My Weblog: kutahya web tasarim umraniye elektrikci uskudar elektrikci umraniye elektrikci istanbul elektrikci satis egitimi cekmekoy elektrikci uskudar kornis montaj umraniye kornis montaj atasehir elektrikci beykoz elektrikci

404 Error - page not found
We're sorry, but the page you are looking for doesn't exist.
You can go to the Page Accueil

NOS RÉCENTS ARTICLES

par -
0 1253

Alors qu’ il fait partie de la délégation officielle qui accompagne Joseph Kabila à New-York pour la traditionnelle assemblée générale de l’ ONU dont les travaux s’ ouvrent le mardi prochain, Barnabé Kikaya, conseiller diplomatique du chef de l’État congolais s’ est vu confier  une autre mission, convaincre Washington  à renoncer aux résolutions des sanctions ciblées en chantier à la chambre des représentants  contre certains dirigeants congolais.

Les militants du Rassemblement des forces politiques et sociales acquises au changement  seront bel et bien dans les rues de Kinshasa, le  lundi, 19 septembre 2016. Mais contrairement au plan initial, les manifestants en  ne se rendront plus en masse au siège de la Ceni pour y observer un sit-in.

Lors d’ une réunion tenue ce samedi au siège du parti Fonus, Rassemblement et gouverneur de la ville se sont plutôt accordés sur l’ organisation d’ une marche pacifique qui sera sanctionnée par un meeting. D’après l’ accord trouvé entre les organisateurs et l’ hôtel de ville,  la marche devra partir de l’ échangeur de limeté à la 17émè rue pour chuter sur le boulevard triomphal.

Satisfecit pour André Kimbuta qui salue sa politique de proximité. « J’avais promis le jeudi de venir vers les opposants pour la mise au point. Il faut aller vers les administrés. Ils sont tous administrés », déclare le gouverneur de la ville qui se réjouit du consensus qui s’ est dégagé entre les deux parties.

« C’est seulement aujourd’hui que je confirme que je vais prendre acte de la marche du Rassemblement. Nous nous sommes mis d’accord que la marche partira de la place de l’ Echangeur jusqu’au Boulevard Triomphal », explique t-il.

Le compromis trouvé prévoit que les manifestants rempruntent les avenues de la Libération, Kalembelembe et Kasavubu avant de déboucher sur le point de chute. Seule, une petite délégation du rassemblement a été autorisée à se rendre au siège de la Ceni  après la manifestation pour y déposer le mémorandum.

André Kimbuta qui tient à l’ itinéraire convenu place ainsi les organisateurs devant leurs responsabilités. « Il n’ y aura pas de sit-in», insiste le gouv. Le plus important renchérit-il, c’ est « la marche et le meeting qui seront organisés ».

Jean Pierre Kayembe

 

 

par -
0 1

Fila Basele est une belle voix qui entre en plein et par la grande porte dans le circuit de la chanson congolaise, se trouve actuellement au studio à Paris pour la réalisation d’un single baptisé “Eloko wana”.

Les travaux d’enregistrement se déroulent normalement et dans des bonnes conditions. Entouré des professionnels en la matière du son, Fila Basele, se propose déjà à faire de son nouvel opus une clé qui va lui permettre d’entrer en grande pompe dans le cercle de la World-Music.

Ceux qui ont écouté quelques extraits de ce disque reconnaissent que l’élan pris par ce jeune artiste, auteur-compositeur infatigable va lui permettre d’ajouter un plus à sa carrière qui ne vient que de démarrer.

Kingunza Kikim Afri/Cp

par -
0 1

Ça y est. Les Léopards rugby seniors de la République Démocratique du Congo ont remporté de  brillante manière la 1ère édition du championnat d’Afrique des nations zone centre-sud de rugby à 7 jouées du samedi 29 au 30 septembre 2018, à Bujumbura au Burundi. Les Léopards de la RDC ont signé au total cinq éclatantes victoires face à leurs adversaires qu’ils ont dominés de bout en bout avec panache. En finale, la RDC l’en emporté sur le Lesotho  15 à 5 soit 3 essais contre un  seul à leurs homologues.

Avant d’accéder en finale, la RDC avait battu difficilement l’équipe du Burundi 10 à 7 alors qu’à la phase de groupe, elle avait renvoyé aux études le même Burundi 29 à 5. Dans l’autre ½ finale, le Lesotho a pris le dessus face à Congo/Brazza 17 à 5 dont 3 essais plus une transformation pour le Lesotho contre 1 seul  essai pour les congolais.

Ci-après le bilan complet de la compétition

Samedi 29/09/2018: RDC-Congo : 10 à 0, Lesotho-RDC :  5-33 et RDC-Burundi : 29-5

A l’issue de cette étape, le classement se présente de la manière suivante : 1er RDC 9 pts, 2. Congo/Brazza 6 pts, 3. Lesotho 3 pts et 4. Burundi 0 pts

Dimanche 30/09/2018 : ½ finale 1 : 1er RDC contre le 4è Burundi : 10-7 et ½ finale 2 : 2è Lesotho contre 3è Burundi : 17-5

Finale : RDC-Lesotho :  15-5

Rappelons que le déplacement du team RDC au Burundi n’a été rendu possible que grâce aux efforts de la Fédération Congolaise de Rugby et de son président Herman Mbonyo. Le moins que l’on puisse dire est que les Léopards ont atteint l’objectif poursuivi, récupérer le titre perdu il y a deux ans sur tapis vert. La population ne peut être que fière de ses ambassadeurs. Cette réussite doit interpeller les autorités du pays.

Antoine Bolia

par -
0 2

Le retard causé pour le démarrage du championnat par équipe à l’Entente Urbaine de Judo de Kinshasa Ouest’’Eujukino4’’ et son entité sœur l’Eujk-Est, par le gestionnaire du stade du Stade des Martyrs qui exigerait la somme de 100 $ à l’Eujukino à ces entités, ne cesse de révolter les bonnes consciences amoureuses de cette discipline.

C’est le jeudi 27 septembre 2018 au Stade des Martyrs à 15H30 que l’Eujukino avait fixé le démarrage de son championnat. Bien que tout soit prêt au niveau de l’entente, le démarrage est retardé par la simple volonté du gestionnaire précité. Rappelons une fois de plus que la logique voudrait que le stade se contente du pourcentage que lui revient dans les recettes. La clé de répartition est explicite là-dessus. Agir autrement, c’est vouloir freiner le développement du judo. L’avenir reste en contact avec Me Roger Esanga Bofeyi, Secrétaire exécutif de l’Eujukino4 qui ne manquera pas de tenir informer L’Avenir de l’évolution de ce dossier.

Antoine Bolia

par -
0 22

Le chef d’état-major général des FARDC, le lieutenant-général Célestin Mbala, a visité, le dimanche 30 septembre 2018, les positions de l’armée situées dans le “triangle de la mort”, qui comprend les localités d’Eringeti, Kamango et Mbau, dans le territoire de Beni (Nord-Kivu).

Le chef de l’armée était accompagné de plusieurs officiers généraux dont le lieutenant-général Gabriel Amisi Kumba, chargé des renseignements et opérations, ainsi que le général Marcel Mbangu, commandant de l’opération Sokola 1.

Selon le capitaine Mak Hazukay, porte-parole militaire à Beni, cette visite des unités déployées dans “le triangle de la mort” vise à “requinquer le moral des militaires”, qui combattent depuis plusieurs jours les rebelles ougandais des Forces démocratiques alliées (ADF).

C’est la première visite du chef d’état-major général des FARDC dans le “triangle de la mort” depuis sa nomination par le chef de l’État.

Le maire de beni et le gouverneur du Nord-Kivu, Julien Paluku ont affirmé que les rebelles ADF ont quitté le “triangle de la mort” pour se rapprocher de la ville de Beni.

Avec Actualite.cd

Emmanuel RAMAZANI SHADARY saluant les mebres du comité d'accueil lors de son retour à Kinshasa après un séjour à l'étranger. Ph.Dr.Tiers

Il a été absent de Kinshasa pendant près d’une semaine. Emmanuel Ramazani Shadary a regagné la capitale congolaise ce lundi 01 octobre en provenance d’Afrique du Sud. Le ticket du Front  commun  pour le Congo  à l’élection présidentielle du 23 décembre a été chaleureusement accueilli à l’aéroport international de Ndjili par plusieurs militants de partis membres de la plateforme dont Joseph Kabila est autorité morale.

Peu avant de se rendre au pays de Nelson Mandela, ERS avait été fêté par plusieurs communautés linguistiques du pays qui ont salué le choix de sa désignation comme successeur du Président Kabila et promis de le porter à la magistrature suprême. Hier dimanche, son équipe de communication a démenti formellement deux communiqués de condoléances à la population de Beni, attribués à l’ancien patron de la territoriale.

” L’opinion tant nationale qu’internationale a lu avec stupéfaction dans les réseaux sociaux en date du 26 et 27 septembre, deux messages de condoléances adressés à la population de Beni quasi contradictoire dans le fond et dans la forme et faussement attribués à l’honorable Shadary”, lit -on dans ce communiqué de presse qui précise que quatre individus présumés auteurs de ces faux ont été appréhendés.

Secrétaire permanent du parti présidentiel, M.Shadary, 58 ans, a été désigné le 08 aout dernier, dauphin du président Kabila et candidat du FCC à la très attendue élection présidentielle couplée aux législatives nationales et provinciales.

Jean Pierre KAYEMBE

Le meeting tant attendu de l’opposition a tourné court. Il s’est soldé sur un constat d’échec au regard de la faible mobilisation des sympathisants et de la promesse de dévoiler le candidat unique de l’opposition à la présidentielle. Est-ce la preuve d’un essoufflement de la lutte ? Ce qui est sûr, c’est que la population n’a pas répondu à l’appel du mensonge et des discours illusionnistes. Elle a préféré vaquer à ses occupations habituelles du week-end. C’est donc une défaite cuisante, un fiasco retentissant pour ces valets des puissances néocoloniales  après une propagande inefficace contre le processus électoral, vilipendant maladroitement le pouvoir en place. Ils s’attendaient à une véritable marée humaine. Au contraire, le samedi 29 septembre, le lieu du meeting était quasi-désert pour ce collectif d’opposants qui se prenait pour le feu Etienne Tshisekedi. Ils pensaient drainer  la moitié de la population kinoise à leur cause ; seuls une centaine de kulunas et un groupuscule de motocyclistes, communément appelés « Wewa » ont répondu à l’appel.

Comme prévu, la branche de l’opposition politique soumise à l’impérialisme a tenu son meeting le samedi 29 septembre. La rencontre a eu lieu sur le terrain faisant face à l’avenue de l’enseignement sur laquelle se sont installés depuis un certain temps les sièges des différents partis politiques.

Cette fois, il n’y a eu aucune tentative conséquente de débordement ni de casse. Il faut croire que les leaders de l’opposition ont enfin compris que les tentatives d’insurrection à la faveur des meetings autorisés sont vouées à l’échec. La timide tentative de Jean-Bertrand Ewanga de conduire une bande vers la CENI a rencontré une indifférence totale dans le public.

Ce rendez-vous était annoncé avec fracas comme un moment fort de la croisade de l’opposition vers la conquête du pouvoir. Dans cette course, le 29 septembre 2018 devait représenter le moment de la concrétisation de l’unité des leaders de l’opposition, tant vantée mais jamais réalisée. Cette unité devait, nous disait-on, conduire à la fin du régime politique né le 17 mai 1997 par l’entrée de M’zee Laurent Désiré Kabila  à Kinshasa.

Le public et la classe politique attendaient donc de connaître le nom de celui qui ferait face, pour le compte de l’opposition, au candidat du FCC, le PPRD Emmanuel Ramazani Shadary.

Le meeting annoncé pour 10h00 n’a pu démarrer qu’après 15h00. Comment ce retard s’explique-t-il ? Il fallait d’abord résoudre la plus élémentaire question de protocole.  Quel devait être l’ordre d’arriver des leaders/rivaux ? À trois mois des élections du 23 décembre 2018, les auto-proclamés « leaders intelligents » en sont encore à se disputer sur des questions de préséance. Dans ce milieu, intelligence ne rime point avec sagesse, semble-t-il ? Suivant la mode des chanteurs musiciens kinois, chacun voulant jouer à la vedette la plus désirée, tenait à être le dernier à entrer en scène, question de se voir applaudir par le public et bien évidemment les rivaux. Le meeting avait donc, dans le secret espoir des uns et des autres, une fonction de plébiscite, chacun espérant sortir de la rencontre avec le titre de candidat commun de l’opposition. Sans répondre à  l’équation du choix définitif, la question entraina un retard de 2 heures et demie sur l’horaire annoncé.

Lorsque notre monde se mit enfin d’accord, Martin Fayulu accepta le sacrifice de monter le 1er sur l’estrade dressé pour l’occasion, suivi de Adolphe Muzito et Pierre Lumbi.

Alors que dans les réseaux sociaux, les propagandistes de service annonçaient, sans sourire, 1 million de participants sur une place mesurant moins de 6 hectares, les observateurs ont constaté que l’esplanade était désespérément vide aux ¾. À moins que l’on me fasse la démonstration contraire, je soutiens que, en ce samedi 29 septembre, cette esplanade était occupée, tout au plus, par 6 à 7.000 personnes. Il est vrai que cette assistance soulevait un bruit infernal fait des chansons et d’insultes de toutes natures.

Félix Tshisekedi, leader de l’UDPS aux multiples diplômes contestés, arrivera le dernier, alors que le controversé Kamerhe entendait encore l’assistance lui reprocher ses trahisons du passé et exiger de l’homme de l’UNC un engagement plus sincère. Fayulu, usant des expressions extrémistes dont il est coutumier, s’exprima dans l’indifférence et un certain mépris des leaders et des militants des autres partis présentés comme alliés.

Que retenir sur le fond des discours ? Absolument rien de neuf. La plongée dans l’hypocrisie demeure la ligne stratégique de base de ce groupe foncièrement soumis à l’ancienne colonie. Une fois de plus, les présents comme les absents ont affirmé haut et fort leur détermination à aller aux élections ainsi que leur adhésion au calendrier électoral de la CENI. Sauf que, immédiatement après cet engagement démocratique, ces compatriotes, qui manifestement demeurent dans l’ambiguïté, ont assorti cette acceptation des élections des conditions qui anéantissent toute avancée démocratique.

Le but annoncé de la manifestation était de proclamer l’unité de l’opposition. Malgré les masques et les sourires sur l’estrade, les slogans et les chansons dans le public, personne n’a été dupe. Les gens que s’acharne à organiser le Belge Didier Reynders et que finance Moise Katumbi depuis Bruxelles, demeurent profondément divisés.

Vital Kamerhe s’estime le mieux préparé à la fonction puisque se jugeant plus intelligent, mieux formé et plus expérimenté. Félix Tshisekedi, lui, ne cesse de mettre en avant sa prétendue emprise sur les foules de Kinshasa. Dans le même temps, l’outsider Martin Fayulu n’accepte pas les prétentions de ces deux précédents.

Depuis Bruxelles, nous apprenons que Jean-Pierre Bemba, qui refuse de jeter définitivement l’éponge, tolère difficilement à la fois l’idée de voir le « Grand Congo » dirigé pour la troisième fois par un homme originaire de l’Est, donc Vital Kamerhe ou alors par une personnalité à la culture douteuse, laissant ainsi penser à Félix Tshisekedi. Des sources crédibles annoncent la fin des subventions accordées généreusement, jusqu’ici, par Moïse Katumbi.

À analyser les choses d’un peu plus près, l’idée de l’unité de l’opposition, très populaire dans les rangs des militants, s’avère difficile à concrétiser au niveau des leaders que rien de solide sur le plan programmatique, philosophique ou idéologique ne réunit. La seule haine de Kabila ne constitue pas un ciment suffisamment fort.

Voilà ce qui explique pourquoi l’opposition a été incapable de tenir sa promesse d’annoncer à la Nation, ce 29 septembre, l’identité de la personne qui va porter ses couleurs à la présidentielle du 23 décembre 2018.

KM/NM/CP