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Alors qu’ il fait partie de la délégation officielle qui accompagne Joseph Kabila à New-York pour la traditionnelle assemblée générale de l’ ONU dont les travaux s’ ouvrent le mardi prochain, Barnabé Kikaya, conseiller diplomatique du chef de l’État congolais s’ est vu confier  une autre mission, convaincre Washington  à renoncer aux résolutions des sanctions ciblées en chantier à la chambre des représentants  contre certains dirigeants congolais.

Les militants du Rassemblement des forces politiques et sociales acquises au changement  seront bel et bien dans les rues de Kinshasa, le  lundi, 19 septembre 2016. Mais contrairement au plan initial, les manifestants en  ne se rendront plus en masse au siège de la Ceni pour y observer un sit-in.

Lors d’ une réunion tenue ce samedi au siège du parti Fonus, Rassemblement et gouverneur de la ville se sont plutôt accordés sur l’ organisation d’ une marche pacifique qui sera sanctionnée par un meeting. D’après l’ accord trouvé entre les organisateurs et l’ hôtel de ville,  la marche devra partir de l’ échangeur de limeté à la 17émè rue pour chuter sur le boulevard triomphal.

Satisfecit pour André Kimbuta qui salue sa politique de proximité. « J’avais promis le jeudi de venir vers les opposants pour la mise au point. Il faut aller vers les administrés. Ils sont tous administrés », déclare le gouverneur de la ville qui se réjouit du consensus qui s’ est dégagé entre les deux parties.

« C’est seulement aujourd’hui que je confirme que je vais prendre acte de la marche du Rassemblement. Nous nous sommes mis d’accord que la marche partira de la place de l’ Echangeur jusqu’au Boulevard Triomphal », explique t-il.

Le compromis trouvé prévoit que les manifestants rempruntent les avenues de la Libération, Kalembelembe et Kasavubu avant de déboucher sur le point de chute. Seule, une petite délégation du rassemblement a été autorisée à se rendre au siège de la Ceni  après la manifestation pour y déposer le mémorandum.

André Kimbuta qui tient à l’ itinéraire convenu place ainsi les organisateurs devant leurs responsabilités. « Il n’ y aura pas de sit-in», insiste le gouv. Le plus important renchérit-il, c’ est « la marche et le meeting qui seront organisés ».

Jean Pierre Kayembe

 

 

La Tripartite CNSA-Gouvernement-CENI a pris conscience des realités du chemin critique des opérations qui vont suivre l’étape de constitution du fichier électoral, ainsi que les délais y relatifs jusqu’à la tenue des scrutins et l’installation des nouvelles institutions. La Communauté internationale et les partenaires doivent libérer les moyens financiers promis selon le protocole d’accord relatif au Projet d’Appui au Processus Electoral au Congo géré par le PNUD/PACEC.

Aux termes des travaux de la Tripartite Ceni-CNSA-Gouvernement sur l’évaluation du processus électoral, les trois institutions ont pris acte des conclusions qui en découlent, mais invitent la Commission Electorale Nationale Indépendante à rendre publique le calendrier électoral raisonnable, réaliste dans le plus bref délai. Ce délai oblige chaque partenaires au processus électoral de mettre la main à la patte de manière financière, en vue de rendre les élections possibles en République Démocratique du Congo.

Pendant trois jours, la Ceni, le CNSA et le Gouvernement ont planché sur les activités essentielles de la Commission Electorale Nationale Indépendante, en rapport avec le délai fixé de 504 jours susceptibles de produire un calendrier électoral.

Les participants ont pris acte de la clôture des opérations d’enrôlement des électeurs dans les 24 provinces et de la poursuite dans les provinces des Kasaï et Kasaï Central, comme dans les territoires de Kamiji et Luilu, dans la province de Lomami.

Ces travaux qui ont connu la participation des observateurs et experts nationaux et internationaux, de l’Union Européenne, de l’OIF, de la Monusco, de l’Union Africaine, de la République Sud-Africaine, de la SADC, du PNUD/PACEC, du CSAC et du Conseil National des Droits de l’Homme, à l’unanimté ont déclaré sollenellement qu’ils ont pris acte de la clôture de l’opération d’enrôlement des électeurs dans les 24 provinces et sa poursuite dans celles du Grand Kasaï, comme dans les deux territoires de la province de Lomami.

Par la suite, ils ont noté avec satisafaction l’engouement d’enrôlement de la popualtion à se faire enrôler jusqu’à hauteur de plus de 42 millions d’électeurs enregistrés à ce jour.

Par la suite, les participants à la tripartie ont exhorté la Ceni et le Gouvernement de la République, chacun en ce qui le concerne, à accorder le bénéfice de l’urgence au parachèvement de cette opération dans lesdites provinces pour que le fichier électoral soit dûment constitué.

Dans la foulée, les participants ont recommandé à la Commission Electorale Nationale Indépendante, en ce qui concerne l’élection présidentielle, de lancer d’idnetification et enrôlement des électeurs des Congolais de l’étranger, puis encourangent le Gouvernrement à poursuivre le financement du processus électoral et en assurer la sécurité, tout en fournissant à la Ceni les moyens logistiqsues disponibles.

Pour ce faire, les participants à l’évalutation du processus électoral ont remercié les partenaires techniques et financiers de la Rdc pour le soutien technique et l’appui logistique apporté à la Ceni. Ils lancent cependant un appel à ces partenaires de libérer effectivement les moyens financiers promis, conformément au protocole d’accord relatif au Projet d’Appui au Processus Electoral au Congo géré par le PNUD/PACEC.

En plus, ils ont invité particulièrement la Monusco à finaliser l’évaluation avec la Ceni des besoins en appui logistique, et à fixer cette dernière quant à la hauteur et aux modalités de son appui.

S’agissant de l’adoption des instruments juridiques, les participants ont recommandé au Parlement de la République Démocratique du Congo de donner priorité d’une part à l’examen et à l’adoption de la loi électorale, ainsi que son annexe portant répartition des sièges, et d’autre part, d’examiner en urgence la loi organique portant organisation et fonctionnement du Conseil National de Suivi de l’Accord et du Processus Electoral.

Il faut dire que les participants des trois institutions et les experts ont rappelé au Gouvernement de la République son engagement à trouver, avec le concours du Conseil Supérieur de la Magistrature, des solutions idoines, en perspectives de la gestion du contentieux électoral, tout en exhortant les Chefs coutumiers, les confessions religieux, la société civile, les Partis Politiques signataires ou non de l’Accord du 31 décembre 2016 à vulgariser et application dudit Accord.

Pour ce faire, ils ont pris conscience des realités du chemin critique des opérations qui vont suivre l’étape de constitution du fichier électoral, ainsi que les délais y relatifs jusqu’à la tenue des scrutins et l’installation des nouvelles institutions.

Compte tenu de ce diagnostic et tableau du schema critique de la Ceni, les participants ont formulé une demande au seul organe habilité à organiser les élections, conformément à la Constitution ; à sa loi organique et aux dispositions pertinentes de l’Accord du 31 décembre 2016, de publier le calendrier électoral réaliste, tout en encourageant le CNSA à continuer à jouer pleinement son rôle conformément aux dispositions pertinentes de l’Accord du 31 décembre 2016. Enfin, les participants ont lancé un appel patriotique à toutes les parties prenantes au processus électoral et à l’ensemble du peuple congolais à soutenir et accompagner le processus électoral en cours jusqu’à la tenue effective des élecrtions.

Peu avant le discours de clôture du Premier ministre, Bruno Tshibala, le Conseil National Suivi de l’Accord et du Processus Electoral représenté par Joseph Olenghankoy, le Gouvernement de la République représenté par Emmanuel Ramazani Shadari, Vice-Premier ministre, ministre de l’Intérieur et la Commission Electorale Nationale Indépendante, représentée par Corneille Nangaa, ces trois institutions ont apposé leurs signatures sur le Communiqué finale sanctionnant la clôture des travaux de l’évaluation du processus électoral. Un bémol a failli gacher la clôture des travaux, en ce que le Président du CNSA aurait souhaité que les chefs des corps, entendus Joseph Olenghankoy, Bruno Tshibala et Corneille Nangaa apposent leurs singatures sur le document, en lieu est place du Vice-Premier ministre de l’Intérieur et Sécurité. Plus de peur que de mal, Emmanuel Shadary a signé sur ordre du Chef du Gouvernement.

(Pius Romain Rolland)

Ci-dessous, l’intégralité du Discours du Premier ministre à la clôture de la tripartie :

Discours de SEM le Premier ministre lors de la cérémonie de clôture des travaux d’évaluation du processus électoral par le Gouvernement, la CENI et le CNSA au Palais du Peuple (Kinshasa, mercredi 18 octobre 2017)

 

Honorables Députés et Sénateurs

Mesdames et Messieurs les Membres du Gouvernement

Monsieur le Président de la Commission électorale nationale indépendante

Monsieur le Président du Conseil national du suivi de l’Accord et du processus électoral

Mesdames et Messieurs les Ambassadeurs et Chefs des missions diplomatiques

Mesdames et Messieurs les Représentants des organisations internationales et des Agences du Système des Nations Unies

Distingués Invités

Mesdames et Messieurs

C’est encore avec un immense plaisir que je m’adresse devant cette auguste assemblée, pour la deuxième fois dans l’espace de cinq jours, à l’occasion, cette fois-ci, de la présente cérémonie de clôture des travaux de la deuxième évaluation du processus électoral par le Gouvernement, le CNSA et la CENI.

En effet, ouverts le samedi 14 octobre dernier dans cette même salle du Palais du Peuple, les travaux de la deuxième évaluation du processus électoral en cours dans notre pays par le Gouvernement, le CNSA et la CENI s’achèvent aujourd’hui.

Conformément à l’Accord politique global et inclusif du 31 décembre 2016, les trois institutions que je viens de citer, assistées par leurs experts respectifs, et en présence des partenaires multilatéraux de la RDC, ont procédé à une évaluation sérieuse et sans complaisance de l’état d’avancement du processus électoral en cours.

Les participants ont travaillé avec assiduité, rigueur intellectuelle et dévouement pour identifier les progrès déjà réalisés et les activités qui restent encore à accomplir sur le chemin qui mène notre peuple vers les élections crédibles, transparentes et apaisées.

Les travaux d’évaluation du processus électoral ont permis d’aboutir aux conclusions et recommandations pertinentes consignées dans le Rapport final et le Communiqué final qui viennent d’être lus en plénière.

C’est ici le lieu pour moi de présenter mes très sincères félicitations à tous les participants pour avoir produit un travail de grande qualité en vue de permettre à la CENIde recadrer le processus électoral en cours qui doit connaître, à court terme, des avancées significatives.

Comme je l’avais indiqué dans mon discours d’ouverture le samedi 14 octobre dernier, la CENI dispose maintenant, à l’issue de ces travaux d’évaluation, de tous les éléments nécessaires pour préparer et publier, dans les plus brefs délais, le calendrier électoral en vue de paver et de baliser le chemin qui va conduire le peuple congolais vers les meilleures élections de l’histoire récente de notre pays.

A mon avis, le futur calendrier électoral dont nous souhaitons les publications dans les meilleurs délais doit être réaliste.

Mesdames et Messieurs

Je ne cesserai jamais de le répéter : le Gouvernement d’union nationale a une mission principale, pour ne pas dire l’unique mission. Il s’agit de l’organisation au cours des prochains mois des élections crédibles, transparentes et apaisées en RDC.

A cet égard, comme je l’ai souvent répété, l’ambition de mon Gouvernement est d’offrir au peuple congolais les meilleures élections de l’histoire récente de notre pays. Le régime démocratique et républicaine que nous avons choisi pour notre développement et notre vivre ensemble ne peut s’enranciner dans notre société que par la tenue des élections à intervalles réguliers et qui crédible et transparentes.

C’est pourquoi, mon Gouvernement fera tout ce qui est possible pour remplir toutes ses obligations en rapport avec l’organisation des prochaines élections, telles qu’elles sont prévues dans l’Accord politique du 31 décembre 2016 et rappelées dans les conclusions et recommandations des travaux de la deuxième évaluation du processus électoral.

J’espère que la communauté internationale fera de même en ce qui concerne ses propres engagements qu’elle a souscrits en vue d’apporter son soutien matériel et financier au processus électoral en cours dans notre pays.

En attendant la publication imminente du calendrier électoral, je lance un appel à tous les Congolais de rester calmes, de défendre la paix, la stabilité, la concorde nationale et la jeune démocratie congolaise en mettant l’intérêt général au- dessus des intérêts partisans et égoïstes.

Nous devons tous montrer à la face du monde que nous sommes un peuple mûr, responsable et capable de prendre son destin en mains dans la justice, la paix et le travail.

Que vive la République Démocratique du Congo !

Que Dieu bénisse le peuple congolais !

Sur ce, je déclare clos les travaux de Sa deuxième évaluation du processus électoral par le Gouvernement, le CNSA et la CENI

Je vous remercie

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La situation sécuritaire et politique, ainsi que l’application des mesures d’embargo des Nations-Unies sur la prolifération et le trafic d’armes en République démocratique du Congo, étaient au centre d’une importante réunion présidée le mardi 17 octobre au salon bleu du ministère des Affaires Etrangères. Au cours de cette importante réunion qui a duré près de 2 heures, les membres du Comité de sanction des Nations Unies qui ont séjourné à Kinshasa pour surveiller l’application des mesures d’embargo sur la prolifération et le trafic d’armes en Rdc, se sont également enquis de la situation sécuritaire et politique du pays.

Le Vice-Premier ministre et ministre de l’Intérieur et Sécurité, Emmanuel Ramazani Shadary a relevé les avancées significatives enregistrés sur le plan politique. Il a été noté une bonne progression du processus électoral, la formation du gouvernement d’union national, la mise en place du Conseil national de suivi de l’Accord de la Saint-Sylvestre (CNSA) et sur le plan sécuritaire, l’on signale le retour de la paix au Grand Kasaï après plusieurs exactions commises par la milice terroriste opérant sous le label Kamuina Nsapu. Le patron de la territoriale a appelé les experts des Nations Unies à bien tenir compte de ces avancées.

Soulignons que Ramazani Shadary a fait part des préoccupations du gouvernement congolais lorsque les Nations Unies jugent disproportionnée la réponse des forces de sécurité congolaise aux graves exactions perpétrées par des groupes armés opérant en Rdc. Il est par ailleurs revenu sur le silence assourdissant du conseil de sécurité de l’Onu vis-à-vis des pillages des matières premières de la Rdc par des pays voisins bien identifiés. Il est prouvé que c’est l’argent de la vente de ces matières premières qui sert à l’achat des armes pour déstabiliser la Rdc, a rappelé Pascal Nyembo, DGA du Centre d’Expertise et de Certification des Substances Minérales Précieuses et Semi-précieuses

Pour sa part, le ministre d’Etat en charge de la Justice a éclairé les experts de l’Onu sur l’application des mesures de décrispation politique, en ce qui concerne les dossiers de certaines personnalités poursuivies par la justice. Les membres du Comité de sanctions des Nations Unies se sont appesantis sur la lutte contre l’impunité et la sécurisation des experts des Nations Unies envoyés en Rdc. Enfin, le Vice-Premier ministre, ministre de l’Intérieur et Sécurité a transmis à ses interlocuteurs la reconnaissance du gouvernement congolais au Conseil de sécurité des Nations Unies à l’occasion de l’élection de la Rdc au conseil de droit de l’homme.

(JMNK)

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Ce jeudi 19 octobre 2017, au centre de conférence internationale de Kintele, situé à 10 Km au centre-ville de la capitale congolaise, les 13 pays signataires de l’Accord-cadre pour la paix et le développement en République démocratique du Congo et dans la région des Grands lacs, l’ONU, l’Union Africaine, la CIRGL, la SADC, ainsi que les observateurs de la communauté internationale, vont évaluer cet accord, en vue d’en apprécier les avancées.

Sont attendus à cette rencontre de Brazzaville, les chefs d’Etat et de Gouvernement et d’autres invités de marque. Le mécanisme régional de suivi est le principal organe de contrôle de l’application de l’accord-cadre. Il se réunit une fois l’an au niveau des chefs d’Etat et de Gouvernement pour examiner les progrès accomplis dans la mise en œuvre des engagements nationaux et régionaux pris au titre de l’Accord-cadre signé le 24 février 2013 à Addis-Abeba en Ethiopie. Et ce, pour mettre fin au cycle de conflit à l’Est de la Rdc.

Les 11 pays signataires sont la Rdc, le Congo-Brazzaville, le Rwanda, l’Afrique du Sud, l’Ouganda, l’Angola, le Burundi, le Soudan du Sud, la Tanzanie et la Zambie. Le Kenya et le Soudan ont également adhéré à l’accord, le 31 janvier 2014 devenant ainsi les 12 et 13ème pays signataires. Ces pays sont en majorité les Etats membres de la SADC et de la CIRGL. La réunion qui s’ouvre aujourd’hui au centre de conférence internationale de Kintele situé à 10 Km au centre-ville de la capitale congolaise, en coordination avec les Nations Unies et l’UA, a été précédé de deux ateliers à savoir, celui des experts et des ministres dont les conclusions seront soumises aux chefs d’Etat et de gouvernement.

En dépit des avancées significatives observées du côté congolais, signalons que les Etats de la Région ne respectent pas tellement leur part du contrat. Ceux-ci entretiennent les forces négatives qui insécurisent la Rd Congo, et pour lesquelles ils ont reçu mandat de les éradiquer. L’occasion sera peut-être indiquée pour appeler ces pays à la raison, en privilégiant les relations de bon voisinage, qui excluent toute déstabilisation du voisin. Au lendemain de la signature de cet accord, la Banque mondiale avait financé quelques projets régionaux. C’est aussi le moment d’y jeter un coup d’œil, pour savoir à quel rythme évolue ces projets, surtout savoir s’ils profitent aux populations concernées.

(JMNK)

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Après la Coupe d’Afrique des Nations en 2015, qui s’est déroulée en Guinée Equatoriale, et au cours de laquelle, les Léopards de la RDC ont raflé une médaille de bronze, les medias du Groupe L’Avenir ont vu le souci du public sportif congolais. Celui de pouvoir émettre également son point de vue pour l’avancement du sport en République démocratique du Congo.

Ces médias ont donc voulu donner de l’espace à ce public, dont les avis ne parvenaient pas aux dirigeants sportifs congolais. C’est ainsi que M. Jules Kidinda, Coordonnateur des medias du Groupe l’Avenir, va concevoir pour la radio du groupe, RTGA FM, l’émission intitulée « Grandes Gueules ». Elle a immédiatement accroché un grand public qui en a fait son rendez-vous incontournable sur les ondes de cette radio nationale.

L’émission est quotidienne, diffusée du lundi à vendredi, de 09 h 05 à 10 h, et rediffusée à 19 h 15, juste après les éditions du journal des sports. Ce magazine est présenté tour à tour par des journalistes sportifs du groupe, dont MM. Olivier Pengongo et Jadot Mwanda.

Il traite des sujets d’actualité sportive. Aussi, « Grandes gueules » dénonce le mal et propose des solutions. Ce, au travers des points de vue émis par des milliers d’auditeurs à travers un standard téléphonique qui est mis à leur disposition au numéro 0973050850.

Les appels proviennent de toutes les provinces de la RDC et dénotent un vrai engouement pour ce contenu unique dans le pays. Près de 5 millions d’intervenants se disputent la ligne tous les matins pour faire entendre leurs voix sur les sujets brûlants de l’actualité sportive. Le ton est constructif et non insultant, clair et non complaisant. Le public en profite pour dénoncer, critiquer et proposer des solutions.

Conséquence de la forte audience des « Grandes gueules » : Les cadres du foot congolais y prêtent une oreille attentive. Plus d’une fois les dirigeants sportifs qui sont souvent dans le collimateur des auditeurs et qui pourraient se sentir lésés, ont demandé soit à participer à l’émission, soit à livrer leurs points de vue, par un droit de réponse, un rectificatif ou une précision.

Voici un extrait de l’émission animée, hier, mercredi, par Olivier Pengongo, « l’actualité sportive de cette semaine est dominée par la nomination d’un nouveau staff dirigeant de la Ligue nationale de football (LINAFOOT), par le président de la Fédération congolaise de football association (FECOFA) avec à la tête, M. Mwehu Beya Kofela. A savoir, ce nouveau comité de la LINAFOOT, nommé pour un mandat de deux ans, a pour mission de proposer une nouvelle formule de la Division 1, après quatre saisons de la phase expérimentale, et mettre sur pied sa deuxième Division… Vous avez été nombreux à intervenir, vos propositions ont été prises en compte pour un nouveau championnat, la 23ème édition d’ailleurs qui a été reportée sine die par le nouveau comité dont la date sera communiquée incessamment, ne vous fatiguez pas de rester fidèles à notre écoute car vous informer c’est notre devoir et votre contribution reste notre plus grand intérêt et continuez à réagir sur www.groupel’avenir.org ».

La tendance est décidément à la dénonciation de tous les maux qui rongent le sport congolais, afin d’y apporter des remèdes solides pour l’émergence du grand Congo.

(Sylvain Tubadiayi/Stagiaire)

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Directeur de production à la radio RTGA Fm, Christian Bosembe, c’est lui le présentateur de l’émission intitulée « Grand œil ». Une émission diffusée du lundi au vendredi, de 15 h à 16 h 45, à la radio du Groupe L’Avenir. Elle fait valoriser cette station radio émettant à Kinshasa, et met en exergue le savoir qui est dans l’équipe organisatrice de cette dernière, surtout celui de son présentateur qui est Christian Bosembe. En effet, « Grand œil » est diffusée au quotidien, avec plusieurs thématiques selon les jours. Elle est attrayante et captivante. Elle est suivie par un grand public, de Kinshasa, de toute la Rdc, et de partout à travers le monde. Pour en savoir plus, nous avons abordé le présentateur de l’émission, M. Christian Bosembe, le Directeur de production et programme de la radio RTGA. Voici, ci-dessous, la brève interview qu’il nous a accordée hier.

L’Av enir: Pourquoi aviez-vous nommé votre émission « Grand œil » ?

« « Grand œil », parce nous avons estimé que cela est l’appellation parfaite, car c’est par les yeux que nous voyons toute chose qui se passe autour de nous et nous en sommes conscient qu’il y a un certain contraste entre les yeux et la radio, parce que la radio n’a pas besoin d’yeux pour être suivie, mais nous avons estimé que ce nom vaut de la peine, car l’émission a pour objectif de résoudre ou d’apporter une solution à tout problème que l’on voit et vivons dans la société. C’est qui est vrai est que l’on aurait pu l’appeler autrement ».

L’émission est la vôtre ou vous n’êtes qu’un présentateur ?

« Etant donné que je suis de la RTGA, je ne peux pas dire que l’émission est la mienne. Elle appartient plutôt à la RTGA. Quant à moi, en ma qualité de Directeur de production, je la coordonne et je suis le présentateur. En outre, en refusant d’être une émission catégorisée dans un domaine bien précis, « Grand œil » c’est en fait une émission à plusieurs thématiques. Nous avons, selon les rubriques, « Grand œil : religion, relation interpersonnelle, science, médecine et témoignage ». Tout cela dans le but de se créer un chemin ou une piste de solution pour un problème qui fait son apparition dans n’importe quel domaine. Et du fait que dans chaque secteur de la vie nationale, le problème ne manque pas de surgir ».

M.Bosembe, pour vous, qu’est- ce que votre émission a-t-elle ajouté de particulier dans la vie de vos auditeurs ?

Notre touche particulière est la manière de traiter nos sujets, et notre large opinion qui est faite dans une interaction directe avec les auditeurs. Nous avons donné l’occasion à tout le monde de s’exprimer, même sur les sujets qui, hier, étaient des sujets tabou, que l’on ne pouvaient en aucun cas en discuter ou en parler à la radio, même pas avec les concernés. Et nous avons ramené à la surface des sujets que nous avons dédramatisés. Avec une équipe forte est habile dans la recherche des invités, cela fait la force particulière de notre émission « Grand œil ».

En ce jour, pourriez-vous dire que votre objectif est atteint ?

« Nous dirons oui et non. Oui parce que nous avons pu relever un grand défi qui est de dédramatiser les sujets dits tabou, aux yeux des Congolais. Et non parce que, notre plus grand souci est d’atteindre les milieux les plus reculés du pays. Ce qui n’est pas encore fait. Le plus grand besoin de l’émission « Grand œil » est d’être soutenue par une structure, hormis la chaine. Car, c’est une émission qui capte un grand public fidèle à leurs postes radios et à l’heure précise du rendez-vous »

Toutefois, les portes de « Grand œil » sont ouvertes à toute personne qui voudrait devenir partenaire ou sponsor de cette grande émission qui est présentée par Christian Bosembe.

Sarah Lukoji/Stagiaire

 

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Une vue de l’ANAPI dont les autorités participent à ce forum

Il se tient depuis le lundi 16 octobre 2017, à Roberval au Canada, un forum réunissant des spécialistes du Commerce international, des Institutions publiques et financières et des représentants des entreprises privées et publiques. Selon notre source, ce Forum nommé « Naturallia », est organisé avec l’appui du Gouvernement Canadien et la Chambre de Commerce RDC-Canada et constitue un cadre idéal de rencontres pouvant permettre aux différentes parties prenantes de sceller des partenariats d’affaires.

15 pays y sont représentés avec plus de 300 sociétés et PMEs dans le but de propulser les ressources naturelles dans les secteurs, notamment, des mines, des énergies renouvelables, de la forêt et des technologies de pointe. Les participants profiteront de ces 4 journées d’activités intenses pour développer leurs affaires et concrétiser des partenariats stratégiques dans le cadre de rencontres ciblées dont des visites industrielles, des conférences, des tables rondes et diverses activités sociales.

Compte tenu de l’importance de ce Forum, axé sur les secteurs générateurs de richesses, la RDC y est représentée par une importante délégation conduite par M. Modeste Bahati Lukwebo, ministre d’Etat au Plan, incluant les représentants de l’Agence Nationale pour la Promotion des Investissements (ANAPI), ainsi que les PME congolaises. L’équipe de l’ANAPI est pilotée par le Président du Conseil d’Administration, Hugues Ntoto, et le Directeur Général, Anthony Nkinzo Kamole, qui va saisir cette occasion pour aborder les opportunités d’affaires que présente la RDC.

Durant quatre jours, ces travaux, de portée internationale, ont donné l’opportunité aux entrepreneurs congolais d’effectuer des maillages d’affaires avec des PMEs canadiennes dans différents secteurs porteurs de croissance en vue de sceller des partenariats gagnant-gagnant. La finalité pour ce forum est de promouvoir à travers l’ANAPI, les opportunités d’investissements dans les secteurs d’activités précités et de nouer des partenariats d’affaires internationaux à même de drainer des flux d’investissements importants dans lesdits secteurs.

(JMNK)