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Alors qu’ il fait partie de la délégation officielle qui accompagne Joseph Kabila à New-York pour la traditionnelle assemblée générale de l’ ONU dont les travaux s’ ouvrent le mardi prochain, Barnabé Kikaya, conseiller diplomatique du chef de l’État congolais s’ est vu confier  une autre mission, convaincre Washington  à renoncer aux résolutions des sanctions ciblées en chantier à la chambre des représentants  contre certains dirigeants congolais.

Les militants du Rassemblement des forces politiques et sociales acquises au changement  seront bel et bien dans les rues de Kinshasa, le  lundi, 19 septembre 2016. Mais contrairement au plan initial, les manifestants en  ne se rendront plus en masse au siège de la Ceni pour y observer un sit-in.

Lors d’ une réunion tenue ce samedi au siège du parti Fonus, Rassemblement et gouverneur de la ville se sont plutôt accordés sur l’ organisation d’ une marche pacifique qui sera sanctionnée par un meeting. D’après l’ accord trouvé entre les organisateurs et l’ hôtel de ville,  la marche devra partir de l’ échangeur de limeté à la 17émè rue pour chuter sur le boulevard triomphal.

Satisfecit pour André Kimbuta qui salue sa politique de proximité. « J’avais promis le jeudi de venir vers les opposants pour la mise au point. Il faut aller vers les administrés. Ils sont tous administrés », déclare le gouverneur de la ville qui se réjouit du consensus qui s’ est dégagé entre les deux parties.

« C’est seulement aujourd’hui que je confirme que je vais prendre acte de la marche du Rassemblement. Nous nous sommes mis d’accord que la marche partira de la place de l’ Echangeur jusqu’au Boulevard Triomphal », explique t-il.

Le compromis trouvé prévoit que les manifestants rempruntent les avenues de la Libération, Kalembelembe et Kasavubu avant de déboucher sur le point de chute. Seule, une petite délégation du rassemblement a été autorisée à se rendre au siège de la Ceni  après la manifestation pour y déposer le mémorandum.

André Kimbuta qui tient à l’ itinéraire convenu place ainsi les organisateurs devant leurs responsabilités. « Il n’ y aura pas de sit-in», insiste le gouv. Le plus important renchérit-il, c’ est « la marche et le meeting qui seront organisés ».

Jean Pierre Kayembe

 

 

La Cour suprême de Justice faisant office de Cour de cassation a décidé, hier, de renvoyer  au 10 octobre 2018 l’affaire qui oppose le Procureur général de la République à l’ex-gouverneur du Katanga, Moïse Katumbi. Et qui porte sur le recrutement de mercenaires. A l’issue d’une courte audience publique consacrée à l’examen d’exceptions soulevées par les avocats de Katumbi sur la régularité de saisine, la Cour a relevé qu’aucune assignation à comparaitre n’est parvenue à l’opposant congolais ni à l’Américain Darryl Lewis.

La procédure de notification à comparaitre n’a pas été respectée, a indiqué pour sa part, la Cour suprême de Justice, faisant savoir que Katumbi n’est plus à l’adresse où cette notification a été envoyée, de même pour Darryl Lewis. Celui-ci se trouve à l’étranger. Cette décision est intervenue pendant que les militants et cadres de la plateforme Ensemble pour le changement qui soutiennent la candidature de Moïse Katumbi à la magistrature suprême, se sont déplacés par centaines, pour le soutenir.

Cette audience a eu lieu au moment où 50 députés nationaux et les sénateurs de l’opposition ont saisi le président de la République à travers une lettre ouverte. Dans leur correspondance, les signataires demandent au magistrat suprême d’intervenir dans une affaire qui est déjà pendante devant les cours et tribunaux et à laquelle la défense avait sollicité le renvoie à la Cour suprême de justice. « Ayant perdu la qualité de Gouverneur de province et ne jouissant d’aucun privilège de juridiction, Moïse Katumbi ne peut être jugé que par le Tribunal de Grande Instance de Lubumbashi. Et procéder autrement, c’est violer les lois congolaises et les instruments internationaux en la matière », arguent-ils.

Tout ceci, c’était sans compter avec la réaction musclée de leurs collègues députés nationaux et sénateurs de la Majorité présidentielle (MP). Ceux-ci, dans une réplique, expliquent, s’agissant du cas d’un ancien gouverneur de province, qu’il demeure justiciable de la Cour de cassation lorsque les faits dont il est poursuivi remontent à l’époque de l’exercice de ses fonctions. Cette lettre ouverte contresignée seulement par le 1/12ème de l’ensemble des membres des deux Chambres du parlement national, soit sur un total de 608, 50 députés nationaux et sénateurs en mal de positionnement électoral et partisans de l’institution du fameux régime spécial décrié par tous, n’a pour fonction essentielle que d’essayer de gêner le processus électoral en cours. Ceci entrainant cela, cette prise de position traduit la peur de ses auteurs qui ne peuvent, avec efficience, affronter les élections qui pointent déjà à l’horizon.

Au plan strictement juridique du traitement d’un dossier judiciaire renvoyé devant le juge, les députés nationaux et sénateurs de la Majorité présidentielle font savoir ceci :  à tous les stades de la procédure, le prévenu mis en cause a toujours joui de l’assistance de ses Conseils; après la transmission au juge de la requête aux fins de fixation d’audience, ni le Procureur général ni le Gouvernement ni le Chef de l’Exécutif national ne peut empêcher le juge de statuer sur une cause renvoyée à sa connaissance ; si un prévenu estime que le Ministère public a saisi un juge incompétent, c’est devant le tribunal ou la cour saisie qu’il se doit de soulever le déclinatoire de compétence; il est anormal qu’au nom du droit à un procès équitable, on puisse demander au Président de la République d’empêcher le déroulement d’un procès régulier.

Et les mêmes députés et sénateurs d’ajouter qu’en dépit des accords politiques survenus entre acteurs de la Majorité, de l’Opposition et de la Société civile, il y a lieu de souligner que la Constitution et les lois de la République demeurent d’application et qu’en conséquence, conformément à la pratique des Etats modernes, lesdits accords ne peuvent concerner que les cas amnistiables ou susceptibles de faire  l’objet de la grâce présidentielle. Et que tout en réfutant l’accusation de ‘’harcèlement judiciaire’’ vainement vantée par ladite lettre ouverte, chacun peut s’instruire de l’expérience positive des autres, fondée sur l’indépendance de la justice. Ils sont, en effet, notoires les épisodes des interpellations judiciaires non interrompues initiées ailleurs, en période électorale et en toute indépendance, contre des acteurs politiques comme François Fillon, Nicolas Sarkozy, Dominique Strauss-Kahn, Lula da Silva… C’est, Somme toute, malheureux qu’il y ait encore chez nous des gens qui aspirent à l’exercice du pouvoir politique, mais qui font publiquement fi du pouvoir de l’Officier du Parquet d’enquête ou d’instruire proprio motu, fût-ce pour des infractions commises à l’étranger par des personnes ayant, un jour,  porté un passeport congolais.

De la genèse de cette affaire

Il sied de souligner que lors d’une manifestation illégale, le 24 avril à Lubumbashi, des éléments de la Police nationale congolaise avaient mis la main sur quatre personnes visiblement déterminées à franchir la barrière policière, en dépit des sommations des forces de l’ordre. A l’identification de ces derniers, il se révèlera qu’un de ces quatre est un sujet américain du nom de Lewis Darryl, qui ne connait rien des artères de la capitale cuprifère et que d’autres étaient des gardes du corps de M. Moïse Katumbi Chapwe, en l’occurrence un certain Mwashila Frank.

Selon le Ministre de la Justice, lors des interrogatoires, M. Lewis Darryl puisant dans sa malice, s’est d’abord présenté comme un spécialiste en agriculture venu donner son expertise à M. Katumbi, dans ses fermes, ensuite comme spécialiste dans le domaine médical avant de révéler, en fin, sa véritable identité et son rôle auprès de son mentor.

Devant témoins, le mercenaire américain Lewis Darryl a révélé être un ancien militaire (Marines), donc commando de l’Armée américaine, aujourd’hui utilisé par la société « Thom Group International », basée aux USA et qui prête ses services à qui le demande, pourvu que la facture soit honorée. Doté d’une spécialité en maniement d’armes de différents types dont il avait reçu plusieurs prix et distinctions en tant que tireur d’élite, le mercenaire Darryl a déjà effectué des missions analogues dans beaucoup de pays du monde, dont le Kosovo et l’Afghanistan. Plus tard, il a été recruté par le Président du TP Mazembe M. Moïse Katumbi.

Selon les sources proche du dossier, l’Américain Lewis Darryl s’est dévoilé être à la tête d’un groupe de sept autres mercenaires américains, tous anciens militaires marines, avec lesquels ils exerçaient à la fois comme garde du corps et agents de sécurité au service de M. Moïse Katumbi.

Pour faire entrer ces mercenaires au pays, à en croire des sources judiciaires, M. Moïse Katumbi s’est servi d’une société de gardiennage installées à Lubumbashi, dénommée Pomba One Security, dirigée par son propre garde du corps, Mwashila Frank. Celui-ci a signé des invitations pour faire venir à Lubumbashi, la première vague de ces mercenaires constituée de Lewis Darryl, Nicholson Maurice Alan et d’Adams Christopher, tous anciens militaires américains invités prétendument pour une mission médicale. Bizarre, tout ça pour simuler leur véritable mission en République démocratique du Congo.

Alors qu’à leur arrivée à l’aéroport de la Luano, ces pseudos-médecins avaient déclaré loger à l’Hôtel Karavia, ils n’y sont même pas arrivés et se sont retrouvés curieusement hébergés dans les résidences de M. Moïse Katumbi, pour le “vrai job”.  M. Frank Mwashila, garde du corps de l’ex-gouverneur et présenté comme patron de “Pomba One Security” dont l’existence est aussi illégale, ne nie pas non plus les faits, tout en confirmant que les personnes qu’il invitait n’étaient pas pour le compte de sa société mais pour Moïse Katumbi qui devrait les utiliser à sa guise.

Cependant, se servant de la même invitation, cette fois en scannant la signature, le réseau de M. Katumbi a de nouveau fait venir, avec le même motif, donc médical, une autre vague d’anciens militaires américains constituée d’Easterling Eugène Rubin (passeport n°524309303), Colman Glen Elen (PP n° 542508907) et de Toon Jr Leonard O’Neal (PP n°488837400).

Comme pour la première vague, ces derniers donnant leurs adresses à l’Hôtel Karavia, sont passés outre jusqu’à la résidence de l’ex-gouverneur où ils ont pris du quartier pour renforcer l’équipe déjà en place, et passer à l’essentiel.  Toutes ces combines n’auront été que pour tromper la vigilance des Congolais sur l’essentiel de la mission de ces mercenaires. Comme Dieu aime le Congo, l’arrestation de Darryl Lewis aura permis de mettre à nu un plan machiavélique qui aurait endeuillé la Nation.

L’Avenir

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Les deux bureaux de l’Assemblée nationale et  du Sénat se sont réunis ce mercredi 27 juin autour de leurs présidents respectifs, Aubin Minaku Ndjalandjoko et Léon Kengo wa Dondo. Il était question essentiellement de faire accélérer l’examen des différentes matières de la session extraordinaire ouverte le 20 juin et qui se clôture le 19 juillet.

Rappelons que lors de la cérémonie d’ouverture de cette session extraordinaire, le 20 juin dernier, Aubin Minaku, président de l’Assemblée nationale avait rassuré que cette session extraordinaire sera la plus courte possible pour ne pas contrarier les agendas politiques en cette période préélectorale. Et il a souligné que bien d’importantes matières en état d’être examinées sont automatiquement reportées comme priorités de la session ordinaire de septembre 2018, « encore que la prochaine campagne électorale ne doive intervenir qu’en novembre 2018 ».

« La présente session extraordinaire est convoquée à un moment bien singulier de notre histoire en cours d’écriture marquée par tous ces faits d’actualité majeurs ou mineurs entourant le processus électoral », a déclaré le président de l’Assemblée nationale dans son discours. Il dit encourager vivement les acteurs politiques congolais de revenir à des meilleurs sentiments, avec civisme et responsabilité, pour que soient menées à bonnes fins les élections qui pointent à l’horizon.

« Nous sommes en train de traverser l’une des périodes les plus déterminantes de l’histoire de notre nation. A nous de savoir être à la hauteur de la grandeur de la mission qui est la nôtre… l’unité nationale, notre unité, ne doit, en aucun instant, souffrir d’une quelconque remise en question au travers de nos discours et de nos actes. Nous devons à tout prix veiller à ne pas exposer notre peuple à des divisions provincialistes, tribalistes, voire même à des dissensions intestines de type claniste. Les élections passeront, mais la République démocratique du Congo survivra et vivra toujours », a enfin exhorté le président de l’Assemblée nationale.

Pour rappel, les deux Chambres du Parlement ont été convoquées en session extraordinaire du mercredi 20 juin au jeudi 19 juillet 2018. Comme à l’Assemblée nationale, l’ordre du jour du Sénat comporte également six principaux points. Notamment, l’examen et adoption de la proposition de loi portant statut des anciens Présidents de la République élus ; de la proposition de loi relative à la protection et à la responsabilité des défenseurs des droits humains ; du projet de loi modifiant et complétant l’Ordonnance-loi n°011/2012  instituant un nouveau tarif des droits et des taxes à l’importation ; du projet de loi portant statut particulier du personnel des établissements publics de l’enseignement national ; de la proposition de loi portant modification du Décret du 30 janvier 1940 portant Code pénal, tel que modifié à ce jour ; du projet de loi relatif à l’activité et au contrôle des établissements de crédit, etc.

(JMNK)

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La tenue ou non des élections en décembre prochain fait couler chaque jour beaucoup d’encre et de salive. Et ce, dans tous les milieux. De l’homme de la rue au politicien chevronné, chacun discute, philosophe et tire ses propres conclusions sur la tenue ou pas de ces élections tant attendues par l’ensemble de la population.  Les déclarations de la Ceni ne semblent pas changer la position des sceptiques qui attribuent à la Majorité présidentielle l’existence d’un plan secret pour demeurer le plus longtemps possible au pouvoir.

A travers son porte-parole, la Majorité présidentielle elle-même a réaffirmé plusieurs fois sa détermination à aller aux élections de décembre, mais cela ne semble pas convaincre une certaine classe socio-politique devenue à tort ou à raison méfiante.  L’opposition qui en principe doit participer à ces élections pour obtenir la fameuse alternance tant rêvée, commence à se fissurer comme toujours.  Plusieurs raisons justifient cet imbroglio.

La machine à voter

Une certaine opposition estime qu’avec ou sans machine à voter, il faut aller aux élections. Les élections de 2011 dont une bonne partie était mal organisée n’avaient pas de machines à voter. Cette opposition pense qu’il faut éviter le piège d’une prolongation éternelle, surtout qu’il n’y a aucune garantie de la transparence par le mode papier.  La même position pour une frange de la société civile qui avait fortement recommandé la sensibilisation de la population face à cet outil nouveau. L’opposition radicale est déjà à l’extrême : pas d’élections avec la machine à voter. Or, en considérant les différents délais qui s’imposent ainsi que les contraintes de la Ceni, il est difficile de bouleverser les choses à moins de 6 mois des élections. Corneille Nangaa est formel : il y aura élections le 23 décembre 2018 avec la machine à voter. Un bras de fer entre la Centrale électorale et une partie de l’opposition qui semble se satisfaire d’un certain report.

Libération de certains opposants

Certains opposants sont en prison pour diverses raisons. Mainte fois, le porte-parole du gouvernement a expliqué dans ses points de presse la spécificité de chaque cas. Mais cela est loin de convaincre une certaine opposition qui voit la main du pouvoir dans tous ces procès.  Certains affirment que leur participation aux élections est conditionnée par la libération ou le retour au pays de certains leaders.  Qu’est-ce qui changera dans moins de 6 mois dans ce secteur ? Difficile de le deviner, la politique étant très dynamique.

Le fichier électoral

L’audit du fichier électoral par la Francophonie a créé plus de problèmes qu’il n’en a résolus.  L’opposition, toujours la même qui avait récusé l’expertise de la Francophonie s’accroche maintenant aux conclusions de cette dernière. Elle demande l’invalidation de tous les citoyens enrôlés sans empreinte digitale, ce que la Ceni redoute ne sachant pas comment cela  peut être interprété par la population.

L’expérience du passé

En 2006 quand l’Udps a opté pour la non-participation aux élections d’après-guerre, le processus de démocratisation du pays s’est poursuivi normalement jusqu’aux élections de 2011. D’autres acteurs politiques qui se sont mis entre parenthèses en 2011 ont eu le même constat : la politique de la chaise vide ne paie pas. Le train va poursuivre son voyage avec ceux qui prennent place à bord et les retardateurs ne s’en prendront qu’à eux-mêmes.

 

(Muntu Bualu)

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Le monde célèbre, le 26 juin de chaque année, la journée internationale de l’abus et trafic illicite de la drogue. Une journée initiée par les Nations Unies, pour sensibiliser contre l’usage abusif et le trafic illicite de la drogue dans des Etats forts et faibles du monde. Partout dans le monde, les spécialistes de la question remarquent que la petite drogue est presque gratuite aux mains de jeunes gens dans des quartiers de banlieue de province et capitale des pays du monde. Malgré la sensibilisation amorcée par les  Nations Unie, le poids de vente de la drogue et la demande font en sorte que les Etats ne réussissent pas dans leur mission de sensibilisation. Aussi le défi de  décourager l’usage abusif de la drogue demeure-t-il entier partout dans le monde.

La violence est souvent visible, et cela davantage dans des cités urbaines que rural dans le monde. Dans des pays riches autant que pauvres, de jeunes gens utilisent la petite drogue dite légère. Cet usage et trafic illicite menace la vie de plus d’une famille sur le plan de la santé et de l’économie. Car des familles sont dans l’obligation de  prendre en charge des personnes souffrantes à cause d’abus de la drogue en différents lieux. Une situation qui préoccupe des Etats et des institutions impliqués dans la lutte contre l’abus et le  trafic illicite de la drogue, entre autres des  psychosociologues, des médecins, des parents et des agents de Police.

Selon des spécialistes en la matière, la société actuelle est victime de plusieurs conséquences de l’usage abusif de petites drogues qui sont fabriquées dans des laboratoires mafieux. Même si dans certains Etats comme ceux de l’Afrique, c’est très difficile que la police découvre de lieu de fabrication de « petite poussière », et de petits consommateurs des jeunes feuilles des arbres qui ont des effets sur le cervelet. Le danger est constant que nous ne pouvons ignorer. Chaque jour, les medias dénoncent les trafics de drogue.

Dans le même ordre d’idée, en avril 2016, l’ONU avait tenu la session extraordinaire, dont  plusieurs mesures ont été relevées, entre autres l’appel aux Etats de mieux appliquer le politique et plan d’action sur la coopération internationale, en vue d’une stratégie intégrée et équilibrée de lutte contre le problème mondial de la drogue et ses effets dans la société. Cette déclaration a été adoptée en 2009. Et, le plan d’action de cette déclaration doit être appliqué de manière intégrale. D’ici 2019, que le monde réalise sa vision de lutte massive contre l’abus et trafic illicite de drogue.

Conformément à la résolution 42/ 112 du 7 décembre 1987, l’Assemblée générale de l’ONU a décidé que la journée du 26 juin soit célébrée sur toute l’étendue de la terre pour renforcer l’action et la coopération à l’échelon nationale, régionale et internationale. Cela, dans le but de parvenir à une société affranchie de l’abus de drogue. Cette histoire de la drogue reste encore un combat de la société. Ceci est d’autant regrettable que car l’argent, la police, économie, finance et politique y sont appliqués.

(Nzuzi richard, stagiaire)

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Deux véhicules, un ‘’ Ketch’’ et  une fourgonnette Mercedes 207 se sont endommagés hier, dans  une collision. C’était vers   13 heures sur la route By-pass, non loin de la résidence Liyolo et fils, dans la commune de mont-ngafula .

En effet, cette grande avenue relie plusieurs communes de la capitale, notamment Lemba, Ngaba, Makala, Mont-Ngafula, Selembao… Un témoin de l’accident, habitant dans le voisinage, relate : « la réhabilitation de cette chaussée est bel bien en marche depuis l’année dernière. Tant que les travaux de réhabilitation se déroulent, les embouteillages et les accidents de circulation seront  fréquents sur ce tronçon. Et cela inquiète la population de cette partie de Kinshasa », a-t-il affirmé.

Une autre personne présente au moment des faits, témoigne : cet accident a été causé par l’excès de vitesse du conducteur de la voiture ‘’Ketch’’.  D’autres véhicules se sont percutés pendant qu’ils tentaient de dévier en pleine vitesse ce caniveau de deux mètres de profondeur. Pendant ce temps, le Mercedes 207 a été encore bloqué dans le même caniveau, et son conducteur avait regretté d’avoir connu cet accident. Heureusement qu’ils étaient blessés, le chauffeur et quelques passagers, il n’y a pas eu de perte en vies humaines, rapportent des témoins.

Les mêmes sources déplorent la gravité des blessures. Et plus d’un ont exprimé la crainte qu’il n’y ait d’effets secondaires davantage inquiétants qu’occasionneraient les blessures. Sur place, la cause de la dérive du chauffeur de ‘’Ketch’’ n’a pas été élucidée. Certaines langues d’alentour ont pressenti l’effet découlant de l’alcool au volant. La plupart des chauffeurs kinois se disqualifient ces derniers temps, en conduisent en état d’ivresse. Il est souhaitable que les  autorités de la circulation routière mette en œuvre une brigade qui détecterait d’éventuel disciples de Bacchus au volant, et les mettraient hors d’état de nuire.

(Rosy Bondala/ stagiaire UPN)

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*A Lubumbashi, Saint Eloi Lupopo a marché sur Dragons Bilima

Sa Majesté Sanga Balende de Mbuji-Mayi a enregistré hier sa première défaite dans son nouveau temple de Kashala Bonzola devant l’AS V. Club de Kinshasa. 1-0 en faveur des Moscovites, c’est le score qui a sanctionné ce match de la 13ème journée de play-off du championnat de la Ligue Nationale de Football (LINAFOOT).

Une grande rencontre aux allures d’une revanche, puisqu’au Stade des Martyrs à Kinshasa, Sanga Balende avait battu en aller Vita Club sur la marque de 2 buts à 0.

Une 8ème victoire des Dauphins Noirs en cette phase retour de play-off de la Vodacom Ligue 1. Et malgré son infériorité numérique suite à la sortie du défenseur Padou Bompunga Botuli qui a écopé d’un carton rouge, les Moscovites de la Capitale ont réussi à battre les Anges et Saints de Mbuji-Mayi. Ce, grâce à l’unique but de Jean-Marc Mundele Makusu à la 86ème minute.

Ainsi, Sanga Balende en perte de vitesse, risque gros en cas d’une défaite lors de son prochain match à Kinshasa face au DC Motema Pembe.

Avec cette victoire, l’AS V. Club du Général Gabriel Amisi conserve sa deuxième place avec 44 points en 18 matches joués, tandis que Sanga Balende reste à la troisième place avec 40 points avec un match de plus que son poursuivant et future adversaire, le DCMP.

DCMP bat à son tour Maniema Union

Après avoir sollicité la délocalisation de son match, le DC Motema Pembe a dominé le vert noir de Kindu.

Cette rencontre qui a souri aux Kinois s’est soldée sur la marque de 2 buts à 0. Les Imaniens ont ouvert le score à la 20ème minute grâce au savoir-faire de  Vinny Bongonga de la tête. Après la pause, les hommes du coach Otis Ngoma qui venaient de perdre la semaine dernière le derby face à V. Club, ont alourdi la marque à la 56ème minute par l’entremise de Dago Samu Tshibamba à la 48ème minute. Ce dernier pouvait même s’offrir un doublé, s’il ne manquait pas un penalty à trois minutes de la fin du match.

Avec cette victoire, les Immaculés se mettent dans la course pour la troisième place qu’occupe les « sang et or » de Mbuji-Mayi. Avec 38 points sur 17 sorties et 4ème au classement provisoire, Daring espère encore jouer les interclubs de la CAF. Mais l’équation semble être compliquée puisque les Kinois doivent battre Sanga Balende prochainement afin d’espérer.

 

Lupopo marche sur Dragons Bilima

Le FC Saint Eloi Lupopo a marché sur l’AS Dragons-Bilima hier au stade Frédéric Kibassa Maliba de Lubumbashi, sur le score de 3 buts à 0. C’était en match de la 13ème journée de play-off de la Vodacom Ligue 1.

Déjà hors-course, les “Monstres” de l’As Dragons-Bilima n’ont pas fait le poids devant les “Cheminots” du FC Saint Eloi Lupopo. En première période, les Cheminots ont scoré grâce à Manix Nengelwa et Likango Mbala. Après la pause, Emmanuel Asiri a inscrit le but du chaos.

A cet effet, Lupopo reprend sa 5ème place avec 32 points. Dragons-Bilima, quant à lui, pointe à la 11ème place avec 10 points.

Ainsi, le classement provisoire place Mazembe en tête avec 47 points, suivi de V. Club 44 points, Sanga Balende 40 points et DCMP 38 points dans sa gibecière. L’AS Maniema Union est à la 6ème place avec 30 points en 19 matches joués. Difficile pour eux de revoir l’Afrique. Prochainement, DCMP sera reçu par le TP Mazembe ce samedi 30 juin à Lubumbashi. Le dimanche 1er juillet, à Kinshasa toujours, Maniema Union sera reçu par V. Club de Kinshasa.

Sanga Balende lui sera reçu par l’AC Rangers, le samedi 30 juin à Kinshasa.

(Altesse B. Makambo)