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Alors qu’ il fait partie de la délégation officielle qui accompagne Joseph Kabila à New-York pour la traditionnelle assemblée générale de l’ ONU dont les travaux s’ ouvrent le mardi prochain, Barnabé Kikaya, conseiller diplomatique du chef de l’État congolais s’ est vu confier  une autre mission, convaincre Washington  à renoncer aux résolutions des sanctions ciblées en chantier à la chambre des représentants  contre certains dirigeants congolais.

Les militants du Rassemblement des forces politiques et sociales acquises au changement  seront bel et bien dans les rues de Kinshasa, le  lundi, 19 septembre 2016. Mais contrairement au plan initial, les manifestants en  ne se rendront plus en masse au siège de la Ceni pour y observer un sit-in.

Lors d’ une réunion tenue ce samedi au siège du parti Fonus, Rassemblement et gouverneur de la ville se sont plutôt accordés sur l’ organisation d’ une marche pacifique qui sera sanctionnée par un meeting. D’après l’ accord trouvé entre les organisateurs et l’ hôtel de ville,  la marche devra partir de l’ échangeur de limeté à la 17émè rue pour chuter sur le boulevard triomphal.

Satisfecit pour André Kimbuta qui salue sa politique de proximité. « J’avais promis le jeudi de venir vers les opposants pour la mise au point. Il faut aller vers les administrés. Ils sont tous administrés », déclare le gouverneur de la ville qui se réjouit du consensus qui s’ est dégagé entre les deux parties.

« C’est seulement aujourd’hui que je confirme que je vais prendre acte de la marche du Rassemblement. Nous nous sommes mis d’accord que la marche partira de la place de l’ Echangeur jusqu’au Boulevard Triomphal », explique t-il.

Le compromis trouvé prévoit que les manifestants rempruntent les avenues de la Libération, Kalembelembe et Kasavubu avant de déboucher sur le point de chute. Seule, une petite délégation du rassemblement a été autorisée à se rendre au siège de la Ceni  après la manifestation pour y déposer le mémorandum.

André Kimbuta qui tient à l’ itinéraire convenu place ainsi les organisateurs devant leurs responsabilités. « Il n’ y aura pas de sit-in», insiste le gouv. Le plus important renchérit-il, c’ est « la marche et le meeting qui seront organisés ».

Jean Pierre Kayembe

 

 

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Le gouvernement a adopté une série de mesures à mettre en œuvre pour améliorer le niveau de collecte des recettes publiques et lutter contre la fraude douanière et fiscale, au cours du conseil des ministres tenue vendredi dernier à l’Hôtel du gouvernement sous la présidence du Chef de l’Etat, Joseph Kabila Kabange.

La réunion a décidé de supprimer toutes les taxes et tous les frais administratifs illégaux aux frontières, d’observer strictement le décret limitant à 4 le nombre des services publics aux frontières ainsi que les heures d’ouverture et de fermeture des postes frontaliers, et de supprimer les barrières irrégulières, a indiqué le ministre de la Communication et des Médias, Lambert Mende Omalanga, dans son compte rendu de la réunion.

D’autres mesures telles que l’imposition d’un taux unique des taxes à répartition entre différentes structures prestataires des services, l’ouverture d’un numéro téléphonique vert d’alerte sur les tentatives de corruption et de violation des mesures, l’affichage obligatoire des frais de douane et des taxes légales et réglementaires aux frontières, ainsi que l’inclusion de tous les services étatiques concernés dans le Guichet unique, a-t-il précisé.

Un encadrement des dépenses

Le ministre a ajouté que dans le cadre de la lutte contre la dépréciation monétaire, le conseil a décidé un encadrement rigoureux des dépenses publiques et d’appuyer l’encadrement du processus de rapatriement des 40% des recettes d’exportation et leur injection réelle dans l’économie nationale, ainsi que l’encadrement efficace des cambistes par leur regroupement au sein d’associations ou de coopératives d’intérêt économique.

Pour éradiquer la fraude et la contrebande, a dit le porte-parole, le gouvernement a décidé d’ériger systématiquement des plates-formes logistiques dans tous les postes frontières, d’informatiser et interconnecter l’ensemble des services, d’encourager le secteur bancaire à étendre le réseau financier et bancaire aux postes frontaliers, et de conclure rapidement des accords bilatéraux et régionaux d’actualisation de la nature et du contenu du commerce transfrontalier, notamment avec l’Angola, sur l’importation du carburant.

Des crédits seront également octroyés aux structures publiques de production agricole comme le DAIPN et Bukanga-Lonzo, ainsi qu’aux structures agro-pastorales privées développant des projets rentables, a-t-il indiqué.

Comme on peut bien s’en rendre compte, ces mesures interviennent après qu’une mission gouvernementale se soit rendue dans la ville de Moanda dans la province du Kongo Central, le lundi 25 juillet 2017, dans le cadre de la lutte contre la fraude et la contrebande. Il s’agit du Directeur de cabinet du chef de l’État, les ministres de l’Economie, Finances, Budget, Commerce extérieur, Portefeuilles, Développement rural, Hydrocarbure, le ministre délégué auprès du Premier ministre, le gouverneur de la BCC, différents services opérant dans les frontières ( SCPT, OCC, OGEFREM, etc.), et de nombreux experts. Au cours de cette mission, il a été question de plusieurs séances de travail dans le cadre de l’application de 28 mesures urgentes prises par le gouvernement, dont la lutte contre la fraude multiforme au passage des frontières qui prive le pays des ressources indispensables pour son développement socio-économique.

(Jean-Marie Nkambua)

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A l’Union pour le développement du Congo (UDCO), parti politique membre de la Majorité Présidentielle, nous apprenons que les sept anciens membres déchus de leurs fonctions au sein dudit parti, à travers des simulacres des réunions de réconciliation et en particulier celle annoncée dans les médias pour le samedi 12 août dernier, agissant sans titre ni qualité en violation des lois de la République et des statuts du parti, tentent vainement de semer la confusion au sein de l’opinion nationale en usurpant le label DUCO en dehors des structures du parti légalement établies. Et ce, parce qu’ils ont été mis au parfum de la restructuration du parti tant à Kinshasa que dans les provinces, sans oublier la convocation imminente d’un congrès à Lubumbashi.

Raison pour laquelle, dans un communiqué signé par M. Christophe Kubiha Mushizi, Vice-président national, le Comité directeur de l’UDCO demande à tous les militants du parti, dans toutes les fédérations de la République, de rester vigilants et mobilisés derrière le président national Jean-Claude Masangu Mulongo et sous le leadership de l’Autorité morale de la Majorité Présidentielle, Joseph Kabila Kabange, en attendant la tenue à Lubumbashi, siège national du parti, du Congrès extraordinaire qui sera convoqué endéans les 30 jours.

Toutefois, pour vider définitivement les conflits internes au sein de l’UDCO, le Comité directeur convie les 7 cadres dissidents à répondre à l’invitation qui leur sera adressée dès la semaine prochaine par la commission d’arbitrage constituée en vertu de l’article 21 des statuts de l’UDCO qui stipule : « en cas de conflit interne, une commission d’arbitrage composée des membres neutres, notamment ceux appartenant à d’autres fédérations, sera constituée pour rétablir les responsabilités en vue de la réconciliation parfaite et durable ».

Des militants opposés

Ayant pris connaissance de cette tentative infructueuse des dissidents à travers les réseaux sociaux, nombreux sont les cadres et militants qui se sont opposés à cette réconciliation. Pour l’honorable Vicky Katumwa, l’UDCO n’a plus de président a i, parce qu’il existe l’acte de Lubumbashi désignant le président Jean-Claude Masangu à la tête du parti. Cette liste (publiée dans les réseaux sociaux) comporte du faux parmi ses signataires, car l’honorable Mudumbi n’est plus président ai depuis l’acte de Lubumbashi. Pour elle, quand les prémisses sont fausses, la conclusion ne peut que l’être aussi.

Un autre militant qui a requis l’anonymat s’exprime en ces termes : « Nous sommes un parti politique membre de la Majorité Présidentielle et nous disons non à tout le détracteur qui cherche par tous les moyens à déstabiliser l’UDCO, parti cher à Jean-Claude Masangu Mulongo, notre Président National », dit-il. Et ce, pendant qu’un autre cadre reste ferme : « Nous ne sommes pas d’accord avec une quelconque réconciliation avec des gens qui ont injustement injurié les gens et ont fait des déclarations sur tous les médias en défaveur de l’UDCO, héritage d’un homme d’État feu Baudouin Banza Mukalay », martèle-t-il, avant d’ajouter que sur ce, ils n’ont qu’ à passer sur tous les médias demander pardon à tous les militants et militantes de l’UDCO pour des injures injustes proférées à la personne de son chef de fil, Jean-Claude Masangu Mulongo.

Et d’insister sur le fait qu’ils doivent demander juste le pardon et reconnaître que l’UDCO à un président national, en la Personne de Jean-Claude Masangu Mulongo. Et une restructuration du Parti s’avère très importante pour bien définir les objectifs. Le Congrès de Lubumbashi a conféré à Jean-Claude Masangu Mulongo le Poste de Président National et Autorité Morale de l’UDCO. Donc il n’y a pas d’intérimaires dans notre parti. Tout droit vers le Congrès. Non à la table de négociations et oui à la reconnaissance du mal pour le pardon.

Un autre militant évoque même les saintes écritures. A l’en croire, la sagesse déclare que: « Celui qui a déjà tué, le peut encore parce qu’il n’oublie pas la formule pour tuer ». Voilà pourquoi une lettre de réintégration et une nouvelle fiche d’adhésion leur conviendraient le mieux après études et analyse de leurs dossiers.

(JMNK)

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Selon le sondage Echos d’Opinion qui a consulté les Congolais, pour savoir quels sont les ministres qui ont été performants pendant les 30 jours de leur mandat, certains ministres du Gouvernement Tshibala se sont distingués. Il s’agit de Léonard She Okitundu des Affaires étrangères, Michel Bongongo de la Fonction Publique, Pierre Kangudia du Budget, Oly Ilunga de la Santé publique, Emmanuel Ilunga des Congolais de l’Etranger, Gaston Musemena de l’EPSP, Franck Mwedi Malila du Tourisme, Steve Mbikayi de l’ESU, Lambert Mende de la Communication et Médias, et Papy Niango des Sports et Loisirs, ont été les ministres les plus performants pendant les 30 premiers jours de leur mandat intervenu dans un climat de haute tension politique dans notre pays.

Pour le Sondage Echos d’Opinion, les résultats obtenus par ces ministres en si courte période, sont plus que positifs. C’est la preuve que si un temps plus long leur est accordé, ils sont capables de faire mieux en marge du programme du gouvernement découlant de la vision de la révolution de la modernité prônée par le chef de l’Etat Joseph Kabila.

Ainsi, au niveau du Gouvernement central, Michel Bongongo de la Fonction Publique se classe premier, avec 97,3%. Il a le mérite d’avoir bien exécuté le Programme du gouvernement en étroite collaboration avec la Banque mondiale portant sur la réforme et le rajeunissement du personnel de l’Administration publique. C’est dans le cadre dudit programme que plus de 900 agents et fonctionnaires de l’État, des Secrétaires généraux et des huissiers surtout, ont été mis à la retraite. Les retraités se sont montrés satisfaits d’autant que leurs droits ont été respectés grâce à l’appui technique et financier de la Banque mondiale. Bien plus, la retraite ne les condamne pas au chômage. Les anciens hauts cadres de l’Administration publique vont dans les plus brefs délais commencer à encadrer les jeunes recrues de l’Administration publique.

Oly Ilunga de la Santé Publique, se classe en 2ème position, avec 82%. Celui-ci a déclaré le samedi 1 juillet la fin de l’épidémie de la fièvre hémorragique à virus Ebola qui a affecté la zone de santé de Likati (Bas-Uele) depuis mai 201. D’après lui, depuis le 2 juin 2017, aucun autre nouveau cas confirmé de fièvre hémorragique à virus Ebola n’a été enregistré dans la province du Bas-Uélé. Et une période de 42 jours sans aucun nouveau cas a été observée avant la déclaration de la fin de cette épidémie, a expliqué le ministre de la santé.

Malgré la chute, Pierre Kangudia se maintient

En 3ème position, Pierre Kangudia, ministre d’Etat du Budget (80,1%). Après qu’il ait réussi au niveau du Parlement en étroite collaboration avec le Premier ministre à faire adopter le projet de loi de finances pour l’exercice 2017, il prend, une fois de plus place dans les rangs ministres du gouvernement Bruno Tshibala avec une côte de 80,1%. Léonard She Okitundu, 80%. Nul n’a pu contester les résultats de la diplomatie agressive menée ces derniers jours par lui. En effet, pour faire entendre la voix de la RDC sur la scène internationale en rapport avec la crise du moment, cet homme politique s’est déployé sur tous les plans.

Emmanuel Ilunga, ministre des Congolais de l’Etranger obtient 65%. L’opinion a retenu la promptitude avec laquelle ce jeune ministre a réussi à résoudre les problèmes qui se posent au sein de la Diaspora. Les Congolais retiennent entre autres, des avancées significatives dans la lutte contre le chômage et particulièrement celui des jeunes, la relance du partenariat avec la Banque africaine de développement (BAD). Cette institution finance actuellement à hauteur de plusieurs millions de dollars, le Programme-Emploi-Diplôme -PED- qu’il a mis en place en faveur de l’emploi des jeunes.

Suit Lumeya-Dhu-Maleghi, ministre des Affaires foncières avec 65%. Dès sa prise de fonction, ce ministre qui a passé deux mandats à l’Assemblée nationale, a pris les choses au sérieux. Il aposé des actes qui ont débouché l’apposition des scellés à bulles ou toute autre technologie fiable sur chaque titre, la production de la carte électronique sécurisée du titulaire de la propriété, la mise en place d’une base de données du cadastre foncier numérisé dans un serveur central par l’archivage numérique.

Gaston Musemena, ministre de l’Enseignement primaire, secondaire et professionnel, avec 62% s’est distingué par l’organisation réussie des examens d’Etat sur l’ensemble du territoire national, et surtout la possibilité qui a été donnée à toutes les sociétés de téléphonie cellulaire installées sur le territoire congolais de publier les résultats. Franck Mwedi Malila, ministre en charge du Tourisme, 60%. Il a affiché les ambitions de la RDC en cette matière. A ce propos, il a fait savoir la détermination du gouvernement dirigé par le Premier ministre Bruno Tshibala de refaire de la Rdc, la première destination touristique en Afrique Centrale.

Pour sa part, Lambert Mende Omalanga, ministre en charge de la Communication et Médias, 52%. Ses prestations ne laissent plus personne indifférente. Chaque fois que l’occasion se présente, celui qu’un brillant artiste-musicien aujourd’hui disparu avait présenté comme l’homme au verbe facile, a toujours les mots qu’il faut pour défendre la cause du pays. Terminons avec Papy Niango, ministre des Sports et Loisirs, 51%. Il a mené d’intenses activités pour se faire une idée précise de l’ensemble des disciplines sportives congolaises. En véritable sportif, il a procédé au lancement de la course cycliste du grand prix à l’occasion de la journée de l’Afrique. Par la suite, il a donné le coup d’envoi du tournoi de football de l’Unité nationale.

(JMNK)

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L’humanité a célébré le 31 juillet dernier, la journée internationale de la femme africaine. Pour cette édition 2017, le thème choisi est : « transmission…je transmets ce que j’ai reçu ». En République Démocratique du Congo, la ministre du Genre, Enfant et Famille, Chantal Safou Lopusa, avait lancé en cette date historique, la quinzaine de la femme africaine. C’était lors de la cérémonie officielle organisée à Kinshasa dans la commune de Kisenso, en présence de la vice-ministre du budget, de l’ambassadeur de l’Union africaine en RDC, et de plusieurs autres organisations féminines. Une grande activité organisée avec le concours des partenaires techniques et financiers du ministère du Genre, Enfant et Famille en l’occurrence « Actionaid ». La ministre du Genre, Enfant et Famille arendu hommage au Chef de l’Etat pour l’attention qu’il ne cesse d’accorder à toutes les questions liées aux droits des femmes de la République Démocratique du Congo.

Pour sa part, la ministre Chantal Safou Lopusa qui avait lancé la quinzaine de la femme africaine lors de cette célébration officielle, a entrepris plusieurs activités, en vue de rendre un hommage mérité à la femme noire. D’abord à Kisenso, lieu de ladite célébration officielle, la patronne du Genre a expliqué le choix de cette commune classée parmi celles dites « urbano-rurales ». Pour elle, il fallait décentraliser les célébrations qui concernent la femme, c’est-à-dire quitter la commune de la Gombe pour la périphérie. Ceci pour la simple raison que la majorité de femmes vivent dans les zones rurales et pratiquent les activités agricoles, bien que disposant de plusieurs autres potentialités que beaucoup ignorent. C’est dans ce cadre que dans son adresse aux femmes de ce coin de la capitale de la RDC, Chantal Safou Lopusa a affirmé que Kisenso a de la valeur, et il faut tout faire pour relever le défi, et développer cette commune. A cela s’ajoute la lutte contre les violences faites aux femmes de cette municipalité qui pratiquent l’agriculture loin de la contrée, mais aussi confrontées à plusieurs difficultés dont le manque d’eau et l’électricité, ainsi que des intrants agricoles pour mieux exercer leur métier.

« Nous sommes venus rencontrer celles à qui nous rendons hommage tous les jours dans nos discours, puisqu’elles sont très actives dans toutes les initiatives qui concernent leur propre promotion », a déclaré Mme la ministre devant la presse.

Chantal Safou honore les femmes veuves

Après Kisenso, la ministre du Genre, Enfant et Famille avait rencontré les femmes veuves, dans la commune de Kasa-vubu. Elles sont regroupées au sein de l’Ong « Action Chrétienne d’Assistance » (ACAS), que dirige Mme Marie-Esther Tshoba. Dans sa prise de parole devant une centaine de femmes veuves venues prendre part à cette grande manifestation qui honore la femme d’Afrique, Chantal Safou Lopusa s’est dite très heureuse de célébrer cette journée à la base, loin de son bureau de la Gombe. Sur ce, elle a appelé les femmes à se lever malgré les nombreuses difficultés qu’elles rencontrent. Dans ce même cadre, un hommage digne a été rendu au Chef de l’Etat, Joseph Kabila Kabange pour le nouveau code de la famille révisé qui protège la femme veuve. Car jadis, celle-ci n’avait rien à dire après la mort de son époux. Et avec ce nouveau code, plusieurs de ses droits lui sont garantis par le législateur.

Ensuite, vendredi 4 août, la ministre du Genre, Enfant et Famille, Chantal Safou Lopusa a lancé les travaux de la Conférence sur la femme africaine organisée à Kinshasa par l’Asbl « Mwasi ya Congo ». Ici, la patronne du Genre a promis, devant les femmes de différentes organisations féminines de la RDC, la création d’un comité d’organisation devant promouvoir cette journée comme celle du 8 mars qui célèbre la femme du monde entier. C’est pour cela qu’un hommage a été rendu aussi à Mme Sophie Kanza, de triste mémoire, qui a incité les femmes congolaises à reconnaître ses propres droits et à se battre pour obtenir son autonomisation.

Promouvoir l’autonomisation politique et économique de la femme paysanne

Toujours dans la cadre de la quinzaine de la femme africaine, la ministre du Genre, Mme Chantal Safou Lopusa a conduit une grande délégation de son ministère et certaines organisations féminines dans la commune urbano-rurale de Maluku, précisément dans la cité de Menkao. Ici, la ministre Chantal Safou Lopusa, en femme de terrain, a lancé officiellement le projet de contribution à l’autonomisation économique et politique des femmes paysannes dans les provinces de l’Equateur, du Kongo Central et Kinshasa. Cette grande activité a été organisée avec l’Ong Conafed (Comité national Femme et Développement), avec le concours de quelques partenaires techniques et financiers, notamment Diakonia et Asdi/Suède. La ministre s’est dite convaincue de ce que l’agriculture paysanne peut apporter à la femme africaine, précisément celle de Menkao et de toute la RD Congo. Dans ce cadre, elle a remis un lot d’intrants agricoles, des Kits scolaires et brevets à toutes les femmes qui ont pris part à la formation en technique agricole organisée par Conafed, puisque ce projet offre un espace d’un hectare à chaque famille paysanne (au total 300) présentes à ces assises.

Pour clore, le ministère du Genre, Enfant et Famille que dirige Mme Chantal Safou Lopusa, n’a pas oublié les femmes autochtones de la RDC. Sur ce, il a été organisé en la salle polyvalente du secrétariat général du ministère, une grande activité portant sur la sensibilisation des femmes et filles autochtones à l’enrôlement et identification des électeurs. Ceci parce que la ministre Chantal Safou veut voir qu’une femme pygmée soit élue dans les institutions de prises de décisions de la RDC. Cette activité a connu la présence de la secrétaire exécutive provinciale de la Ceni/Kinshasa, Mme Anne-Marie Mukwayanzo, qui a été très attentive aux difficultés que rencontrent les femmes et filles autochtones de la FECOFFA (Fédération des femmes et filles autochtones pygmées de la RDC) pour se procurer la carte d’électeur. Elle a promis de faire part de tous ces problèmes à la hiérarchie de la Commission électorale nationale indépendante pour que des solutions soient trouvées avant la fin de cette opération dans tous les coins de la République. Car ce regroupement de pygmées est présent dans neuf provinces de la RDC. C’est ainsi qu’on peut dire que la quinzaine de la femme africaine s’est achevée avec faste en République démocratique du Congo.

(Bernetel Makambo)

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Ce stade omnisport de la ville de Kikwit, a été conféré depuis trois semaines déjà, du statut de stade national. Voilà pourquoi, les leaders de la province du Kwilu réunissent leurs efforts en vue de la modernisation de leur stade. Les travaux de rénovation et de modernisation ont été lancés le mercredi dernier par Aubin Minaku, le président de l’Assemblée nationale, en présence des ministres nationale de Sport, Papy Niango, et des Affaires coutumières, Guy Mikulu.  

Pendant toute une semaine pleine, soit du jeudi 03 au jeudi 10 août, l’honorable président de l’Assemblée nationale a séjourné dans le territoire d’Idiofa, sa terre natale et son fief électoral. Tout au long de son séjour, Aubin Minaku Ndjalandjoko s’est d’abord enrôlé, avant de sensibiliser tous les fils et filles d’Idiofa à l’enrôlement massif et à les mobiliser sur l’effectivité de l’organisation des élections provinciales, législatives et présidentielle.

L’occasion faisant le larron, il a profité de son passage dans sa province d’origine pour mener d’autres actions sociales. Et parmi lesquelles, il a procédé au lancement officiel des travaux de réhabilitation, rénovation et modernisation du stade omnisport de Kazamba à Kikwit, la deuxième ville de la province du Kwilu située à plus de 520 kilomètres à l’Est de la ville-province de Kinshasa sur la Route nationale n°1.

Cette cérémonie a eu lieu le mercredi 09 août 2017 à l’esplanade du stade. C’était en présence du ministre national de Sport, M. Papy Niango, et de son collègue des Affaires coutumières, M. Guy Mikulu, du ministre provincial de l’Enseignement et du Maire de la ville de Kikwit, M. Léonard Mutanga, ainsi que plusieurs autres autorités locales et nationales.

Il y a eu deux temps forts. D’abord différentes allocutions et la cérémonie proprement dit de lancement des travaux. Dans son mot de bienvenu, le n°1 de la ville de Kikwit a rappelé à ses hôtes que la relance des travaux de réhabilitation du stade de Kazamba est une initiative du Président de la République Joseph Kabila Kabange. « La concrétisation de ces travaux était l’un des besoins majeurs de la population de Kikwit, surtout les jeunes », a dit M. Mutanga, qui à l’occasion, a également exprimé sa gratitude au président de l’Assemblée nationale et au ministre de sport pour leur présence.

L’équipe nationale inaugurera le stade de Kazamba

Prenant la parole à son tour, le ministre Papy Niango a de prime abord fait savoir à l’assistance qu’il y a trois semaines, il avait, par Arrêté ministériel, conféré le statut d’un stade national à ce stade omnisport de Kazamba. Il dit s’atteler à concrétiser la volonté du Président de la République d’offrir un stade moderne à la population de Kikwit. Le ministre a par la même occasion annoncé que des travaux préalables vont d’abord commencer. Lesquels vont ainsi consister à faire l’essentiel, c’est-à-dire, la modernisation de l’aire de jeu.

Tel un expert, Papy Niango s’est exercé à expliquer en langue locale, les différentes étapes du premier volet des travaux qui seront exécutés dans le cadre de la réhabilitation de ce stade de Kikwit. « Le stade sera à même d’accueillir toutes sortes de rencontres ; locales, nationales et voire internationales », a affirmé le ministre de Sport. Quant à la deuxième phase des travaux de rénovation du stade de Kikwit, le ministre a promis qu’il y aura des grosses œuvres. Notamment, la construction de la tribune de 22 gradins et du vestiaire. « Ça ne sera pas qu’une promesse », a-t-il rassuré.

Il a fait savoir que l’aménagement du sol se fera pendant deux semaines par l’Office de route, tandis que les travaux d’assainissement et du gazon synthétique prendront trois semaines. « L’équipe nationale viendra inaugurer ce stade moderne », a promis le ministre de Sport Papy Niango qui tient à relever ce défi. « Cela permettra aux jeunes aux jeunes d’être occuper… D’ici dix jours, les travaux effectifs doivent débuter », a-t-il poursuivi.

Déjà prêt dans quatre mois

Avant de passer au lancement officiel des travaux de rénovation du stade, le président de l’Assemblée nationale Aubin Minaku est revenu dans son discours sur le nouveau statut (stade national) qui vient d’être déféré au stade de Kazamba sur Arrêté signé par le ministre de Sport Papy Niango, un fils du terroir (province du Kwilu). Aubin Minaku a rappelé que ce stade est l’œuvre du Président de la République. Cependant, a-t-il souligné, la première étape de rénovation est l’œuvre des dignes fils du Kwilu, sur fonds des efforts propres.

Ainsi, le speaker de la Chambre basse du Parlement a appelé ses sœurs et frères du Kwilu à l’auto-prise en charge et à l’esprit de sacrifice. Le député réélu d’Idiofa a annoncé que dans quatre mois, la ville de Kikwit aura un stade minimal qui va accueillir tous les matchs. C’est après son discours que l’honorable Aubin Minaku est monté sur un Caterpillar pour un premier essaie en guise du lancement officiel des travaux de réhabilitation du stade omnisport de Kazamba.

(Depuis Kikwit/Lepetit Baende)

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Aubin Minaku faisant son discours avant l’inauguration de la banque/Ph. A.F. Labakh

L’inauguration de cette première banque commerciale d’Idiofa a eu lieu lundi dernier. Le président de l’Assemblée nationale qui en est le précurseur, a procédé à son inauguration officielle, étant le premier fils du terroir. Pour lui, cette banque est l’un des premiers maillons d’un véritable développement de ce deuxième territoire du pays.

 

La date du lundi 07 août 2017 sera à jamais gravée dans les annales de la nouvelle du Kwilu en général et du territoire d’Idiofa en particulier. Puisqu’elle marque l’inauguration de la toute première succursale bancaire dans la ville d’Idiofa.

Désormais, le territoire d’Idiofa s’est doté de sa banque commerciale. Ce, sous l’impulsion du président de l’Assemblée nationale, Aubin Minaku Ndjalandjoko, entant que digne fils, élite, député réélu et leader incontournable de ce territoire d’Idiofa.

Profitant du séjour de cette deuxième personnalité du pays dans son fief électoral où il est allé s’enrôler, puis sensibiliser ses sœurs et frères d’Idiofa à s’enrôler massivement en les mobilisant également sur les élections à venir, la cérémonie officielle d’inauguration de cette nouvelle banque a eu lieu lundi dernier. C’était en présence du ministre nationale des Affaires coutumières, M. Guy Mikulu, de passage dans la ville, du Directeur général d’Afriland First Banque CD, de l’inspecteur général de la territoriale et des autorités locales et provinciales.

Premier maillon d’un véritable développement d’Idiofa

Dans son discours solennel à cette occasion, le speaker de la Chambre basse du Parlement a appelé toute la population d’Idiofa, ses élites et ses dirigeants à soutenir cette initiative qui a permis l’installation de la première banque moderne dans leur ville. Cette banque est ainsi considérée comme l’un des premiers maillons d’un véritable développement de ce deuxième territoire de la République démocratique du Congo sur le plan démographique après Lubero dans le Nord-Kivu (selon les dernières statistiques).

Toutefois, a-t-il rappelé, il y a de cela plus d’une année que des tractations et négociations ont menées en vue de l’implantation d’une banque de développement à Idiofa. Et malgré les contraintes économiques, techniques et logistiques, il y a eu une touche particulière des experts qui a value à la mise en œuvre de cette succursale bancaire, a indiquéle président de l’Assemblée nationale qui en est son précurseur.

« Aujourd’hui Idiofa a sa banque. Nous allons mériter de cette banque. C’est-à-dire, nous allons respecter les différentes normes inhérentes d’une banque moderne », a déclaré Aubin Minaku dans son speech. Aussi, a-t-il rappelé à ses sœurs et frères natifs d’Idiofa, le bien-fondé d’une banque et ses avantages pour l’épanouissement individuel et communautaire.

Et pour inciter la population d’Idiofa à s’impliquer activement à ce projet bancaire sans avoir des doutes, le leader du Kwilu a initié et financé une tombola en faveur des 500 premiers clients qui y déposeront leurs comptes. Il y aura également dans cette banque des microcrédits.

L’insistance d’Aubin Minaku a enfin payé

Signalons qu’auparavant, le Directeur général d’Afriland First Bank CD a expliqué que le souhait était d’implanter une succursale bancaire dans une ville où existe déjà la Banque commerciale du Congo (BCC). Mais, grâce à une personne, de surcroît élite du terroir, soucieux du développement d’Idiofa, et soutenue par son statut de président de l’Assemblée nationale, le projet a été amené dans la ville d’Idiofa. Lequel a consisté à créer une banque de développement à Idiofa.

Et voilà, suite à l’insistance de l’honorable Aubin Minaku, ce guichet est ouvert en vue d’apporter le développement dans tout le territoire d’Idiofa. Ainsi, le Dg d’Afriland First Bank CD a-t-ilexprimé sa reconnaissance à tout celui qui adhère au projet.

Cette cérémonie d’inauguration de la toute première banque d’Idiofa s’est clôturée par une visite guidée des différents compartiments du bâtiment abritant cette succursale. Et directement après, la banque a ouvert ses portes.Et ce premier jour a connu grand un engouement ainsi que les jours suivants.

(Depuis Idiofa/Lepetit Baende)