My Weblog: kutahya web tasarim umraniye elektrikci uskudar elektrikci umraniye elektrikci istanbul elektrikci satis egitimi cekmekoy elektrikci uskudar kornis montaj umraniye kornis montaj atasehir elektrikci beykoz elektrikci

404 Error - page not found
We're sorry, but the page you are looking for doesn't exist.
You can go to the Page Accueil

NOS RÉCENTS ARTICLES

par -
0 1369

Alors qu’ il fait partie de la délégation officielle qui accompagne Joseph Kabila à New-York pour la traditionnelle assemblée générale de l’ ONU dont les travaux s’ ouvrent le mardi prochain, Barnabé Kikaya, conseiller diplomatique du chef de l’État congolais s’ est vu confier  une autre mission, convaincre Washington  à renoncer aux résolutions des sanctions ciblées en chantier à la chambre des représentants  contre certains dirigeants congolais.

Les militants du Rassemblement des forces politiques et sociales acquises au changement  seront bel et bien dans les rues de Kinshasa, le  lundi, 19 septembre 2016. Mais contrairement au plan initial, les manifestants en  ne se rendront plus en masse au siège de la Ceni pour y observer un sit-in.

Lors d’ une réunion tenue ce samedi au siège du parti Fonus, Rassemblement et gouverneur de la ville se sont plutôt accordés sur l’ organisation d’ une marche pacifique qui sera sanctionnée par un meeting. D’après l’ accord trouvé entre les organisateurs et l’ hôtel de ville,  la marche devra partir de l’ échangeur de limeté à la 17émè rue pour chuter sur le boulevard triomphal.

Satisfecit pour André Kimbuta qui salue sa politique de proximité. « J’avais promis le jeudi de venir vers les opposants pour la mise au point. Il faut aller vers les administrés. Ils sont tous administrés », déclare le gouverneur de la ville qui se réjouit du consensus qui s’ est dégagé entre les deux parties.

« C’est seulement aujourd’hui que je confirme que je vais prendre acte de la marche du Rassemblement. Nous nous sommes mis d’accord que la marche partira de la place de l’ Echangeur jusqu’au Boulevard Triomphal », explique t-il.

Le compromis trouvé prévoit que les manifestants rempruntent les avenues de la Libération, Kalembelembe et Kasavubu avant de déboucher sur le point de chute. Seule, une petite délégation du rassemblement a été autorisée à se rendre au siège de la Ceni  après la manifestation pour y déposer le mémorandum.

André Kimbuta qui tient à l’ itinéraire convenu place ainsi les organisateurs devant leurs responsabilités. « Il n’ y aura pas de sit-in», insiste le gouv. Le plus important renchérit-il, c’ est « la marche et le meeting qui seront organisés ».

Jean Pierre Kayembe

 

 

par -
0 27

Joseph Kabila en a assez de ce qu’il considère comme de l’interventionnisme belge dans les affaires du Congo. Il parle d’humiliation du peuple congolais à travers ses dirigeants. Vous avez déjà connu des moments de froid avec la Belgique lorsque Karel De Gucht était ministre des Affaires étrangères. L’histoire est-elle appelée à se répéter ?

Pour mieux comprendre les relations entre la Belgique et le Congo, il faut remonter à 1960. C’est alors que le Congo a perdu son Premier ministre, Patrice Lumumba, assassiné en 1961. La Belgique était très impliquée dans la disparition de Lumumba. Ensuite, on a fait du maréchal Mobutu l’homme fort du Congo, mais même avec lui, il y avait des frictions, des hauts et des bas. Avec le Mzee, mon père, c’était pareil. Lorsque Karel De Gucht est venu ici, je lui ai dit que je considérais que, sur le plan politique, il était finalement un petit raciste. Et moi, je n’aime pas les racistes. D’accord, de tels propos n’étaient pas diplomatiques mais c’était la vérité. Le problème avec les Belges, c’est ce que j’appelle l’état d’esprit. Il y a des gens qui, en Belgique, croient que le Congo est encore une colonie, que les Belges doivent toujours avoir de l’ascendant sur les Congolais. Cela fonctionnait peut-être avec nos pères – qui ne sont plus là – mais avec nous, les enfants de ceux qui ont combattu le colonialisme dans ce pays, c’est inadmissible, cela ne marche pas. Le peuple congolais n’acceptera jamais. Certes, les Belges peuvent recruter dix, vingt Congolais pour qu’ils soient leurs pions, mais ils n’auront pas le soutien des autres. Vous me donnez l’occasion de le dire : ce qui ne va pas avec les Belges, c’est ce que j’appelle une certaine animosité vis-à-vis de notre peuple, cette tendance qu’ils ont d’humilier le peuple congolais à travers ses dirigeants. Et cela, nous ne l’accepterons plus jamais. Qu’est-ce qui nous divise avec la Belgique ? Je considère que nous sommes des hommes libres, que le Congo est un pays indépendant et que nous n’avons pas de comptes à rendre à un ministre des Affaires étrangères qui se trouve en Belgique.

Vous a-t-il jamais demandé des comptes ?

Directement ou indirectement ; il disait, entre autres, que M. Kabila doit se prononcer à propos des élections. A cela, je répondais : « Mais cela ne vous regarde pas, ce ne sont pas vos affaires, occupez-vous de vos problèmes chez vous et nous allons nous occuper de notre peuple, de notre pays. Ne vous ingérez pas dans la politique interne du Congo. » Il n’appartient pas à la Belgique de faire le choix des dirigeants de ce pays, d’inviter des opposants à Genval, de leur offrir des chocolats… Cela ne m’a pas choqué, non, mais surpris, oui : ce sont des tendances néo-colonialistes. Si on ne peut pas accepter cela de la Chine, de la Russie ou des Américains, on ne l’acceptera pas non plus des Belges… Inviter ainsi des gens à Bruxelles, à Genève et ailleurs, c’est une façon d’essayer d’imposer des dirigeants à ce pays alors que c’est à notre peuple qu’il appartient de choisir, que cela dépend de lui.

La maison Schengen reste fermée. C’est tout de même une mesure qui frappe en premier lieu les Congolais eux-mêmes…

Ils peuvent aussi aller ailleurs dans le monde, il y a plus de 150 pays où ils pourraient aller. Il y a un prix à payer pour tout, y compris pour la dignité. De toute façon, je ne crois pas que cette situation va durer. Il faudra trouver une solution, qui soit en faveur du respect, envers nos deux peuples. Entre le peuple belge et le peuple congolais, il ne peut pas y avoir de problème.

Le temps de tomber le masque

Durant des années, Joseph Kabila s’est avancé masqué. Visage impassible, traits lisses, ne laissant rien paraître de ses pensées et, a fortiori, de ses émotions. Cette fois, alors que l’heure approche où, en principe, il quittera le pouvoir pour confier le Congo à un successeur encore bien mystérieux, il se permet de livrer un visage plus proche de la vérité. Son apparence est désormais celle des « pères de la nation », ces hommes grisonnants aux traits burinés, marqués par l’expérience, qui font le lien entre le présent et les temps de l’indépendance, qui conjuguent à la fois une vision de l’avenir et le souvenir des luttes du passé. Les paroles de Joseph Kabila rappellent en effet les combats de ses prédécesseurs : Patrice Lumumba, assassiné pour avoir osé dire au roi Baudouin que la loi n’était jamais la même selon que l’on soit Blanc ou Noir ; Joseph-Désiré Mobutu, à la veille de tomber en disgrâce, qui assénait à ses visiteurs venus de Belgique qu’il attendait des amis et avait trouvé des comptables et qui avait, même de manière caricaturale, lutté pour l’authenticité. Ce qu’il faut retenir de cette longue interview d’un président, en principe sur le départ, c’est l’exigence de dignité, c’est un souverainisme qui puise ses racines dans les luttes du passé, qui réclame, aujourd’hui comme dans les années 60, le droit au respect.

Mais court aussi, entre les lignes, l’aveu d’un certain échec : le jeune président issu du maquis de Hewa Bora n’a pas réellement réussi à changer la mentalité de ses compatriotes comme l’aurait voulu son père ; la « révolution de la modernité », qui a édifié des gratte-ciels et lancé de nouvelles routes, n’a pas pour autant coïncidé avec une révolution de la moralité. Le « vin nouveau » a ranci dans de vieilles outres et les pratiques du mobutisme, dont la corruption, peut-être héritées du colonisateur, n’ont pas pu être éradiquées.

L’amour du Congo

C’est cela qui explique la déception des jeunes Congolais, si prompts à descendre dans la rue : ils n’ont pas connu Mobutu, mais ils ont grandi avec les promesses de Joseph Kabila et nombre d’entre eux ont le sentiment de se retrouver les mains vides, face à l’arrogance des hommes de pouvoir et la sophistication des services de sécurité qui ont affiné leurs méthodes et leurs manipulations… Sans oublier l’obsession de l’argent, qui manque si cruellement à la plupart des citoyens et qui est si ostensiblement affiché par d’autres. Et sans négliger la violence qui rode toujours, violence armée à Beni et ailleurs, violence subtile de la répression et des trop nombreux « accidents ». Ce que l’on devine aussi, à travers les propos du président sortant, c’est qu’il n’a pas pris congé de son pays, loin s’en faut. L’ancien exilé aime toujours le Congo, il a bien l’intention d’y vivre, d’y travailler, d’y exercer son mandat de sénateur de droit et il serait surprenant qu’il prenne réellement congé de la politique. Sans oublier le fait que, militaire dans l’âme, il demeure en réserve de l’armée, et qu’à bon entendeur salut…

Il est trop tôt, trop imprudent de tirer le véritable bilan du règne de Joseph Kabila : en ces temps de campagne électorale, les passions sont portées au vif et il faudra que le passage du temps décante ce qui restera réellement de son œuvre. Mais si les élections se déroulent dans des conditions acceptables, si un passage de pouvoir pacifique peut s’opérer, malgré le scepticisme de la communauté internationale, cela représentera déjà une grande avancée qui sera portée au crédit de celui qui a su honorer sa parole. Ne reste qu’à croiser les doigts.

 «L’armée, c’est un chantier qui se poursuit»

Les réformes ont commencé, dit le président. Mais les militaires ont encore de nombreux défis et besoins devant eux. Rajeunie, modernisée, l’armée a été réorganisée. Etes-vous satisfait de cette réorganisation ?

L’armée est au service de notre peuple et elle est sous le contrôle des institutions. Plusieurs lois de réforme de la police et de l’armée ont été adoptées, les équipements ont été modernisés : le travail de réformes va se poursuivre et, aujourd’hui déjà, l’armée n’est plus ce qu’elle était quand nous avons été bousculés par différentes rébellions. Cette armée va monter en puissance… Nous avons tenu à faire ce travail nous-mêmes, seuls, avec l’appui de quelques partenaires. Mais au fur et à mesure, ces derniers sont en train de se désengager et ce sont nos officiers qui sont chargés de la formation… Nous serons aussi obligés d’avoir une industrie de la défense. Fabrication de tenues, bottines, mais aussi engins, véhicules de combat, de blindés : tel est notre plan à moyen terme. Certes, il y a encore quelques cas d’indiscipline mais, dans l’ensemble, je peux le dire, notre armée est maîtrisée, disciplinée, les abus sont sanctionnés.

Voici quinze ans vous avez dû intégrer au sein des forces armées divers groupes rebelles. Aujourd’hui, avez-vous réussi à lutter contre l’impunité ?

Je crois que la justice militaire fonctionne même mieux que la justice classique ; des généraux ont été jugés, condamnés et mis en prison ! Si nous avons pu mettre fin aux violences faites aux femmes à 90 %, c’est en grande partie grâce à la justice militaire. L’armée, c’est un chantier qui se poursuit. Il y a un travail à faire en amont et en aval dans le domaine des droits de l’homme et de la femme ; il faut travailler aussi sur le plan mental. C’est aussi une armée qui continue à être en opérations dans des situations difficiles, à opérer sur la ligne de front, entre autres en Ituri. Notre armée va aussi devoir s’adapter aux nouvelles tactiques de ceux qu’elle doit affronter sur le terrain…

«Je n’ai pas le temps de répondre à ce qui fait partie de la désinformation»

Pour le président congolais, les mensonges font partie de toute une stratégie de communication, ils sont mis en place pour l’abattre. Mais, ajoute-t-il, le peuple congolais est mature et sait à quoi s’en tenir. Le patron de la Gecamines dénonce les dénigrements qui ont visé sa société. Avez-vous, personnellement, été victime de telles calomnies ?

Certainement, mais je n’ai jamais répondu pour une simple raison : j’ai des choses beaucoup plus importantes à faire que m’occuper de cette fabrication de mensonges. Je dois veiller à la sécurité de mon pays, à son développement. Ces mensonges font partie de toute une stratégie de communication, ils sont mis en place pour abattre M. Kabila, pour orienter nos choix. Je remercie notre population qui a fait preuve de maturité politique et a conclu que ce ne sont là que des ragots. Faut-il consacrer son temps, ses moyens, à traduire en justice tous ceux qui nous critiquent injustement ? Souvenez-vous du président Mobutu : on disait que sa fortune dépassait les 14 milliards de dollars, plus que la dette du pays… Arrivés à Kinshasa, nous avons cherché en vain ces 14 milliards… Peut-être étaient-ils dans les banques suisses ? Lorsque la présidente de la Confédération helvétique est venue ici, elle nous a dit que, sur les comptes, il n’y avait que 3 ou 4 millions de dollars…

Aujourd’hui, on dit que, vous-même, vous êtes plus riche que le maréchal Mobutu…

Vous croyez vraiment qu’un homme plus riche que le maréchal peut travailler dans un bureau pareil ? Je n’ai pas le temps de répondre à ce qui fait partie de la désinformation. Des fake news. Ces histoires émanent d’officines basées à Paris, Bruxelles, New York…

Il y a aussi des témoignages qui viennent du terrain, des injustices sont révélées par des nationaux, comme le cas de ces villageois expropriés à Mborero, le long du lac Kivu. Une école catholique y a même été détruite. Et tout cela pour construire un hôtel…

A ma connaissance, l’école est toujours là… Des conflits entre voisins, pour des parcelles, cela peut exister, mais il ne faut pas en faire une affaire internationale. L’essentiel, c’est que l’on recherche des solutions pour continuer à vivre ensemble.

«Le Congo ne représente pas un nouveau front mais une cible des terroristes»

Pour Joseph Kabila, la menace est réelle et exige une très bonne coopération des services de sécurité de la région.

Dans la région de Beni, l’armée est-elle confrontée à des attaques qualifiées de terroriste ?

« Qualifiées » ? Mais c’est bien de terroristes qu’il s’agit ! Nos amis en Occident devraient se réveiller : c’est en 2012 déjà que j’ai commencé à parler du terrorisme des ADF (Allied Democratic Forces, rebelles d’origine ougandaise opérant dans la région du Ruwenzori, NDLR). A l’époque, je disais aux chefs d’Etat que ces ADF étaient les mêmes que les « shebabs » de Somalie, que Boko Haram en Afrique de l’Ouest, que l’Etat islamique lui-même… Aujourd’hui, les Ougandais s’agitent, mais aussi les Tanzaniens. Voici une semaine, à Cabo Delgado, au Mozambique, des inconnus ont égorgé des civils, brûlé les maisons avant de prendre la fuite. De la même manière qu’à Beni, où on a arrêté des groupes radicaux dans lesquels se trouvaient des Somaliens, des Kényans, des Ougandais, des Mozambicains… Cette menace inédite exige une très bonne coopération des services de sécurité de la région. Il ne s’agit plus d’une guerre classique mais de groupes qui veulent tuer un maximum de gens puis disparaître. Pour nous, c’est un grand défi, une menace pour l’avenir. Les Mai-Mai qui restent, nous sommes capables de les affronter. Par contre, cette menace terroriste requiert une stratégie particulière. Le Congo ne représente pas un nouveau front mais une cible. Des assaillants, arrêtés au Mozambique, ont dit qu’ils avaient été entraînés dans les forêts du Congo !

Du temps du Mzee, votre père, vous étiez déjà militaire. Allez-vous rester lié à l’armée ? Est-ce dans votre ADN ?

Mon ADN ? Je ne dirais pas. J’ai beaucoup de camarades qui sont devenus aujourd’hui de très bons officiers et je les encourage à continuer à encadrer les jeunes en formation. Evidemment, en cas de besoin, je suis dans ce qu’on appelle la réserve…

Vous êtes trop jeune pour être mis à la retraite…

La retraite, non, j’ai bien dit la réserve. En cas de besoin, on peut toujours faire appel à nous, à moi, pour servir la nation.

Par Colette Braeckman

Pour la Majorité présidentielle, les épisodes de Genève, de Nairobi, les alertes alarmistes et les révélations fantaisistes sur la mort de deux experts de l’ONU constituent les séquences de la trame d’une transition sans Kabila pour permettre aux forces obscures de prendre les rênes du pouvoir au Congo. Il a été démontré que Genève et Nairobi ne sont que des versions corrigées de ce projet paradoxal qui consiste à être candidat, mais sans respecter les modalités pratiques fixées par la CENI, conformément à ses prérogatives constitutionnelles. De même, des images insolites circulent dans le net pour démobiliser les populations congolaises et créer une psychose de peur afin d’espérer arrêter le processus électoral. Et pour ne pas courir le risque de gâcher cette belle fête de la démocratie qu’est la campagne électorale, la MP encourage le président de la République à ne pas baisser la garde sous aucun prétexte.

La campagne électorale du candidat du front Commun pour le Congo (FCC), les sanctions de l’Union européenne, les assises de Genève et de Nairobi, sans oublier les alertes alarmistes et les révélations sur la mort de deux experts de l’ONU, ont caractérisé le point de presse de la Majorité présidentielle, vendredi 30 novembre 2018. Pendant que l’opposition est concentrée à résoudre les querelles byzantines qui la caractérisent, le candidat n°13, Emmanuel Ramazani Shadary vient de boucler sa campagne dans le Grand Katanga. « …les premiers moments de la campagne du candidat n°13 à l’arrière-pays, notamment à Lubumbashi, à Kolwezi, Kamina et Kalemie confirment et consolident la tendance observée à Kinshasa au stade tata Raphaël, au stade Kashala Bonzola de Mbuji-Mayi et au stade de la Kenya (Lubumbashi) », a indiqué le porte-parole de la Majorité présidentielle, l’ambassadeur André-Alain Atundu, qui estime que ces masses sont de bonne augure et conduisent logiquement Shadary à la présidence de la République.

Comparativement à la foule drainée par les tickets de Lamuka et de CACH, Atundu qui rappelle les différents stades inondés par les partisans du FCC, pense que la foule est une indication qui démontre entre qui va dérouler le combat. Et de ce combat, le candidat du FCC est préparé à les affronter un à un et victorieusement. Ils font tout pour atteindre les chevilles de Shadary, mais sans y parvenir. Et ce, parce que le candidat n°13 demeure le porte- étendard de l’ambition nationale de souveraineté et d’émergence et est le plus crédible d’entre tous les candidats présidents de la République ?

Pendant que Shadary est à la rencontre des électeurs, certains de ses concurrents en mal d’inspiration hantent les montagnes d’Afrique et d’Europe, où sont censés résider les dieux, à la recherche d’une inspiration divine quelconque. Dans ce sens, Genève et Nairobi ne sont que des versions corrigées de ce projet paradoxal qui consiste à être candidat, mais sans respecter les modalités pratiques fixées par la CENI, conformément à ses prérogatives constitutionnelles. Et face à ces enfants égarés et impénitents, la Majorité présidentielle proclame avec force user de tous les moyens de droit que lui confère la constitution pour mettre ces imposteurs radicalisés hors d’état de nuire.

C’est ici que la coalition Lamuka va jusqu’à déplorer que le gouvernement empêcherait le vol de 4 jets pour la campagne de leur candidat Et Atundu de préciser que lorsqu’il jette un regard dans le passé, quelqu’un qui a prétendu quitter le président Joseph Kabila parce qu’il ne voulait pas quitter le pouvoir, l’accorde peu de crédit pour quelqu’un qui veut présenter une image honorable des difficultés du candidat Fayulu. Et de prévenir, si vous n’avez pas les moyens, ne dites pas c’est à cause du gouvernement que vous n’avez pas pu faire la campagne. Si vous n’avez pas les moyens de nourrir les policiers, ne dites pas que c’est la faute au gouvernement. Car cela participe à leur méthode d’influencer sur l’opinion en contant sur la naïveté du Congolais.

Au sujet de la sécurité des candidats présidents de la République, Atundu explique que tous les candidats qui l’ont demandé, ont obtenu. Il insiste quand même que personne n’est responsable de l’incapacité des candidats à faire face à cette obligation. Car, si vous n’avez déjà pas assez de moyens pour la campagne, vous n’en aurez pas nécessairement pour nourrir les policiers. Tout le monde a droit et en plus, certains n’ont même pas d’adresse connue. Et de conclure qu’il y a beaucoup d’amalgame et toute honnêteté on ne peut pas mettre en cause la bonne fois des institutions.

Des alertes alarmistes…

Pendant que les vrais candidats démocrates sont sur le terrain pour convaincre le peuple de les voter le 23 décembre 2018 en vue de réaliser chacun sa vision sur le Congo, des devins de malheur lancent des rumeurs fantaisistes de menace à la paix sociale à cause des élections. Pour ce faire, des images insolites circulent dans le net pour démobiliser les populations congolaises. Bien plus grave, certains partenaires se permettent de créer la psychose de peur afin d’espérer arrêter le processus électoral.

Peine perdue ! Car fort de sa longue et riche expérience politique, le peuple congolais est prêt à relever le défi, secondé en cela par la MP qui se bat de belle manière contre tous les ennemis de la démocratie et de la patrie avec comme seule arme redoutable : la constitution, en son article 64. Au sujet de la prétendue menace d’attaque des résidences de l’ambassade américaine en République démocratique du Congo, l’Ambassadeur Atundu, agent de renseignements averti pense que, sans prétention de minimiser la menace, lorsqu’on est autorité, l’on est au centre des informations. La force d’une autorité, c’est d’examiner laquelle a la chance de se réaliser, prendre toutes les précautions pour ne pas alarmer l’ensemble de la population.

Et de révéler qu’il y a des choses dangereuses conçues contre les autorités, mais ils ne disent mot ! Pourquoi cette alerte alarmiste? On pouvait la porter à la connaissance du public s’il avait été constaté l’augmentation des services de sécurité. Il ne servait pas d’alarmer la population, termine-t-il. Suite à l’insistance de la presse, le porte-parole de la MP estime que c’est un fait qui ne méritait pas d’être porté à la connaissance de l’opinion. D’ailleurs, l’Ambassade américaine a l’obligation de collaborer avec les services de sécurité de la Rdc pour éviter de perturber la vie des Congolais. Si de lundi jusqu’à vendredi l’Ambassade n’a pas fonctionné, c’est peut être une façon de les désorganiser. Mais il faut éviter les informations qui peuvent causer la psychose au niveau de la population.

Dans sa communication, la MP est aussi revenue sur la malsaine et insolite publicité autour des soi-disant révélations qui établiraient de façon certaine la volonté des autorités judiciaires de l’armée de brouiller les pistes et de cacher certaines réalités liées à l’assassinat de deux experts de l’ONU au Kasaï. A ce sujet, le porte-parole se demande : comment mettre à la disposition du public des données inconnues des autorités judiciaires ou déclassées et non exploitées par l’ONU et en conclure à la culpabilité des autorités judiciaires sans autre forme de procès ? Et de constater que dans l’atmosphère électorale actuelle, une telle information intempestive ne contribue ni à la sérénité ni à la vérité.

Tout ceci va conduire la Majorité présidentielle à conclure que les épisodes de Genève, de Nairobi, les alertes alarmistes et les révélations fantaisistes sur la mort de deux experts de l’ONU constituent les séquences de la trame d’une transition sans Kabila pour permettre aux forces obscures de prendre les rênes du pouvoir au Congo. Voilà pourquoi, pour ne pas courir le risque de gâcher cette belle fête de la démocratie qu’est la campagne électorale, la MP encourage le président de la République à ne pas baisser la garde sous aucun prétexte.

JMNK

 

par -
0 27

Des images insolites, dont certaines ont été montées grossièrement de toute pièce, circulent dans le net et de bouche à oreille pour démobiliser les populations congolaises. Bien plus grave, certains partenaires, dont à première vue rien ne permet de douter de leur sérieux, s’ingénient à créer une psychose de peur afin d’espérer arrêter le processus électoral. C’est le constat fait par la Majorité présidentielle lors de son point de presse du vendredi dernier. Ayant eu connaissance de cette information, l’Ambassade de Belgique, à travers son Attaché militaire a écrit au Chef d’Etat-Major Général des Forces Armées de la République Démocratique du Congo, le Lieutenant Général Mbala, pour dénoncer la fausseté des vidéos circulant sur les réseaux sociaux.

L’Attaché de Défense près de l’Ambassade de Belgique présente ses compliments au Chef d’Etat-Major général des Forces Armées de la République Démocratique du Congo.

« Depuis le 28 novembre 2018, circule une vidéo qui montre des para-commandos belges qui se préparent à embarquer dans des avions de type C-130. Les images sont accompagnées d’une interview dans laquelle est raconté que 500 para-commandos se préparent pour partir à Brazzaville. Je tiens à vous informer que ces images datent de 1997 en ne sont donc pas du tout d’actualité », a précisé l’Attaché de Défense près de l’Ambassade de Belgique.

Il a profité de cette occasion pour informer également les autorités congolaises que la Belgique a démarré des démarches pour ouvrir une Ambassade en République du Congo. Ceci pourrait se concrétiser au début du mois de décembre. La mise en place du matériel afférant et les procédures sont, comme c’est de l’usage, confiée à des militaires. Lors des premières semaines qui suivent cette ouverture, il y aura donc une délégation militaire qui visitera ce poste à Brazzaville.

Cet éclairage donné par l’attaché de Défense près de l’Ambassade de Belgique intervient au bon moment et permet de calmer la population qui était sous le coup de la psychose, à cause de l’exploitation outrancière de ces images.

JMNK

par -
0 34

Vice-Premier ministre et ministre des Affaires étrangères et de l’Intégration régionale, Léonard She Okitundu a réuni vendredi dernier, au salon rouge de son ministère, les représentants de la Communauté Internationale, pour présenter sa communication au sujet des relations entre la République Démocratique du Congo et l’Union Européenne.  En effet, en date du 12 décembre 2016 et du 29 mai 2017, le Conseil de l’Union Européenne a pris des mesures restrictives à l’encontre de 16 personnalités Congolaises. Les ministres des Affaires Etrangères de l’Union Européenne qui ont pris ces mesures, à deux reprises, les ont justifiées par le fait que ces personnalités auraient commis « des actes faisant obstacle à une sortie de crise consensuelle et pacifique en vue de la tenue d’élections en RDC».

Il a par la suite rappelé toutes les démarches mises en mouvement par lui, pour dénoncer ces mesures qui étaient non judiciaires, mais foncièrement politiques, partant revêtaient un caractère manifestement arbitraire dans la mesure où elles s’écartaient des principes élémentaires régissant un Etat de droit en particulier, le droit fondamental d’être entendu et le droit à la présomption d’innocence.  « Ces mesures sont prises au détriment du substrat d’amitié, d’égalité, de dialogue permanent dans le respect mutuel fondant la relation entre l’Union Africaine et l’Union européenne à teneur de l’Accord de Cotonou en son article 8 qui prône le dialogue dans toutes ses formes.

Et de se demander, peut-on imaginer un seul instant que, réunis en Conseil Exécutif de l’Union Africaine à Addis-Abeba, les ministres africains puissent prendre des mesures restrictives à l’encontre de leurs homologues européens avec qui ils siègent valablement lors des Sommets Conjoints Afrique-Europe ? Visiblement le moins que l’on puisse en retenir c’est que ces mesures punitives de l’Union Européenne dénotent une posture de supériorité surannée aux antipodes du partenariat coopératif et de respect mutuel entre l’Afrique et l’Europe.

D’insister que malheureusement, suite à ces mesures restrictives prises unilatéralement par l’Union Européenne à l’encontre de certaines personnalités Congolaises, il se dégage une inégalité de traitement à ces élections entre les différents candidats frappés par ces mesures et les autres.       En l’espèce, il s’agit en particulier du candidat du Front Commun pour le Congo (FCC) à savoir Emmanuel Ramazani Shadary qui est ainsi privé de sa liberté fondamentale de se mouvoir pour expliquer aux partenaires extérieurs la pertinence de sa vision. Par-dessus le marché, cette privation de sa liberté d’aller et venir peut être à dessein exploitée négativement par ses adversaires.

Compromet les relations de partenariat

Du coup, on à faire ni plus ni moins à un cas flagrant d’ingérence inacceptable dans le processus électoral Congolais de la part de l’Union Européenne. « Lors de mon dernier entretien avec la Haute Représentante européenne, j’ai sollicité une ultime fois le retrait de ces sanctions de nature politique, illégale et à tout le moins inopportune, avant la tenue des prochains scrutins, afin de remettre sur un même pied d’égalité tous les candidats à l’élection présidentielle et promouvoir un environnement propice au déroulement d’élections apaisées et transparentes en République Démocratique du Congo. A la rigueur, faute du retrait pur et simple de ces mesures restrictives, j’ai requis, au nom des relations historiques entre l’Union Européenne et notre pays, leur suspension moyennant une période probatoire en guise d’une solution de compromis qui serait très appréciée », révèle-t-il.

En conclusion de cet entretien téléphonique avec la Haute-Représentante de l’Union Européenne aux Affaires Etrangères et Vice-présidente de la Commission Européenne, Mme Federica Mogherin, il s’est dégagé une divergence profonde entre la position Congolaise et celle de l’Union Européenne, celle-ci préférant une reconduction technique des mesures querellées et leur révision postérieurement au déroulement des élections.

Dans l’hypothèse où l’Union Européenne demeurait insensible à la demande Congolaise soutenue par l’Union Africaine et les organisations sous-régionales africaines habilitées, cela compromettrait dangereusement nos relations de partenariat. En effet, la révision des mesures restrictives n’a d’intérêt pour la République Démocratique du Congo que si elle intervenait antérieurement à la tenue des élections car postérieurement à celles-ci elle perdrait toute signification et partant constituerait un non- évènement.

Sur un deuxième point dans ce même cadre, She Okitundu a fixé le corps diplomatique sur la question du dispositif consulaire qu’on appelait « Maison Schengen », tout en rappelant que la mesure de retrait de la protection diplomatique au bâtiment qu’il abritait, entre dans le cadre des mesures de rétorsion prises au niveau bilatéral avec le Royaume de Belgique suite à des décisions Inamicales prises par ce partenaire. « Je rappelle qu’il n’existe aucun accord entre notre pays et les Etats Schengen in corpore et encore moins avec l’Union Européenne sur ledit dispositif consulaire », dit-il, avant d’ajouter que le Gouvernement Congolais a reçu des nouvelles propositions de certains partenaires quant à ce dispositif qui sont à l’étude actuellement. En tous les cas, la résolution de cette question requiert un geste du Gouvernement belge qui intègre les revendications Congolaises. A défaut, il ne restera plus qu’à substituer au dispositif bilatéral, un accord européen.

JMNK

par -
0 29

Encore un rendez-vous manqué pour l’AS V. Club de Kinshasa en finale de la Coupe de la Confédération Africaine de Football (CAF). 45 ans après, les Congolais ont eu du mal hier dimanche 02 décembre 2018 au Stade des Martyrs de la Pentecôte, malgré leur victoire de 3-1 face au Raja de Casablanca en finale retour de la Coupe de la CAF, de soulever le trophée 2017-2018. La défaite de 3 buts à 0 en finale aller a pesé lourd sur les Congolais, voir l’unique but des marocains marqué en retour au chaudron du stade des Martyrs. Ainsi, le Raja de Casablanca est sacré vainqueur de la Coupe de la CAF, 15 après.

Un titre supplémentaire qui s’ajoute à son riche palmarès en remportant la Coupe de la CAF ce dimanche face à l’AS Vita Club loin de sa terre. Dans un stade des Martyrs bien rempli, mais vidé dans les dernières minutes de la seconde période, l’Aigle Vert du Maroc a fait l’essentiel. Ils ont eu chaud en deuxième période, mais ont fait un résultat qui ne leur prive pas le trophée.

Des ratés du côté congolais dans les premières minutes de la première mi-temps, comme les deux têtes manquées de Jean-Marc Mundele, dont la première était superbement repoussée par le gardien Zniti, alors que la seconde fusait à côté du cadre.

Quand ça rate ici, de l’autre côté l’on concrétise. C’est ce qui va arriver quelques minutes après, avec le but marocain inscrit par Hafidi,  après une perte de ballon de Fabrice Ngoma à la 21ème minute. Ce but enterrait pratiquement les espoirs des Congolais qui devaient désormais marquer 5 buts pour renverser la vapeur.

Quelques minutes après, le buteur marocain sera touché, et est remplacé par Douik. L’AS V. Club fonce, et à la 49ème minute, Jean-Marc Makusu Mundele égalise sur coup franc. Le suspense est donc relancé, et les Congolais y croient. 1-1, l’arbitre sud-africain envoie les deux équipes aux vestiaires.

Après cette pause de 15 minutes, les deux équipes regagnent l’aire de jeu, et l’entraineur congolais Florent Ibenge effectue quelques changements, dont celui de Mukoko Batezadio. Ce dernier va ensuite inscrire le deuxième but des Moscovites à la 71ème minute. Dans la foulée, Fabrice Ngoma va offrir à son club le troisième et dernier but à la 74ème minute. Vita accélère, mais aucun autre but ne sera marqué après. La remontada reste à Barcelone, et Vita a eu du mal à faire mieux.

Ainsi, le Raja de Casablanca perd la rencontre, mais soulève le trophée au stade des Martyrs devant le public de Vita Club. Place à présent à l’autre édition de la Coupe de la CAF 2018-2019 dont le go a été donné il y a quelques jours. Félicitations au vainqueur de l’édition 2017-2018.

Altesse B. Makambo

 

par -
0 29

Pari gagné pour le FIDA/Rdc qui, durant trois jours a réunis des équipes de gestion des projets se sont réunis à Kinshasa, pour trois objectifs. D’abord, marquer publiquement le réengagement du FIDA en Rdc  et capitaliser les recommandations de la revue conjointe du portefeuille organisé avec le Gouvernement en mai 2018. Ensuite, lancer officiellement le démarrage du programme d’Appui au secteur agricole du Nord-Kivu (PASA-NK) et enfin, regrouper dans un atelier d’immersion de trois jours, l’ensemble des équipes des projets de la Rdc et de la République du Congo, avec les staffs des Gouvernements qui assurent le suivi, ainsi que les équipes du FIDA à Kinshasa et à Rome, pour mieux se connaître étant donné que plusieurs membres des unités de gestion des projets ont été recrutés très récemment et il y a besoin d’une immersion aux opérations du FIDA.

« Je dois dire que le FIDA est très satisfait de cet atelier qui a réunis presque 150 personnes, soit trois unités de gestion de projets de la Rdc et deux unités de gestion des projets du Congo-Brazzaville, avec les responsables de plusieurs ministères, ainsi que de la société civile », a indiqué M. Abdelhaq Hanafi, Directeur-Pays, avant d’ajouter que nous avons également bénéficié de l’expérience de nos experts qui sont venus de Rome (Italie) et d’autres régions et qui ont expliqué tous les aspects relatifs aux opérations de FIDA. Et de renchérir que  de la passation des marchés à la gestion financière, … on a abordé tous les aspects. Donc, c’était extraordinaire et les objectifs sont atteints.  Et de signaler que dès ce lundi, on lance PASA-NK à Goma, chef-lieu de la province du Nord-Kivu, avec les organisations paysannes et le gouvernement provincial.

Mettre à profit l’ensemble des connaissances

Représentant le ministre de l’Agriculture à la clôture de l’atelier d’immersion de la Rdc-FIDA et du lancement du PASA-NK, le Secrétaire général de ce ministère, M. Evariste Boshabu, loin de lui la prétention de faire un bilan exhaustif des interventions d’éminents experts, a tout simplement retenu que durant trois jours, il a été partagé dans l’optique de gestion axée sur les résultats et de la redevabilité, quelques préoccupations majeures suivantes : comment réparer les facteurs de risques du personnel et des organisations, comment éviter que les activités importantes ne deviennent pas urgentes ou non prioritaire, comment gérer un projet de développement dans une approche d’urgence par la déclinaison des défis à relever en 100 jours afin d’obtenir des résultats à impacts rapides, la revue des problèmes récurrents dans la gestion financière et comptable, la passation des marchés et le contrôle interne des projets , les niveaux des risques potentiels et les mesures d’atténuation ; la gestion des savoirs et de la communication, l’anticorruption et le lancement des alertes et la question du genre et ciblage des groupes vulnérables, etc.

« Je suis convaincu que ce modeste résumé exécutif des thématiques de cet atelier aidera chacun de nous, au niveau de la mise en œuvre et suivi des projets, à capitaliser les acquis en vue de l’amélioration de la performance des projets encore classés dans la catégorie des portefeuilles à risque élevé », dit-il, avant de rappeler que la levée de la suspension du portefeuille FIDA en Rdc (PIRAM, PAPAKIN et PASA-NK), il a été convenu entre le FIDA et le Gouvernement l’atteinte de quelques jalons clés respectivement d’ici la fin du mois de décembre 2018 et fin juin 2019. C’est dans cette perspective qu’il a invité tout le personnel des unités de gestion et les partenaires impliqués à mettre à profit l’ensemble des connaissances acquises et d’expériences partagées au cours dudit atelier afin d‘atteindre lesdits jalons.

JMNK