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Alors qu’ il fait partie de la délégation officielle qui accompagne Joseph Kabila à New-York pour la traditionnelle assemblée générale de l’ ONU dont les travaux s’ ouvrent le mardi prochain, Barnabé Kikaya, conseiller diplomatique du chef de l’État congolais s’ est vu confier  une autre mission, convaincre Washington  à renoncer aux résolutions des sanctions ciblées en chantier à la chambre des représentants  contre certains dirigeants congolais.

Les militants du Rassemblement des forces politiques et sociales acquises au changement  seront bel et bien dans les rues de Kinshasa, le  lundi, 19 septembre 2016. Mais contrairement au plan initial, les manifestants en  ne se rendront plus en masse au siège de la Ceni pour y observer un sit-in.

Lors d’ une réunion tenue ce samedi au siège du parti Fonus, Rassemblement et gouverneur de la ville se sont plutôt accordés sur l’ organisation d’ une marche pacifique qui sera sanctionnée par un meeting. D’après l’ accord trouvé entre les organisateurs et l’ hôtel de ville,  la marche devra partir de l’ échangeur de limeté à la 17émè rue pour chuter sur le boulevard triomphal.

Satisfecit pour André Kimbuta qui salue sa politique de proximité. « J’avais promis le jeudi de venir vers les opposants pour la mise au point. Il faut aller vers les administrés. Ils sont tous administrés », déclare le gouverneur de la ville qui se réjouit du consensus qui s’ est dégagé entre les deux parties.

« C’est seulement aujourd’hui que je confirme que je vais prendre acte de la marche du Rassemblement. Nous nous sommes mis d’accord que la marche partira de la place de l’ Echangeur jusqu’au Boulevard Triomphal », explique t-il.

Le compromis trouvé prévoit que les manifestants rempruntent les avenues de la Libération, Kalembelembe et Kasavubu avant de déboucher sur le point de chute. Seule, une petite délégation du rassemblement a été autorisée à se rendre au siège de la Ceni  après la manifestation pour y déposer le mémorandum.

André Kimbuta qui tient à l’ itinéraire convenu place ainsi les organisateurs devant leurs responsabilités. « Il n’ y aura pas de sit-in», insiste le gouv. Le plus important renchérit-il, c’ est « la marche et le meeting qui seront organisés ».

Jean Pierre Kayembe

 

 

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L’ambassadeur du Japon en Rd Congo, M. Hiroshi Karube a participé, le vendredi 2 novembre 2018, à la cérémonie d’inauguration du projet intitulé « Extension et réhabilitation du centre d’accueil pour enfants vulnérables dans la commune de Masina », à Kinshasa.

La cérémonie a eu lieu en présence du ministre en charge de la Santé, Affaires sociales et Communication du gouvernement provincial de la ville province de Kinshasa, M. Dominique Weloli Kanda Nzale. Il s’agit d’un projet financé par le Japon à hauteur de 81.740 dollars US, dans le cadre des micros-projets  locaux contribuant à la sécurité humaine.

Dans son allocution, M. Hiroshi Karube s’est dit convaincu que les différentes formations mises en place après les travaux d’extension et de réhabilitation, à savoir coupe et couture, coiffure et alphabétisation, permettraient d’offrir plus d’opportunités aux orphelins recueillis dans ce centre.

Rappelant que le Japon met l’accent l’aspect de la sécurité humaine dans le cadre de la coopération, l’ambassadeur Karube a cet effet que l’intégration sociale et la formation des enfants et des jeunes vulnérables réalisées à travers ce projet représentent une forme concrète de la philosophie japonaise.

Pour clore son propos, M. Karube a lancé un appel aux gestionnaires de ce centre afin qu’ils le maintiennent en bon état pour le bien de tous, car, a-t-il noté, ce centre représente un espoir pour tous les enfants qui y sont encadrés.

La joie des enfants, heureux bénéficiaires et autres attirés par la clameur sur les lieux était manifeste. L’extension et la réhabilitation du centre d’accueil pour enfants vulnérables dans la commune de Masina est une preuve de plus que le peuple japonais est aux côtés du peuple congolais pour le bien-être de ce dernier.

Emmanuel Badibanga 

 

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D’aucuns ne l’ignorent que la loi de finances du pouvoir central pour l’exercice 2019 et celle portant reddition des comptes de l’exercice 2017 ont constitué les matières prioritaires pour cette session parlementaire ordinaire de septembre 2018, et qui est essentiellement budgétaire. Ces deux textes de loi viennent d’être votés à l’Assemblée nationale le vendredi 02 novembre courant.

Faute de quorum qui n’était pas atteint lors de cette séance plénière présidée par le speaker de la Chambre basse du Parlement, Aubin Minaku Ndjalandjoko, ces votes globaux ont eu lieu simultanément au cours d’une séance subséquente. Notamment, avec ceux des deux autres lois portant création, organisation et fonction des Ordres nationaux des architectes et des ingénieurs en République démocratique du Congo.

Sur les 279 députés nationaux ayant pris part à ce vote « in globo », 271 ont été favorables aux textes de loi du budget 2019 et de la reddition des comptes de l’exercice 2017. Seulement 5 élus ont dit « non » à ces deux lois, et 3 autres se sont abstenus.

Bien avant, les députés nationaux ont procédé au vote à fond, article par article, de ces deux textes de loi. Cela a eu lieu séance tenante juste après l’approbation par l’assemblée plénière, des conclusions des rapports relatifs à l’examen et adoption de ces deux lois sur les finances publiques, présentés par la commission ECOFIN (Economique, financière et de contrôle budgétaire) de l’Assemblée nationale.

Il sied d’indiquer que ces deux lois votées sur le budget 2019 et la reddition des comptes 2017, ainsi que les deux autres textes de lois adoptés le vendredi dernier à l’Assemblée nationale, seront incessamment transmis au Sénat pour une seconde lecture. C’est après leurs délibérations à la Chambre haute du Parlement qu’elles seront envoyées au Président de la République pour promulgations.

Ce qu’a été la procédure parlementaire suivie par le budget 2019

Pour rappel, le projet de loi de finances exercice 2019 (budget 2019, évalué à près de six milliards de dollars américains) ainsi que celui portant reddition des comptes exercice 2017 avaient été simultanément déposés le mercredi 03 octobre dernier au bureau de l’Assemblée nationale par le Premier ministre Bruno Tshibala Nzenzhe.

Ces deux textes de loi, matières prioritaires du calendrier des travaux de la session en cours, ont été présentés et défendus devant la représentation nationale (le mardi 23 octobre dernier et le vendredi 19 octobre dernier), par le Premier ministre pour le budget, et le ministre des Finances pour la reddition des comptes.

Et, ayant été déclarés recevables par l’assemblée plénière (le jeudi 25 octobre dernier et le vendredi 19 octobre dernier), les deux textes de loi avaient été confiés à la commission ECOFIN (Economique, financière et de contrôle budgétaire) de l’Assemblée nationale, pour un examen approfondi. Au cours de leurs travaux, signale-t-on, les députés nationaux membres de cette commission ECOFIN présidée par l’honorable Mutokambali Luvanzayi Jean-Luc, et dont l’honorable Déo Indulu est rapporteur, ont eu à auditionner, entre autres, les membres du Gouvernement de la République, des responsables des régies financières, des gestionnaires des crédits et des services dépensiers, etc.

C’est donc lors de la plénière du vendredi 02 novembre courant que la commission ECOFIN a présenté ses deux rapports y relatifs, l’un après l’autre. Lesquels rapports ont été déclarés recevables par l’assemblée plénière avant d’être soumis au débat à tour de rôle.

Ces débats généraux autour de la loi sur le budget 2019 et la reddition des comptes n’ont pas enregistré assez d’interventions. Et comme c’étaient presque des débats vierges, l’assemblée plénière n’a pas tardé pour approuver les conclusions de ces deux rapports. Même l’examen à fond, article par article, de ces deux textes de loi s’est fait dans l’avant vite. L’on dirait qu’il n’y a pas eu d’examen à fond et l’on est passé directement au vote global des lois.

Une idée du budget 2019

A savoir que le budget du pouvoir central de l’exercice 2019 qui vient d’être adopté, est présenté en équilibre en recettes et dépenses à 10.352.319.780.053 CDF (dix mille trois cent cinquante-deux milliards trois cent dix-neuf millions sept cent quatre-vingt mille cinquante-trois Francs congolais). Appliqué au taux de change de 1.747,8 CDF le dollar, ce projet de budget de l’Etat s’évalue à 5,923 milliards de dollars américains (USD).

Toutefois, les recettes du budget général de l’exercice 2019 sont arrêtées à 9.604,9 milliards de Fc, celles des budgets annexes sont de 169,7 milliards de Fc et des comptes spéciaux de 577,8 milliards de FC. Quant aux dépenses de l’exercice 2019 arrêtées à 9.604,9 milliards de Fc, elles sont constituées des dépenses courantes et des dépenses en capital.

Elles sont réparties en budget général, budgets annexes et comptes spéciaux, en équilibre avec les recettes correspondantes. Ces dépenses permettront donc de financer les projets des secteurs prioritaires ou à grandes réformes.

Après l’examen approfondi de la loi de finances exercice 2019, la commission ECOFIN de l’Assemblée nationale a levé quelques options sur base des considérations économiques, administratives, politiques et temporelles qui se sont dégagées. Dont entre autres, l’exploration de nouvelles recettes potentielles relatives à la vulgarisation des dispositions sur les baux à loyer, l’impression des avis urbanistiques, les certificats et livrets de bail, proposée par le Gouvernement de la République (Ministère de l’Urbanisme et Habitat).

Il y a aussi l’adoption des prévisions des recettes extérieures au niveau fixé par le Gouvernement ; la clarification de la problématique des effectifs du personnel enseignant du Ministère de la Formation professionnelle ; Métiers et Artisanat, et leur prise en compte dans les crédits budgétaires de ce ministère ; et l’allocation d’une subvention au Fonds forestier national (FFN) pour permettre à ce service de l’Etat congolais de mener des actions indispensables et susceptibles de faciliter l’accès du pays aux fonds verts estimés à 26 milliards de dollars américains pour le Rdc (crédits carbones).

Ainsi, à la suite de l’examen des assignations budgétaires et des recettes 2019, la commission ECOFIN de l’Assemblée nationale indique que globalement, les recettes de ce budget 2019 qui s’élèvent à 10.352,3 milliards de FC accusent un taux de régression de 0,01 % par rapport à celles du budget 2018, évaluées à 10.353,13 milliards de Fc. Et la commission a relevé que la baisse des prévisions des recettes budgétaires est principalement consécutive au recul des prévisions des ressources extérieures et des budgets annexes par rapport à l’exercice 2018.

Des analyses et observations générales de cette commission à l’issue de l’examen du projet de loi de finances 2019, indiquent que la persistance du retard dans la mise en place des outils technologiques modernes visant la maximisation des recettes ; la problématique de la crédibilité des prévisions budgétaires ; et la modicité des allocations aux dépenses d’investissements. Mais aussi, la non-observance des critères légaux de la retenue de 40 % des recettes à caractère national et de leur répartition équitable aux provinces ; ainsi que le traitement inégalitaire dans les allocations des crédits de fonctionnement et d’investissement.

En conséquence, la commission a formulé des recommandations. Au Gouvernement de la République de respecter le délai légal pour le dépôt du projet de loi de finances à l’Assemblée nationale ; de parachever la réforme sur le Guichet unique du commerce extérieur ; de mettre en place la Caisse nationale de péréquation pour pallier aux inégalités constatées en matière d’allocation des crédits d’investissement aux provinces ; et de suivre avec attention la mise en place des mécanismes technologiques modernes qui visent l’amélioration de la collecte des recettes de l’Etat.

Il y a aussi des recommandations de la commission au Gouvernement en matière des recettes. Mais en matière des dépenses, elle recommande le respect des dispositions légales en ce qui concerne l’allocation des crédits aux charges publiques.

A l’endroit de la DGDA, la commission recommande d’intensifier la lutte contre la fraude douanière, et à la DGI de préparer un dossier complet sur les contentieux fiscaux en phase juridictionnelle, en marge de l’organisation d’une table-ronde entre le Parlement, le Gouvernement (Ministère de la Justice et celui des Finances) en vue de recouvrer ce qui est dû à l’Etat.

A la DGRAD, la commission recommande d’organiser les états généraux des services d’assiette, « afin de faire l’état des lieux et envisager des nouvelles stratégies pour maximiser les recettes de l’Etat dans ce secteur ».

De la reddition des comptes 2017

Pour rappel, la loi de finances n°17/005 du 23 juin 2017 du pouvoir central pour l’exercice 2017 a été votée en équilibre en recettes et dépenses à 11.524.53 milliards de Francs congolais. Quant à son exécution, l’on indique que globalement, les recettes réalisées se sont élevées à 6.478,61 milliards de Fc contre 11.524,53 milliards des prévisions.

Soit, un taux de réalisation de 56,22%. Ce qui dégage une moins-value totale de 5.045,91 milliards de FC, qui représente une valeur relative de 43,78 %.

Ces recettes mobilisées se composent de 6.000,2 milliards de Fc des recettes du budget général ; 142,9 milliards de Fc de recettes des budgets annexes ; et 335,4 milliards de Fc des recettes des comptes spéciaux. Les recettes du budget général comprennent les recettes internes-courantes réalisées à hauteur de 4.557,0 milliards de Fc sur des prévisions de 6.376,0 milliards de Fc, et des recettes extérieures mobilisées qui se chiffrent à 1.443,2 milliards de Fc sur 3.847,2 milliards de Fc prévus.

Pour la commission ECOFIN de l’Assemblée nationale, le faible taux de réalisation des recettes internes est imputable, dans l’ensemble, aux dysfonctionnements et faiblesses du système fiscal du pays, à un certain nombre de facteurs, tant structurels que conjoncturels. Tels que les exonérations accordées par le Code minier, le Code des investissements, les conventions pétrolières et internationales…, la suspension temporaire de la perception de la TVA sur les produits de grande consommation, la suspension de la TVA à l’importation en faveur des entreprises minières, sans oublier l’insécurité dans l’Est du pays et le développement de la rébellion Kamwina Nsapu au Kasaï.

Les prévisions des dépenses de 11.524,53 milliards de Fc ont été exécutées à hauteur de 6.402,73 milliards de Fc, soit un taux d’exécution de 55,56 %, dont 5.953,0 milliards de Fc des dépenses du budget général, 142,9 milliards de Fc des dépenses des budgets annexes et 306,7 milliards de Fc des dépenses des comptes spéciaux. Les dépenses du budget général ont enregistré un taux d’exécution de 58,2%, soit 5.953,0 milliards de Fc contre 10.223,3 milliards de Fc des prévisions.

L’exécution de la loi de finances du pouvoir central pour l’exercice 2017 s’est donc soldée par un excédent budgétaire de 75,88 milliards de Fc. Et comparée à l’exécution du budget 2016, il se dégage un accroissement de 30,65 % pour les recettes et de 20,74 % pour les dépenses.

Face à cela, les députés nationaux ont exprimé quelques préoccupations. Ils ont en effet fustigé l’attitude du Gouvernement de la République qui s’est caractérisée par l’absence de réponses formelles à la plupart d’interrogations de la Cour des comptes.

Notamment, les questions du faible taux d’exécution des dépenses d’investissement ; la non-consommation des crédits budgétaires pour certaines administrations ; le paiement partiel de la TVA remboursable ; les dépassements des crédits ; les dépenses exécutées sans crédits budgétaires ; les paiements effectués au-delà des engagements ; la présentation non conforme des dépenses…

Ainsi, la commission ECOFIN recommande au Parlement de la République de mettre en place une commission d’enquête parlementaire chargée d’investiguer sur les fautes de gestion relevées par la Cour des comptes. Ce, en vue de dégager les responsabilités individuelles et ainsi proposer des sanctions appropriées.

Au Gouvernement de la République d’assurer ou accélérer la mise en œuvre effective des mesures d’accompagnement de la mobilisation des recettes non encore exécutées ; de mettre en application les dispositions légales relatives aux collectifs budgétaires pouvant apporter des modifications aux allocations des crédits budgétaires en cours d’exécution de la loi de finances de l’année ; d’intensifier la lutte contre la fraude douanière et fiscale ; de renforcer les capacités du personnel des régies financières ; d’uniformiser le système informatique des collectes des données ; d’évaluer la réforme portant mise en application de la TVA ; et d’accélérer l’application de la loi portant sur les systèmes de paiement et de règlement-titre pour garantir la traçabilité et la transparence des mouvements financiers de l’Etat. La commission ECOFIN de l’Assemblée nationale recommande enfin la Cour des comptes à poursuivre et approfondir les investigations sur les faits restés sans éclaircissements.

Lepetit Baende

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En prévision du match de la 5ème et avant dernière journée des éliminatoires de la CAN/Cameroun 2019 à l’extérieur face au Congo Brazzaville, le sélectionneur principal des Léopards de la RDC, Jean-Florent Ibenge Ikwange a rendu public hier lundi, une liste de 24 joueurs pour bien négocier la rencontre. Match qui se jouera le dimanche 18 novembre 2018 au stade Alphonse Massamba Débat à Brazzaville.

Avec deux grands retours, en l’occurrence celui du capitaine des Léopards, Youssouf Mulumbu et de Trésor Mputu Mabi du TP Mazembe, sélectionné pour la première fois sous Ibenge, 10 joueurs locaux convoqués dont 6 de l’AS V. Club, Ibenge voit grand. Outre Mputu et Mulumbu, l’on note également le retour de Firmin Mubele Ndombe et de Jonathan Bolingi absents lors de la dernière rencontre face au Zimbabwe, mais aussi celle de Gaël Kakuta. Jacques Maghoma et Neeskens Kebano sont absents pour blessures.

Ci-dessous la liste des 24 sélectionnés

Gardiens : 1.       Kalambay Auguy (SM SANGA BALENDE / RD Congo), 2. Mossi Ngawi Anthony (CHIASSO FC / Suisse) et  3.    Matampi Mvumi Ley (EL ANSAR CLUB MEDINA / Arabie Saoudite)

Défenseurs: 4.       Bangala Litombo Yannick (AS V.CLUB / RD Congo), 5.     Djuma Shabani Wadol (AS V.CLUB / RD Congo), 6.       Issama Mpeko Djos (TP MAZEMBE / RD Congo), 7.      Luyindama Nekadio Christian (STANDARD DE LIEGE/ Belgique), 8.         Ngonda Muzinga Glody (AS V.CLUB / RD Congo), 9.       N’sakala Fabrice (ALANYASPOR/ Turquie), 10.        Tisserand Marcel (WOLSBOURG/ Allemagne) et 11.         Ungenda Muselenge Bodrick Bobo (PRIMEIRO DO AGOSTO / Angola).

Milieux : 12.       Lema Mabidi Chikito (RAJA DE CASABLANCA/ Maroc), 13.      Mbemba Mangulu Chancel (FC PORTO/ Portugal), 14. Mulumbu Youssouf (CELTIC DE GLASGOW/Ecosse), 15.        Mputu Mabi Trésor  (TP MAZEMBE / RD Congo), 16.         Munganga Omba Nelson (AS V.CLUB / RD Congo) et 17.         Ngoma Luamba Fabrice (AS V.CLUB / RD Congo).

Attaquants : 18. Bakambu Cédric (BEIJING GOUAN / Chine), 19.      Bolasie Yala Yannick (ASTON VILLA/ Angleterre), 20.    Bolingi Mpangi Jonathan (ANTWERP / Belgique), 21.         Makusu Mundele Jean-Marc (AS V.CLUB / RD Congo), 22.      Meshack Elia Lina (TP MAZEMBE/ RD Congo), 23. Mubele Ndombe Firmin (TOULOUSE/ France) et 24.         Kakuta Gaël (RAYO VALLECANO/ Espagne.

Altesse B. Makambo

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« Les morts ne sont pas sous la terre, ils sont dans l’arbre qui frémit… », a dit Birago Diop. Qui en République Démocratique du Congo ne se souvient pas de la lettre de l’ancien Premier ministre congolais et héros national, Patrice Emery Lumumba ? Dans son testament envoyé à sa tendre Pauline, l’homme tué par les colons belges avait déclaré : « l’histoire du Congo ne s’écrira ni à Bruxelles, ni à Londres, ni à Paris… ». Plusieurs années après sa mort, voilà la RD Congo son pays se trouve dans une étape importante de son histoire, où tout le monde pense à celui qui avait bravé la peur devant les impérialistes. Les paroles sont fortes ; sa puissance reste inébranlable.

L’Opposition politique congolaise est distraite et se confie à ceux qui ont tué la démocratie au pays de P.E Lumumba, pour prétendre diriger la RDC à l’issue des élections du 23 décembre 2018. Ils ont été partout ; en Belgique, en Afrique du Sud, aux Etats-Unis…toujours à la recherche du salut. Et voilà qu’après toutes ces rencontres vidées de leur sens, ils veulent encore se réunir à Genève du 7 au 10 novembre, alors qu’en Afrique du Sud, le risque d’une implosion avait pris corps. Une situation qui a défrayée la chronique, car l’absence de Félix Tshisekedi ne pouvait pas passer inaperçu. Tout a commencé par la marche vers la CENI où le fils Tshisekedi a fait comme son père ; donnant un mot d’ordre à ses combattants de ne pas prendre part à la manifestation d’autres plateformes de l’Opposition. Lui président du Rassemblement des Forces politiques et sociales acquises au changement/Limete, qui n’existe que de nom depuis la disparition du sphinx Etienne Tshisekedi, il s’est désolidarisé de sa troupe.

Des journalistes proches de l’Opposition, à l’exemple de l’éditeur de « Points saillants plus » n’ont pas pu se taire, face à ce retrait de Fatshi. Mais point n’est besoin de condamner Kabund. Si hier il pouvait recadrer Félix, aujourd’hui les choses ont changé. C’est Fatshi le Maître, bien qu’il soit entouré des gens que Safu qualifient des « traitres ».

Sera ou ne sera pas à Genève comme en Afrique du Sud ? C’est la question que tout le monde se pose, même s’il est évident que Félix Tshisekedi ne pourra plus demeurer dans la démarche de ses pairs, celle de boycotter les élections parce qu’il y a la machine à voter. Si Tshilombo a mis fin à l’unité dans les actions de l’opposition, que fera-t-il pour la suite ? L’on annonce que la réunion de Genève sera essentiellement consacrée sur le choix du candidat commun de l’Opposition et que le programme commun existerait déjà. Si l’unité règne, cela pourrait être une chose d’un seul jour, mais si le conclave doit prendre trois jours, il y a de quoi craindre !

Félix n’est plus avec eux, bien qu’il ait tenté de se sauver lors de sa dernière sortie médiatique, accusant les autres de vouloir mettre en péril l’unité de l’Opposition.

Au sujet du choix du candidat commun, disons que Genève ne saura faire quelque chose, car déjà à Kinshasa, ça ne marche plus. Des sondages contestés même dans l’Opposition qui mettent Fatshi en tête, des procès d’intentions contre certains candidats présidents de la même Opposition, des manipulations et agitations inutiles ; ce sont des comportements qui caractérisent l’Opposition ce jour. En face, un adversaire silencieux, et qui marque ses pas derrière la distraction de l’Opposition. Ça continuera comme ça, et la victoire viendra silencieusement. Le peuple, lui, observe et adhère à la cause du Front Commun pour le Congo (FCC).

La voix du Feu s’entend

Difficile d’écrire l’histoire de la RDC en dehors de la RDC. Etienne Tshisekedi avait essayé de comprendre ce testament de Patrice Lumumba, voilà pourquoi après Genval, il a accepté de venir négocier à Kinshasa. C’était le début des discussions du Centre Interdiocésain avec les évêques de la Conférence Episcopale Nationale du Congo (CENCO). Après Tshitshi, ses acolytes ne parviennent pas à faire comme lui. Ils contestent sous silence à Kinshasa, et peaufinent des stratégies de déstabilisation à l’extérieur. Faibles en actions populaires ! Ils disent non à la machine à voter, mais la CENI accélère le processus électoral. Ils ne parviennent pas à convaincre, ils se rencontrent sans suite logique. L’Opposition en perte de vitesse ! Genève, rencontre de tous les enjeux, mais aussi de celui de tous les dangers. Enjeux, s’ils parviennent à trouver un seul candidat pour affronter Shadary. Echec, s’ils restent éparpillés sans rendre très compétitives les élections du 23 décembre 2018. L’âme de Lumumba pleure, son sang crie à l’exemple de celui d’Abel dans la Bible, sa voix s’entend et sa colère descend. Seuls ceux-là qui obéissent pourront être épargnés. Trahie par l’Opposition, la mémoire de Lumumba va sévir. A cet effet, l’échec de Genève se dessine bien avant. Rien de bon, il faut s’attendre à des messages de désistements. Seuls les distraits partiront. Tshilombo même s’il partait, un seul point ne va pas lui mettre d’accord avec ses amis ; la machine à voter boycottée.

L’ancienneté, l’âge ou le niveau intellectuel ?

Le feu embrasse l’Opposition. La malédiction de Lumumba sur tous ceux qui rejettent son testament frappe déjà. Ils acceptent les conseils des Reynders et compagnies ; les mêmes personnes qui massacrent la démocratie en RDC. Et les voilà aujourd’hui devant le mur. Si hier la candidature unique était une histoire de la méritocratie, aujourd’hui ils en font un champ de commerce. A l’Udps, Félix et rien que Félix. Les mécontentements apparaissent, ils rectifient. A quelques jours de la campagne électorale, ils montent encore les enchères. Augustin Kabuya, alors porte-parole de l’Udps évoque l’aspect ancienneté quant au choix du candidat commun de l’Opposition. Un bel observateur. Il sait que Bemba et Katumbi ne sont plus dans la course. Il minimise Fayulu, rejette le pasteur Ngoy, s’en moque de Kamerhe, transfuge de la MP, refoule Mokia et consorts, et brandi son leader Félix Tshisekedi. Ancien par rapport à quoi, lui qui, derrière son père jadis vivant, n’avait rien d’opposant. Habitué dans les messes noires, aujourd’hui il veut se faire ancien de tous. C’est la raison même qu’il a mis en quarantaine tous les compagnons de lutte de son père, pour se croire plus ancien que ceux qui sont restés avec lui. Félix Tshisekedi ne voit pas de l’Opposition dans son propre camp. Il se voit mal entouré ; peut-être entouré des traitres et opte pour l’hypocrisie. Derrière lui, les combattants qui croient en lui en souvenir du nom de son père, icône de Limete. Et si Kabuya évoque l’aspect ancienneté, dans la même Opposition, certains voient l’aspect intelligence. C’est là où l’Udps ne saura dire mot. Le combat ne fait que commencer, plus que question des jours. La campagne électorale approche, et les élections dans peu.

Bernetel Makambo

Après le Stade Tata Raphael, le 27 octobre dernier lors d’un meeting de présentation du candidat du Front Commun pour le Congo (FCC), Emmanuel Ramazani Shadary, les sociétaires de cette méga plate-forme électorale ont encore mobilisé leurs militants, le samedi 03 novembre 2018. Cette fois-ci,  pour la présentation de l’équipe de campagne du candidat du FCC, à la présidentielle du 23 décembre 2018. C’était au Chapiteau du Pullman Grand Hôtel de Kinshasa, en présence des cadres et militants des différents partis et regroupements politiques membres du FCC.

C’est donc une vraie toile qu’il a tissé, en référence à une araignée, pour étouffer tous les autres candidats présidents de la République et gagner haut la main l’élection présidentielle du 23 décembre 2018. A voir le nombre et la qualité de tous ceux qui composent son équipe, on ne peut pas douter, un seul instant de cette victoire du candidat n°13 qui se profile à l’horizon.

Du haut de la tribune, Emmanuel Ramazani Shadary qu’entouraient les membres du bureau politique du FCC, dont le Directeur de cabinet du  chef de l’Etat, Néhémie Mwilanya, le Premier ministre Bruno Tshibala, le président de l’Assemblée nationale Aubin Minaku, le Vice-Premier ministre José Makila et Géneviève Inagosi.

Le Coordonnateur du Comité stratégique du FCC, le professeur Néhémie Mwilanya, a souhaité la bienvenue à tout le monde, tout en soulignant que c’est l’acte 2 de l’agenda du FCC. Et ce, après la présentation du candidat au State Tata Raphael.

Pour Joseph Kapika, membre du Comité stratégique du FCC, la présence des cadres et militants du FCC est une preuve de leur volonté et de leur détermination à travailler main dans la main pour la victoire de Shadary et des autres candidats à la députation nationale et provinciale. Car, dit-il, ne pas planifier, c’est planifier l’échec. Et de souligner que la sélection de toute cette équipe de campagne, près de 500 personnes,  a tenu compte de la représentativité des entités et groupes. Soit, toutes les 26 provinces et 145 territoires, les communautés de base et les associations. Disons aussi que la  composition de cette grande équipe gagnante du FCC a tenu compte des critères socio-géopolitiques et réunit toutes les conditions d’inclusivité nationale. Ce qui présage la victoire du FCC aux élections qui pointent à l’horizon, pensent certains observateurs.

Soulignons que parmi les 48 cellules, Pius Muabilu, patron du Congrès National Congolais et Autorité morale de l’Alliance pour l’Avenir est Rapporteur d’une cellule chargée des hommes et femmes d’affaires et dont Raphaël Katebe en est le Coordonnateur. Une façon pour l’élu de Mont Amba de contribuer à sa manière, à la victoire du candidat du FCC.

Même si des noms des coordonnateurs, rapporteurs et membres des cellules ont été rendus publics, le Comité stratégique du Front Commun pour le Congo (FCC), à travers son Coordonnateur Néhémie Mwilanya, informe l’opinion que les listes des membres de l’équipe de campagne du candidat président du FCC qui circulent sur les réseaux sociaux n’engagent pas la plateforme FCC. Les listes authentiques seront publiées sur le site officiel du FCC, aujourd’hui  05 novembre 2018.

Kokonyangi attribue -2% à Tshilombo !

Ayant mobilisé, parce que ses militants étaient visibles lors de ce grand rendez-vous, Joseph Kokonyangi n’a pas manqué de s’exprimer. Il s’est dit très satisfait, « parce que vous-même vous avez senti que notre système est celui de la toile d’araignée. Des artistes aux handicapés, des artistes aux footballeurs, des musiciens à tout le monde, … Donc, c’est une équipe extraordinaire et je ne vois pas où est-ce que nos amis opposition) vont commencer », dit-il, avant d’ajouter que du Stade Tata Raphael jusqu’ici, vous avez senti que le FCC c’est vraiment une machine, et que le candidat lui-même, Emmanuel Ramazani, est  un savant politique. Et de poursuivre, je ne peux pas vous dire que j’ai contribué à cette équipe, … Il  a travaillé, aujourd’hui il nous a dévoilé une équipe extraordinaire et je pense que tous nos collègues qui sont nominés, vont travailler et si nous nous mettons au travail, je crois que Tshilombo va avoir -2%. Bonne chance à nous, pas de commentaire, d’ici deux semaines, on est au travail.

Likinda entrevoit déjà la victoire de Shadary

La présentation de cette équipe de campagne du candidat Shadary, s’est déroulée, comme nous l’avons dit,  en présence de tous les sociétaires qui avaient mobilisé plusieurs militants. Pour le député national Fidèle Likinda, élu d’Ikela et Secrétaire national du PPRD, si le candidat du FCC l’emportait haut la main lors des élections du 23 décembre 2018, que l’opposition ne crie pas à la tricherie, parce que cette victoire est onction d’une préparation. Et c’est ce  qui est en train d’être fait.

« La grande famille politique Front Commun pour le Congo a présenté devant une foule immense, notre candidat en la personne d’Emmanuel Ramazani Shadary », dit-il, avant d’ajouter qu’aujourd’hui,  c’était la présentation de l’équipe de campagne qui va travailler avec notre candidat, parce qu’on a toujours dit, l’union fait la force. L’équipe a donc été dévoilée  pour gagner réellement les élections. Et de soutenir que quand les autres préparent la contestation, nous c’est le travail. Demain ou après-demain nous allons travailler et gagner, ils vont crier au scandale, ils vont dire qu’on a triché, etc. Non, notre victoire sera tributaire à la préparation.

Le bureau du candidat est ouvert sur l’avenue Kauka, n°48 dans la commune de la Gombe. Les coordonnateurs des différentes cellules seront informés du lieu de leur travail et le job description sera communiqué à chaque cellule lors d’une séance de travail à communiquer bientôt.

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Un point de presse  a été tenu par le Coordonnateur du Comité stratégique du Front Commun pour le Congo (FCC), le professeur Néhémie Mwilanya, le 02 novembre dernier, au cours duquel il a, au nom de l’Autorité morale du FCC, le président Joseph Kabila Kabange, remercié la population congolaise représentée par les Kinois, pour avoir répondu à l’appel du FCC le samedi 27 octobre dernier. Fait qui démontre que c’est lui le peuple souverain qui a la destinée du Congo en mains et qui est prêt à confier celle-ci à la force politique de son choix. Outre la présentation, le samedi 03 novembre dernier de l’équipe de campagne du candidat n°13 à la présidentielle, Emmanuel Ramazani Shadary, le FCC annonce, pour ce mercredi 07 novembre 2018, qu’il va se déployer dans l’espace Kasaïen en vue de l’installation de ses structures et de la présentation de son candidat à la population et ce, à partir de la ville de Mbuji-Mayi. Et le samedi 10 novembre, le FCC présentera le programme électoral de son candidat à la présidentielle de la République. Par ailleurs, des Gouverneurs de provinces, des personnalités, des partis politiques et les associations de la société civile ont adhéré à la Charte du Front Commun pour le Congo (FCC).

Le Front Commun pour le Congo (FCC), méga plate-forme créée pour soutenir la candidature d’Emmanuel Ramazani Shadary ne cesse d’attirer les Congolais de tout bord, passionnés du Congo et qui veulent apporter leurs pierres à l’édification de cette structure. C’est le sens de la signature, le 02 novembre dernier, de la Charte du FCC par des Gouverneurs de provinces, des personnalités, des partis politiques et les associations de la société civile. Et ce, en présence de tous les membres du Comité stratégique du FCC et de plusieurs militants.

Dans son mot, le professeur Néhémie Mwilanya a salué ceux qui ont pris la décision d’adhérer à la Charte du FCC. « Ils ont choisi la part du Congo », dit-il, avant d’ajouter qu’ils rejoignent une grande famille de ceux qui ont décidé de se battre pour le Congo. Et d’insister à leur intention que le FCC, c’est une grande famille de ceux qui se battent pour offrir le gage d’une stabilité au pays. Aussi, s’y retrouvent, ceux qui mettent en place les réformes pour le développement de ce pays et qui ne sauraient pas s’arrêter à mi-chemin.

Trois messages du FCC

Tout juste après l’adhésion à la Charte du FCC, un point de presse a été organisé, au cours duquel le Coordonnateur du Comité stratégique a donné trois importants messages. D’abord, transmettre les remerciements et les sentiments de profonde gratitude de l’Autorité morale du Front Commun pour le Congo (FCC), le président Joseph Kabila Kabange à la population congolaise représentée par les Kinois, pour avoir répondu à l’appel du FCC le samedi 27 octobre dernier au Stade Tata Raphael, démontrant que c’est lui le peuple souverain qui a la destinée du Congo en mains et qui est prêt à confier celle-ci à la force politique de son choix.

Ensuite, inviter l’opinion tant nationale qu’internationale à prendre date avec la démonstration de force du 27 octobre 2018 et à capter l’orientation donnée par le peuple congolais aux scrutins du 23 décembre à venir. A l’en croire, le camp de la victoire s’est dessiné ce jour-là. « Plutôt que de mener des combats d’arrière-garde, le FCC lance un appel à tous les patriotes qui sont encore dans le camp opposé, comme ceux qui se sont manifestés aujourd’hui en adhérant à la Charte du FCC, de rejoindre le camp du peuple de manière à valider, au 23 décembre 2018, les choix de ceux qui incarnent les combats de la République et l’espérance des Congolais, à savoir, les candidats du FCC à l’élection présidentielle, Emmanuel Ramazani Shadary, et ceux des députés nationaux et provinciaux devant constituer la plus grande majorité parlementaire que ce pays n’ait jamais eue », a indiqué Néhémie Mwilanya, qui pense qu’il est indispensable pour le pays d’avoir des institutions non seulement légitimes, mais également stables, à même d’opérer des réformes requises par la grande ambition de faire du Congo, le centre du monde de demain.

Enfin, le FCC encourage toutes les nations du monde qui croient en la Rdc comme partenaire stratégique et objectif d’accompagner positivement le processus électoral qui amorce son virage le plus déterminant, de respecter le droit à l’autodétermination du peuple congolais et d’éviter des combats d’arrière-garde, visant notamment à soutenir des schémas à priori de décrédibilisassions du processus électoral en cours, de contestation des résultats des scrutins, ou de non reconnaissance de ceux-ci.

Voilà pourquoi le FCC invite le peuple à faire confiance au leadership du président Joseph Kabila, car tout sera mis à l’œuvre pour qu’il s’explique librement et en toute sécurité le jour des scrutins, mais également pour que ses choix à tous les niveaux soient respectés par tous. « Il n’y aura pas de victoire sur le tapis vert pour personne en Rdc au cours des scrutins de décembre prochain », prévient-il, avant de décliner le programme d’activité du FCC, qui se poursuit ce mercredi 07 novembre par le déploiement dans l’espace Kasaïen en vue de l’installation de ses structures et de la présentation de son candidat à la population et ce, à partir de la ville de Mbuji-Mayi. Et le samedi 10 novembre, le FCC présentera le programme électoral de son candidat à la présidentielle de la République.

Le Trésor public saigné ? Quid du sondage et des sanctions de l’UE

A la question de savoir si le Trésor public n’a pas été saigné lors du meeting du 27 octobre dernier, Néhémie Mwilanya a rappelé qu’il est possible qu’on ait été en présence des malentendus et de l’ignorance en matière de décaissement des fonds de la République. A ce jour, explique-t-il, il existe la chaine de la dépense et qui emploie les fonctionnaires venant de tous les horizons, soit de l’opposition, tout comme de la majorité. « J’ai beau parcouru les journaux, j’ai suivi les reportages et pages magazines, je n’ai rien aucune preuve ! C’est la première fois qu’une manifestation projetée le samedi, ait donné lieu à des bagarres la veille pour tout simplement occuper des places. D’autres ont carrément passé la nuit au stade Tata Raphael », dit-il, avant de dire que nous aurions bien voulu avoir autant d’argent pour partager à tous les compatriotes et c’est une grande diversion.

Au sujet des sanctions de l’Union Européenne à l’endroit d’Emmanuel Ramazani Shadary, Azarias Ruberwa, membre du Comité stratégique a indiqué que le candidat du FCC n’est pas condamné et n’est même pas poursuivi par la justice internationale. Ce sont tout simplement des sanctions de nature politique qui s’effacent avec le temps. Tout en reconnaissant que c’est une question mineure, il indique que des démarches sont faites dans le sens de leur levée.

Quant au sondage BERCI, proche d’Olivier Kamitatu, porte-parole de Moïse Katumbi, Ruberwa estime que le FCC n’a pas réagi aux différents sondages pour raison d’humilité. Maintenant que d’autres sortent et que nous qualifions d’injustes, nous ne pouvons que réagir. « Pour des raisons d’éthique, lorsque vous avez des problèmes avec un Etat, vous ne pouvez pas être juge ! Il a choisi un moment, soit au lendemain du meeting réussi du Stade Tata Raphael, pour semer le trouble et la confusion dans la tête des membres du FCC », dit-il, avant de terminer que ce sondage ne vaut rien et ne vaut que la crédibilité de son auteur. Le FCC étant mobilisé de façon décisive, ne se laissera pas détruire par un sondage teinté de revanche.

JMNK