mobiles et d’abonnés ces deux dernières décennies. La majorité des gens qui achètent un téléphone le font pour utiliser les réseaux sociaux ainsi que comme source d’information. C’est pour cette raison que nous révisons notre stratégie de prévention du VIH et cherchons à explorer les technologies et plates-formes de réseaux sociaux et pour toucher les jeunes ».

Je pense que le lancement de l’application StarTimes arrive au moment parfait pour la prévention du VIH. Cela va considérablement améliorer nos efforts nationaux pour réduire les infections au VIH, en particulier chez les jeunes. J’espère pouvoir travailler étroitement avec StarTimes et l’ONUSIDA au Malawi, » a-t-elle ajouté.

Durant la réunion la vice-présidente de StarTimes a présenté le projet de coopération sino-africaine « Accès à la TV satellite pour 10 000 villages africains » qui est mis en œuvre par StarTimes. Elle a proposé d’explorer de nouvelles méthodes de sensibilisation au VIH/sida dans les zones rurales à travers cette plate-forme.

Le projet « Accès à la TV satellite pour 10 000 villages africains » a d’abord été annoncé par le président chinois Xi Jinping lors du Sommet de Johannesburg du Forum sur la Coopération Chine-Afrique en 2015. Le gouvernement chinois fera don à 10 112 villages africains de deux projecteurs, d’un téléviseur numérique 32 pouces, de 20 kits décodeur StarTimes.

L’ONUSIDA et StarTimes ont formellement établi un partenariat le 12 mai 2017 afin de « réduire l’impact du VIH en Afrique en propageant des messages au public afin d’améliorer la sensibilisation au VIH et le travail de l’ONUSIDA ainsi que de réduire la stigmatisation et l’opprobre dont sont victimes les personnes vivant avec le sida et les populations affectées par le VIH ».

Après l’établissement de leur partenariat, StarTimes et l’ONUSIDA ont travaillé à mettre en action leur coopération dans différents pays africains dans le but de mobiliser toutes les ressources disponibles pour améliorer la sensibilisation au VIH/sida sur le continent.

Ces deux dernières années, StarTimes a diffusé plusieurs vidéos de l’ONUSIDA sur sa chaîne Guide accessible à plus de 10 millions de foyers africains.

Guo Ziqi a ajouté : « Avec un plus grand nombre de plates-formes de diffusion, une base d’abonnés plus grande et plus diversifiée ainsi qu’un contenu plus riche, nous parviendrons à tirer le meilleur parti de nos ressources pour contribuer à mettre fin à l’épidémie de sida d’ici 2030 ».

Prince Yassa/Cp

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S’agissant de l’usage de la machine à voter, la mission, qui a expérimenté ladite machine et reçu les plus amples explications à son sujet, constate que cette machine vient résoudre des problèmes réels auxquels le pays était confronté du point de vue de l’organisation logistique de ses élections, notamment l’impératif de réduction tant des délais que de leur coût. Elle salue cette innovation congolaise et en félicite la CENI tout en l’encourageant à expliquer et sensibiliser davantage la population et les acteurs politiques afin de lever tout malentendu à ce sujet.

La Commission électorale nationale indépendante (CENI) a accueilli, à Kinshasa, du 5 au 7 septembre 2018, une mission du Forum des commissions électorales de la SADC (ECF-SADC). Cette mission avait pour objet la pré-évaluation du processus en vue de déterminer la nature et l’étendue de l’appui du forum aux élections de ce pays membre.

Elle a été conduite par la Présidente de l’ECF-SADC, Mme Advocate Notemba Tjipueja, présidente de la Commission électorale de Namibie, accompagnée de M. Hamid Mahmound Hamid, président de la Commission électorale de Zanzibar, Dr. Makase Nyaphisi, membre de la Commission électorale du Lesotho ; M. Salum Kassambara Ali, Secrétaire exécutif national de la Commission électorale de Zanzibar, ainsi que Mme Hilda Modisane du Secrétariat de l’ECF-SADC.

Pendant deux jours, les membres de la mission ont évalué, avec la CENI, l’avancement des préparatifs des scrutins combinés présidentiel, législatifs et provinciaux, du 23 décembre prochain. Au terme de cet examen, la mission déclare être satisfaite de l’exécution du calendrier électoral qui est telle que l’on est assuré de la tenue effective des trois scrutins prévus (présidentiel, législatif national et provincial) dans le temps imparti. Elle recommande à la CENI de maintenir le même élan et le même engagement dans l’exécution des activités du calendrier qui restent à décliner.

Elle félicite les institutions de la République Démocratique du Congo qui ont relevé le défi du parachèvement du cadre légal électoral en adoptant et en promulguant les lois qui constituaient les contraintes assorties au calendrier électoral.

Elle constate, au plan politique et social, la particularité de la République Démocratique du Congo dans la région au regard du nombre des partis et regroupements politiques et encourage la CENI à maintenir le rythme de concertation avec les uns et les autres afin de garantir la transparence du processus. Elle déplore à cet effet l’absence des témoins des partis politiques lors des opérations d’identification et d’enrôlement des électeurs autant qu’à l’étape d’inscription et traitement des candidatures. Elle encourage les différents acteurs et parties prenantes à pallier à cette lacune pour la suite du processus.

En ce qui concerne le financement des élections, la mission a pris acte de la décision du gouvernement congolais d’assurer seul leur financement. Concernant l’aspect logistique du déploiement des matériels, la mission a été rassurée par les explications fournies par la CENI quant à la prise en compte des recommandations formulées par les observateurs de l’ECF- SADC au terme des élections de 2011, notamment : « Que la distribution des matériels se fasse à temps, de manière à permettre au processus de commencer dans le temps prévu et d’assurer la sécurité des matériels ».

S’agissant de l’usage de la machine à voter, la mission, qui a expérimenté ladite machine et reçu les plus amples explications à son sujet, constate que cette machine vient résoudre des problèmes réels auxquels le pays était confronté du point de vue de l’organisation logistique de ses élections, notamment l’impératif de réduction tant des délais que de leur coût. Elle salue cette innovation congolaise et en félicite la CENI tout en l’encourageant à expliquer et sensibiliser davantage la population et les acteurs politiques afin de lever tout malentendu à ce sujet.

La Présidente du Forum a annoncé d’ores et déjà l’envoi d’une mission d’observation pour les prochaines élections, laquelle sera conduite par M. Hamid Mahmound Hamid, président de la Commission électorale de Zanzibar. Le Forum enverra également sous peu 2 experts membres du personnel permanent qui appuieront la CENI aux côtés des autres experts de la Monusco et du PNUD.

Mme Hilda Modisane a rappelé, au nom du Secrétariat du Forum, l’invitation adressée à toutes les commissions membres pour la tenue au Lesotho, du 22 au 27 octobre prochain, de la 20eme Conférence générale annuelle. L’ECF-SADC remercie la CENI pour l’accueil chaleureux et cette dernière réitère ses remerciements à l’endroit de ses hôtes et se tient prête pour tenir compte de toutes les recommandations lui adressées.

JMNK

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C’est le samedi septembre 2018 que la mission conjointe du Forum des Commissions Electorales (ECF) et la SADC a bouclé sa mission en République démocratique du Congo. Mme Notemba Tjipueja, Chef de mission et également Présidente de la Commission électorale de la Namibie  a conduit cette visite de solidarité doublée d’une mission de pré-évaluation du processus électoral. Elle a profité de son séjour à Kinshasa pour prendre connaissance du début de l’opération de l’affichage progressive des listes provisoires des électeurs conformément à l’une des recommandations de la Mission d’audit de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF).

Afin de se rendre compte de l’effectivité de l’affichage des listes des électeurs, Mme Motemba et sa suite se sont dirigées à l’EP 1 et 2 Sainte Anne ou école de la gare, dans la commune de la Gombe. Ici, elle a été reçue par Mme Mukwayanzo, une des Secrétaires provinciaux de la CENI, qui lui a donné le détail de cette opération. « Nous avons 969 sites d’enrôlement à Kinshasa et généralement, les sites de vote sont des écoles. Il y a une autre liste des radiés, … », dit-elle.

Après cette étape, le cortège s’est ébranlé vers un autre site, situé presque derrière le siège officiel de la CENI. Il s’agit du collège  Saint Joseph/Elikya. La délégation a eu pratiquement les mêmes explications, surtout le fait que c’est le directeur de l’école qui a la fiche des électeurs et qui reçoit les plaintes.

A l’issue de cette visite, Mme Notemba Tjipueja  a indiqué qu’à voir la façon dont la CENI a affiché les listes des électeurs, cela est une bonne chose, car la loi prévoit que les listes  soient  affichées un mois avant les élections. « Nous saluons l’effort de la CENI parce que  quatre mois avant les élections, elle a affiché les listes des électeurs. Et nous sommes bien conscients que parmi les membres de la SADC, la crédibilité des listes des électeurs est quelque chose importante pour le processus électoral », dit-elle, avant d’ajouter que comme la CENI fait  partie du forum des commissions électorales de la SADC, nous l’encourageons ainsi que toutes les parties prenantes, à inviter les électeurs à venir vérifier si leurs noms se trouvent sur des listes électorales.

Et de renchérir que ça, c’est une activité qui sera très importante à faire. Elle a lancé un appel à l’endroit de tous les électeurs à venir vérifier que leurs noms se trouvent sur les listes, afin d’avoir la capacité de faire  appliquer leur droit de vote. C’est aussi quelque chose que les observateurs nationaux et internationaux vont apprécier, surtout la capacité des électeurs à pouvoir voter, ce qui contribuera à la crédibilité des élections.

Du constat fait dans les deux sites visités, il n’y a pas assez d’engouement. Mieux, les parties prenantes ne demandent pas à la population de venir vérifier si elles seront réellement électrices le 23 décembre 2018. C’est ce qui a poussé Mme Mukwayanzo à soutenir que les électeurs doivent venir vérifier les listes qu’on a affichées. « Nous continuons à les sensibiliser, mais c’est aux partis politiques  d’encourager leurs militants à venir voir les listes et ce n’est pas le jour de vote qu’il faudra poser le problème », insiste-t-elle.

JMNK

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Très engagée dans la défense de la souveraineté nationale, l’UDS condamne avec la dernière énergie les ingérences répétées de certaines puissances étrangères dans les affaires congolaises et fustige, par conséquent, l’infantilisme politique primaire d’une partie de la classe politique congolaise qui sillonne toujours le monde occidental à la recherche d’un hypothétique soutien en rampant, sans froid aux yeux, aux pieds des anciens colonisateurs bradant ainsi notre indépendance nationale acquise au prix du sang. Ce parti politique juge inacceptable que, cinquante-huit ans après l’accession à la souveraineté nationale, des messes noires soient encore dites, dans des capitales occidentales, contre le Peuple Congolais et ses dirigeants légitimes. Et ce, avec la participation de quelques compatriotes égarés en mal de positionnement politique.

Le processus électoral en cours en Rd Congo a obligé l’Union des Démocrates Socialistes (UDS), Membre Fondateur du Groupe des Partis Indépendants (GPI), Regroupement Politique signataire de la Charte du Front Commun pour le Congo (FCC),  à se réunir, le samedi 08 Septembre 2018 à Kinshasa,  sous la direction de son Président National, M. Crispin Kabasele Tshimanga. A l’issue des travaux de cette réunion spéciale élargie aux cadres et membres de la Ville de Kinshasa, ce parti politique reconnait que la Rdc, traverse actuellement une crise politique, économique et sociale qui nécessite une rapide thérapie de choc.

A cet effet, l’UDS invite les acteurs politiques congolais, toutes tendances confondues, à savoir la Majorité au pouvoir et l’Opposition, à transcender leurs divergences en vue de contribuer, d’une manière responsable et patriotique, à la refondation de l’Etat congolais afin de renforcer    les fondements de notre Nation lourdement lézardés. Tout en renouvelant son indéfectible attachement au Président de la République, l’UDS lui demande de s’impliquer davantage dans la résolution de la présente crise congolaise qui a trop duré.

Pour l’UDS, le Président de la République, est le mieux placé, conformément aux dispositions pertinentes de la Constitution, pour réunir les représentants de toutes les couches de la population dans un nouveau Forum politique national et ce, sans discrimination ni exclusion, afin de trouver des solutions adéquates et appropriées pour consolider l’unité et la cohésion nationales.

Elle joint également sa voix à celle d’autres compatriotes pour demander  le retrait pur et simple de la fameuse machine à voter qui sera installée dans tous les bureaux de vote pour toutes les opérations électorales ainsi qu’une nouvelle révision du fichier électoral étant donné que l’ancienne révision a été mal réalisée.

L’UDS, au nom du réalisme politique et  de la paix, revient sur sa pertinente proposition relative à la tenue d’un nouveau dialogue politique entre Congolais et placé sous la facilitation congolaise en vue de dégager un vrai consensus sur toutes les questions nationales de nature à diviser, pour rien, le Peuple qui aspire à une paix durable et au bonheur.

Cette nouvelle rencontre politique constituera, aux yeux de l’UDS, un cadre idéal devant engager notre Nation dans la voie de la réconciliation nationale et de la décrispation du climat politique avant l’organisation d’une quelconque élection dans notre pays.

Rappelons que les élections en Rdc sont irréversibles et la CENI ne jure que sur la machine à voter. Ce parti politique, a-t-il réellement être écouté, surtout que les Congolais sont fatigué des rencontres du genre ‘’dialogue’’ et estiment que l’alternance et à leur portée.

Très engagée dans la défense de notre souveraineté nationale, l’UDS condamne avec la dernière énergie les ingérences répétées de certaines puissances étrangères dans les affaires congolaises et fustige, par conséquent, l’infantilisme politique primaire d’une partie de la classe politique congolaise qui sillonne toujours le monde occidental à la recherche d’un hypothétique soutien en rampant, sans froid aux yeux, aux pieds des anciens colonisateurs bradant ainsi notre indépendance nationale acquise au prix du sang.

L’UDS juge inacceptable que, cinquante-huit ans après notre accession à la souveraineté nationale, des messes noires soient encore dites, dans des capitales occidentales, contre le Peuple Congolais et ses dirigeants légitimes. Et ce, avec la participation de quelques compatriotes égarés en mal de positionnement politique.

Elle termine par lancer un appel patriotique à la vigilance en invitant la population à barrer la route aux traîtres et autres laquais de l’impérialisme international qui œuvre continuellement à la déstabilisation de la République Démocratique du Congo et de son Vaillant Peuple.

JMNK

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Les Léopards de la RDC ont su voyager hier dimanche à Monrovia au Libéria, où ils sont allés arracher un précieux match nul de 1-1, en match de la 2ème journée des Eliminatoires de la CAN Cameroun 2019.

Les poulains de Jean-Florent Ibenge Ikwange ont fait l’essentiel sur une pelouse inappropriée, en tenant en échec l’équipe  locale sur ce match nul. Et ce, malgré la pression de l’adversaire et son public. Les Léopards ont joué la conservation avec une possession supérieure à leur adversaire. Comme un but ne vient que sur une erreur, c’est sur un dégagement raté de Christian Luyindama Nekadio que Jebor récupère le ballon et fusie à bout portant  le portier congolais Anthony Mossi Ngawi pour le 1-0 des Lone Stars du Libéria.

La réaction des Léopards a été immédiate, car ils se sont installés dans la moitié du terrain libérienne et un centre en chandelle de Glody Ngonda Muzinga, repris en demi-volet par Elia Lina Meschack dans la lucarne opposée du portier libérien pour l’égalisation à la 82ème minute. Un nul que les fauves congolais ont su gérer malgré la pression de l’équipe locale et de son public déchainer.

Un bon résultat pour le onze congolais qui reste collé aux Warriors zimbabwéen avec le même nombre de points, soit 4 points après leur match imposé aux Congolais de Brazzavillois de 1-1.  Nous y reviendrons dans nos prochaines éditions.

Voici par ailleurs les 11 du départ de l’équipe de la Rdc : Anthony Mossi Ngawi, Djos Issama Mpeko, Christian Luyindama Nakadio, Wilfred Moke Abro, Glody Ngonda Muzinga, Nelson Munganga Omba, Jacques Maghoma, Fabrice Ngoma Luamba, Benik Afobe Tunani, Jonathan Bolingi Mpangi et Junior Kabananga Kalonji.

Gaby Mass