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Alors qu’ il fait partie de la délégation officielle qui accompagne Joseph Kabila à New-York pour la traditionnelle assemblée générale de l’ ONU dont les travaux s’ ouvrent le mardi prochain, Barnabé Kikaya, conseiller diplomatique du chef de l’État congolais s’ est vu confier  une autre mission, convaincre Washington  à renoncer aux résolutions des sanctions ciblées en chantier à la chambre des représentants  contre certains dirigeants congolais.

Les militants du Rassemblement des forces politiques et sociales acquises au changement  seront bel et bien dans les rues de Kinshasa, le  lundi, 19 septembre 2016. Mais contrairement au plan initial, les manifestants en  ne se rendront plus en masse au siège de la Ceni pour y observer un sit-in.

Lors d’ une réunion tenue ce samedi au siège du parti Fonus, Rassemblement et gouverneur de la ville se sont plutôt accordés sur l’ organisation d’ une marche pacifique qui sera sanctionnée par un meeting. D’après l’ accord trouvé entre les organisateurs et l’ hôtel de ville,  la marche devra partir de l’ échangeur de limeté à la 17émè rue pour chuter sur le boulevard triomphal.

Satisfecit pour André Kimbuta qui salue sa politique de proximité. « J’avais promis le jeudi de venir vers les opposants pour la mise au point. Il faut aller vers les administrés. Ils sont tous administrés », déclare le gouverneur de la ville qui se réjouit du consensus qui s’ est dégagé entre les deux parties.

« C’est seulement aujourd’hui que je confirme que je vais prendre acte de la marche du Rassemblement. Nous nous sommes mis d’accord que la marche partira de la place de l’ Echangeur jusqu’au Boulevard Triomphal », explique t-il.

Le compromis trouvé prévoit que les manifestants rempruntent les avenues de la Libération, Kalembelembe et Kasavubu avant de déboucher sur le point de chute. Seule, une petite délégation du rassemblement a été autorisée à se rendre au siège de la Ceni  après la manifestation pour y déposer le mémorandum.

André Kimbuta qui tient à l’ itinéraire convenu place ainsi les organisateurs devant leurs responsabilités. « Il n’ y aura pas de sit-in», insiste le gouv. Le plus important renchérit-il, c’ est « la marche et le meeting qui seront organisés ».

Jean Pierre Kayembe

 

 

De la fumée blanche attendue de la réunion de la Suisse financée par la Fondation Kofi Annan, n’est sortie qu’une petite fumée rouge, ne donnant aucun espoir et décourageant tous ceux qui espéraient encore à une alternance politique en République démocratique du Congo grâce à l’opposition politique. En effet, contre toute attente, les opposants qui étaient réunis en Suisse ont jeté leur dévolu sur Martin Fayulu, du reste poids mouche, comparativement à tous les poids lourds qui étaient alignés jusque-là. Mais tous ceux qui sont au parfum de l’actualité politique du pays ne seront pas du tout étonnés, car ce choix n’est nullement celui des Congolais ; mais des Occidentaux et autres impérialistes qui estiment que Fayulu aurait un portrait capable de bien défendre leurs intérêts. Le cadre choisi et le parrainage sont très diseurs sur l’intention d’Alan Doss, ancien représentant du Secrétaire général de l’ONU en Rdc, et derrière lui, tous les étrangers qui opèrent contre les intérêts de la Rdc. Alan Doss n’est que l’arbre qui cache la forêt. Pour s’en rendre compte, il faut revenir aux propos de Félix Tshilombo, lesquels ont provoqué un lever de bouclier. Selon lui, en effet, l’UDPS ira aux élections avec ou sans la machine à voter. Et bien avant cette réunion, l’UDPS a pris une décision plus ou moins claire, selon laquelle son candidat était Fatshi. Cette prise de position de l’UDPS ne pouvait pas passer du côté d’autres candidats présidents de la République qui ne rêvent que du chaos et de la conquête du pouvoir par des manifestations publiques. En manifestant sa volonté d’aller aux élections, contrairement à Bemba et à Moïse Katumbi, Fatshi s’était fait disqualifié et il n’attendait rien de ce semblant de réunion. Tous les avertis pensaient que Fayulu passerait, Fatshi étant devenu ingérable.

Disons que les impérialistes eux-mêmes savent pourquoi ils ont porté leur choix sur Fayulu, candidat dont on sait qu’il n’a pas d’assise populaire et reste inconnu dans beaucoup de provinces, à part Kinshasa. Donc, compter aujourd’hui sur Fayulu, c’est déjà un échec qui se profile à l’horizon et on ne voit pas comment l’opposition pourrait renverser la vapeur. Dans le même ordre d’idée, le choix de Fayulu va obligatoirement provoquer la scission de l’opposition. Ceci, parce qu’une frange importante de l’opposition ne voit pas comment elle va battre campagne pour un candidat qui, non seulement ne rassure pas, mais aussi il n’est pas celui dont les sondages ventaient les prouesses. Et tous les observateurs de la scène politique congolaise ne se gênent pas de dire que le choix de Fayulu préfigure déjà l’échec de l’opposition et ça sera une fois de plus de l’argent jeté par la fenêtre par cette Fondation qui porte le nom de l’ancien Secrétaire général de l’ONU.

Avec ce choix plus ou moins surprenant, les observateurs politiques estiment que c’est une passe en or qui est faite à Emmanuel Ramazani Shadary, candidat du Front Commun pour le Congo (FCC), qui ne va pas trop se dépenser devant un adversaire qui est pratiquement l’ombre de lui-même. Même si visiblement Fatshi était serein, c’est son retour à Kinshasa qui pourrait changer la donne. Déjà couve une marche anti-Fayulu, à en croire des  sources proches des combattants. A Kinshasa, aucun combattant n’est disposé à donner sa voix à Fayulu. Même si Vital Kamerhe, Jean-Pierre Bemba, Adolphe Muzito et Kiungu wa Kumwanza ont accepté de battre campagne dans leurs provinces respectives, notamment l’ex-Grand Kivu, l’ex-Grand Equateur, l’ex-Grand Bandundu et l’ex-Grand Katanga, le manque d’adhésion à la candidature commune va provoquer l’éparpillement des voix. Fait qui sera préjudiciable au candidat de l’opposition, considéré comme menu fretin, comparativement au dauphin du FCC…

Au regard de tout ce qui précède, qu’est-ce que Fayulu fera pour s’opposer à la machine à voter ou exiger qu’on extirpe les électeurs sans empreintes ? Visiblement, Fayulu est celui qui a été préparé par les impérialistes pour un être à la tête d’un mouvement contre la machine à voter et les électeurs indélébiles. Mieux, lorsqu’il aura perdu les élections à venir, il sera sur la ligne d’attaque afin de contester les résultats des urnes. Mais à ce jour, il n’a d’autre choix que de bien préparer sa campagne électorale et de mettre en place sa stratégie de victoire. Il doit mettre un rideau sur la machine à voter qui, de plus en plus, se fait accepte de tout le monde. Et si Fayulu veut s’opposer à la machine à voter, il mettrait à dos l’UDPS.

JMNK

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Le président de la République, le Premier ministre ou les ministres peuvent-ils se lancer dans la campagne électorale au profit du candidat du front Commun pour le Congo (FCC), Emmanuel Ramazani Shadary ? Cette question et bien d’autres étaient au centre du point de presse animé vendredi dernier par la Majorité présidentielle, à travers son porte-parole, l’ambassadeur André-Alain Atundu. A cette occasion, il a dénoncé une polémique malsaine et perverse destinée plus à distraire et à brouiller les esprits par rapport aux enjeux électoraux, qu’à consolider le processus électoral. Il a aussi fustigé le comportement d’un certain collectif de candidats, invoquant de manière abusive l’article 36 de la loi électorale dans l’intention de surprendre la bonne foi de l’opinion, tout en préconisant la démission des ministres et du Directeur de cabinet du chef de l’Etat. Ceci, pendant que la loi n’interdit pas leur implication dans la campagne électorale, du reste une pratique courante dans les systèmes démocratiques.

A quelques jours de la campagne électorale, une polémique malsaine et perverse a vu le jour et dont l’objectif est de distraire les Congolais et brouiller les esprits par rapport aux enjeux électoraux de l’heure. Cette campagne est née de la présence, dans la campagne du dauphin désigné, du Premier ministre ou des ministres. Fait que n’interdit pas l’article 36 de la loi électorale, parce que relevant de pratique courante dans les systèmes démocratiques. Logiquement, il s’agit d’un débat fallacieux provoqué dans un dessein inavoué, mais bien connu, de solliciter le concours de la CENI pour écarter de la course un concurrent sérieux, mais jugé redoutable, en la personne d’Emmanuel Ramazani Shadary.

Et pourtant, il ne peut y avoir aucune confusion du genre entre les activités professionnelles, et donc républicaines d’un ministre et les actes privés posés dans le cadre d’un parti ou regroupement politique. A titre illustratif, Atundu cite le cas des USA, où nul n’a été choqué par l’implication personnelle du président Trump dans la campagne pour les élections de mi-mandat, sans être obligé pour autant de suspendre son mandat présidentiel. Ce qui pousse la Majorité présidentielle à prévenir qu’elle mettrait les moyens pour faire barrage aux porteurs de tels projets funestes contre la démocratie, pour préserver le peuple congolais des affres d’un chaos prémédité pour réaliser leur plan de transition sans Kabila.

De même, au sujet de la prétendue utilisation des moyens de l’Etat aux fins de la campagne électorale, Atundu se demande : pourquoi ne saisit-on pas les instances compétentes pour que justice soit rendue ? ‘’Ceci procède de la malveillance et d’une volonté de distraire nos membres face à la campagne électorale’’, a-t-il constaté.

La MP s’oppose à la posture d’autorité compétente de Mgr Ambongo

A la même occasion, la MP a fustigé la posture d’autorité compétente affichée par Mgr Fridolin Ambongo, archevêque de Kinshasa. «…l’on aurait pu s’attendre à recevoir du nouveau nominé des orientations pastorales dans le sens d’une meilleure évangélisation des Kinois, au regard des défis moraux qui assaillent la société », pense A. Atundu, qui ajoute qu’à la place, les Kinois sont étonnés d’entendre le prince de l’Eglise catholique s’exprimer ex cathedra et avec une posture autoritaire, sur les aspects techniques du processus électoral, matière relevant constitutionnellement de la compétence de la CENI. Pour lui, le prince de l’Eglise n’a pas les outils nécessaires ni l’expertise pour orienter le peuple quant à ce. En plus, l’Eglise et la MP doivent se référer à la CENI qui agit en application de la loi.

Comme pour dire que cette confusion du genre n’est pas de nature à respecter la laïcité de l’Etat congolais, pourtant reconnue et acceptée par tous d’une part, et à favoriser la sérénité dans l’esprit des chrétiens engagés en politique, d’autre part.

Des sanctions discriminatoires et ségrégationnistes

Au cours de ce rendez-vous avec la presse, la Majorité présidentielle a joint sa voix à celle du Gouvernement pour réclamern, au nom de la justice et de l’équité, la levée sans condition des sanctions politiques injustes contre le candidat Shadary et les responsables de l’Etat, plus en raison de leurs fonctions ou statuts qu’à la suite d’une décision judiciaire d’une instance compétente dans le respect de la déontologie et d’un corpus de lois acceptées par tous en toute liberté et souveraineté de l’Etat.

« C’est notre droit et c’est l’équité, si nous réclamons la levée de ces sanctions. Nous ne pouvons pas donner à une décision politique un caractère imposable. Cette décision obéit plus à l’intérêt poursuivi par ces Etats, pour ne pas permettre à la Rdc de bien faire son travail, c’est-à-dire, de bien organiser les élections pour une passation de pouvoir civilisée », a indiqué André Atundu, pour qui ces sanctions sont discriminatoires et ségrégationnistes. Il conseille donc de faire preuve d’héroïsme en résistant contre cette folie démocratique.

En toute état de cause, pense la MP, ces décisions sont arbitraires et immorales, parce qu’elles visent à contraindre les officiels congolais à ne pas exercer leur devoir constitutionnel et à obéir au doigt et à l’œil à quelques personnages dont l’objectif est de ravir sa souveraineté au peuple congolais. A la question : pourquoi Shadary a-t-il été à Mbuji-Mayi ? La MP rétorque que le candidat du FCC a commencé par le stade Tata Raphael, où il a récolté franc succès. Mbuji-Mayi, c’est donc une seconde étape après Kinshasa. Là, il était question de présenter son équipe de campagne dans cette province et de permettre à ce que toute la population du Kasaï-oriental le découvre dans sa peau de dauphin. Force est de souligner que la circonscription électorale du président de la République, c’est l’ensemble du territoire national et il lui appartient de déterminer où il ira et avec qui il parlera.
JMNK

par -
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Initialement prévue pour le samedi 13 novembre dernier, la présentation  programme du candidat du Front Commun pour le Congo (FCC), à l’élection présidentielle du 23 décembre 2018, Emmanuel Ramazani Shadary ne sera présenté que le jeudi 15 novembre de la même année. Et ce, en raison du réaménagement de l’agenda  d’installation  des structures  du FCC et de celles de campagne du candidat, à en croire le Coordonnateur du Comité stratégique du FCC, le professeur Néhémie Mwilanya.

Mais bien avant, le candidat du Front commun pour le Congo (FCC) à la présidentielle du 23 décembre 2018, Emmanuel Ramazani Shadary, avait rassuré la population du Kasaï-oriental de la détermination de sa plateforme de trouver des solutions aux problèmes spécifiques de la province diamantifère, au cours  d’un point de presse qu’il a conjointement animé vendredi dans la salle de conférence de l’hôtel Métropole à Mbuji-Mayi, avec le Premier ministre Bruno Tshibala Nzenzhe,  le directeur de cabinet du Chef de l’Etat, Néhémie Mwilanya Wilondja et le gouverneur du Kasaï oriental, Alphonse Ngoyi Kasanji.

«Les problèmes spécifiques et prioritaires  de la province du Kasaï-Oriental, à savoir l’énergie électrique, l’adduction d’eau potable, la construction de la voirie urbaine et la lutte contre le chômage de la jeunesse sont bien enregistrés au FCC, et seront débattus en temps opportun lors de la période de campagne», a-t-il indiqué au cours de cette conférence élargie aux différentes couches sociales. Ces problèmes, a-t-il ajouté, lui ont été communiqués par le chef de l’exécutif du Kasaï-Oriental et  coordonnateur provincial du FCC, Alphonse Ngoyi Kasanji. Invité par ce gouverneur, sa visite, a précisé Emmanuel Ramazani Shadary, a consisté essentiellement à organiser et implanter la structure de campagne, et non pas faire la campagne électorale, cette dernière n’étant pas encore décrétée  par la centrale électorale qu’est la CENI.

Il a remercié la population du Kasaï-Oriental de l’accueil très chaleureux en dépit de la forte pluie qui était au rendez-vous, jeudi dans l’après-midi, peu après son arrivée au chef-lieu du Kasaï-Oriental, avant de saluer les efforts fournis par le gouverneur de province pour l’organisation de cet accueil. «Ce que je sais, c’est que je suis aimé par les Kasaiens», a-t-il dit. Avant de quitter Mbuji-Mayi pour regagner Kinshasa, le candidat du FCC à la présidentielle a accordé quelques audiences aux forces politiques membres de la plate-forme. Il a été accompagné à l’aéroport national de Bipemba par le gouverneur de province Alphonse Ngoyi Kasanji.

L’unité et le patriotisme recommandés aux militants du FCC/ Grand Kasaï

Par ailleurs, le coordonnateur du comité stratégique du FCC et directeur de cabinet du Chef de l’Etat, Néhémie Mwilanya Wilondja a recommandé aux cadres et militants de cette plate-forme de conserver les valeurs fondamentales, entre autres, l’unité et le patriotisme durant le processus électoral et après la date du 23 décembre. Néhémie Mwilanya qui s’est appesanti sur l’historique et les objectifs de la création du FCC, a rappelé que cette plateforme a été créée à l’initiative de  son Autorité morale, le Président de la République Joseph Kabila Kabange.

Selon lui, l’objectif de la plateforme est de permettre à ses membres de participer, sur base d’un programme commun, à la conquête démocratique du pouvoir à tous les niveaux aux prochains scrutins pour lesquels les membres de la coalition apporteront leur soutien à une candidature unique à l’élection présidentielle. La création  de cette plate-forme, a-t-il ajouté, a aussi pour objectif d’unir tous les Congolais, en vue de la poursuite de la reconstruction de la RDC. Il a présenté à cette même occasion, certains membres du FCC qui ont fait le déplacement de la ville de Mbuji-Mayi.

Le Premier ministre Bruno Tshibala, un autre intervenant, a  présenté à la presse et aux leaders locaux du FCC venus à cette rencontre, le candidat Emmanuel Ramazani Shadary, avant  d’indiquer qu’il est un ancien compagnon de lutte pour la démocratie en RDC. Pour le Premier ministre Bruno Tshibala, ce sont ses qualités intellectuelles et morales ainsi que sa simplicité, sa passion du pays, le dévouement et son attitude de rassembleur des Congolais qui ont concouru à sa désignation comme le dauphin du Président de la République.

JMNK

par -
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La renommée de la Compagnie nationale Congo Airways, mieux l’amélioration de ses résultats dans un secteur où la complaisance n’est pas tolérée, a dépassé les frontières, et cela a été apprécié à sa juste valeur par l’African Airlines Association, également connue sous le nom d’Association des Compagnies aériennes africaines (AFRAA), qui est une association commerciale des Compagnies aériennes issues des nations de l’Union africaine. Cette Compagnie nationale a été plébiscitée « meilleure Compagnie de l’année 2017 », grâce aux meilleurs résultats présentés ou aux performances engrangées.

L’information a été livrée à la presse vendredi dernier, par le Directeur général de cette Compagnie d’aviation, M. Désiré Balasiré, visiblement satisfait de cette énième récompense qui vient reconnaître le travail de titan abattu par l’équipe qu’il pilote. « C’est un plaisir pour Congo Airways de pouvoir vous communiquer ce jour notre distinction, c’est-à-dire que l’Association africaine des Compagnies aériennes a décerné un prix à Congo Airways, entant qu’une Compagnie qui s’est distinguée par ses performances au cours de l’année 2017. Egalement, il faudra que les gens se souviennent qu’au mois de juillet de cette année, nous avons été certifié IOSA et avons également été admis comme membre de l’IATA qui est notre association internationale ».

En effet,  AFRAA récompensent les personnes, compagnies aériennes et autres entités qui contribuent de manière significative au développement du transport aérien en général et du transport aérien en Afrique en particulier. Lors de la 176è réunion du Comité exécutif, le Secrétariat a été chargé de réviser les critères d’attribution, afin d’inclure la catégorie “Compagnie aérienne de l’année - Meilleure amélioration”. Sur la base des critères révisés ci-après, le Secrétariat a sélectionné les candidats suivants pour les différents prix, en fonction de leurs critères de sélection et d’approbation par le Comité exécutif: 1. Prix de la Compagnie aérienne de l’année - Ethiopian Airlines. Pour des performances financières et une rentabilité remarquables en 2017. 2. Compagnie aérienne de l’année - Meilleure amélioration: Congo Airways. Pour les meilleurs résultats améliorés pour l’année 2017. 3. Distinguished Service Award - M. Mamadou Hachim Koumaré. Pour avoir donné une impulsion majeure à l’aviation sur le continent, a facilité l’accès aux marchés, au commerce, aux investissements et au tourisme en Afrique. Le secrétariat se chargera, non seulement d’informer les lauréats, mais aussi de les inviter à la 50ème  assemblée générale annuelle de l’AFRAA.

Pour rappel, la Compagnie nationale Congo Airways SA fait désormais partie du cercle des Compagnies certifiées IOSA « IATA Operational Safety Audit ». A l’issue de cet audit sur la sécurité des opérations, Congo Airways devient membre effectif de l’IATA « Association Internationale des Transporteurs Aériens ». Cette certification améliore donc et garantit la sécurité mondiale dans les transports aériens. Ce résultat est le fruit de sacrifice, d’abnégation et de dur labeur.  Au même moment, l’Association internationale des transporteurs aériens (IATA), par le canal de son représentant, a remis à Kinshasa, à la compagnie aérienne nationale Congo Airways, le certificat IOSA (un programme d’audit des opérations de sécurité aériennes). Cette certification a pour avantage d’améliorer et de garantir la sécurité mondiale dans les transports aériens. Au niveau du Gouvernement, cette certification ne peut être considérée comme un point de chute, mais plutôt comme le début d’un nouveau challenge qui s’offre à cette compagnie, en vue de permettre à l’ensemble des compatriotes de dresser les fronts longtemps courbés dans ce secteur vital pour l’économie nationale.

JMNK

par -
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La République démocratique du Congo a atteint le point de non-retour avec l’organisation des élections présidentielle, législatives nationales et locales. A en croire le calendrier de la Commission électorale nationale indépendante, la date du 23 décembre prochain ne sera pas franchie. Mais il s’agit d’une date cruciale: la fin de l’année et le début d’une autre révèlent souvent d’autres réalités au sein de la société.

En effet, nul n’ignore qu’en pareilles circonstances, les prix des produits de première nécessité  prennent  de l’ascenseur. Le panier de la ménagère, un véritable casse-tête, surtout pour les gagne-gagne-petits. De fois, et des années successives, le gouvernement central et même le gouvernement provincial de Kinshasa prennent des dispositions utiles dans le cadre de la commande des biens et produits commerçables, à l’approche des fêtes de noël et de nouvel an. Cela, dans le but de soulager tant soit peu, le poids du panier de la ménagère.

Mais, cela n’a guère suffit! Une autre sonnette d’alarme plus retentissante concerne la pénurie des produits pétroliers et les conséquences qui en découlent. Des bruits persistants en provenance des tenanciers de ce secteur relancent le spectre d’un arrêt pur et simple de approvisionnement des stations-services dans la capitale et partout au pays. Enquête menée, des sources bien informées, la dette contractée par le gouvernement actuel auprès des fournisseurs, évaluée à plus ou moins 300 millions de dollars US, serait à la base de l’affaiblissement de ka capacité  d’importation des majeurs de la profession. En conséquence, la même source craint la pénurie exagérée et généralisée. Ce qui  va porter un coup dur à la campagne électorale qui débute ce 23 novembre. Ce coup de massue ne manquera pas de porter atteinte aux élections de décembre et, pire encore, au quotidien des Congolais.

Les conséquences de cette pénurie pressentie sont énormes. Le transport en commun, surtout le réseau urbain, s’annonce plus que perturbé. La circulation durant la période électorale reviendra un luxe. Le système dit demi-terrain fera la loi. Des files monstrueuses d’attente seront observées dans les quelques stations-services encore opérationnelles. Les prix des produits de première nécessité seront revus à la hausse,… et la bourse des Congolais en sera frappée de plein fouet. Il s’agit là, certes, d’une situation non souhaitable, mais à prendre au sérieux.

C’est là que tenant à l’œil celle situation, l’Avenir avise les concernés pour des solutions appropriées, avant qu’il ne soit trop tard. Les Congolais veulent des élections apaisées, et les festivités de fin d’année en toute quiétude sociale. Et ceci, n’est pas tombé dans les oreilles d’un sourd.

Emmanuel Badibanga

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L’application sans faille des principes managériaux axés sur la bonne gouvernance administrative, technique et financière, l’entreprise des transports en commun, Transco intéresse à un plus haut point le Vice-Premier ministre des Transports et Voies des Communications, José Makila Sumanda, qui en a fait l’une des priorités de son action gouvernementale, dans le secteur du transport routier congolais. A cette fin, bravant les averses et la pluie qui ont arrosé la ville province de Kinshasa jeudi dernier, tôt dans la matinée, il s’est rendu au siège social de cette firme situé à Masina/Siforco. Là, le VPM a eu un dialogue social franc avec les agents et cadres autour de plusieurs aspects liés au bon déroulement des activités de Transco. « Cette entreprise vous appartient. Elle est la concrétisation de la vision sociale du Chef de l’Etat Joseph Kabila Kabange qui a doté la population congolaise d’un moyen de transport en commun efficace.  En préservant votre outil de travail, vous êtes sur la droite ligne du chef de l’Etat, et vous êtes des patriotes exemplaires », a relevé le VPM.

Fort de cette socialisation positive auprès des agents de Transco, le VPM José Makila a réceptionné le mémorandum reprenant leurs desiderata. Et en bon père de famille, il s’est engagé à solutionner les problèmes posés par ces derniers, en les transmettant à sa haute hiérarchie.

TRANSCO réceptionne 25 moteurs pour soulager les bus stationnés pour pannes d’avaries

Le Vice Premier ministre et ministre des Transports et Communication, José Makila a assisté le lundi 5 novembre 2018 au déchargement de 25 moteurs destinés à remettre sur pied les bus stationnés pour cause d’avarie moteur. Ce lot d’une valeur de 175 mille dollars américain est réceptionné 2 mois seulement après les pièces de rechange qui ont permis de soulager une nonantaine de bus stationnées pour diverses pannes.

Satisfait de cette acquisition, le VPM José Makila a fait le déplacement du dépôt I à Masina pour s’assurer du bon état de ces moteurs commandés en Egypte auprès du constructeur MCV. Dans son mot, il a insisté pour que le personnel de cet Etablissement public prenne soin de cet outil très important pour la population kinoise.

« Il y avait un programme de 2000 bus pour la ville de Kinshasa, seuls 500 ont été livrés, ça vient étape par étape, les Kinois doivent patienter encore un peu pour bénéficier de ces bus. Nous avons  passé une commande importante des bus qui seront affectés au réseau interurbain. Ils seront disponibles très bientôt car TRANSCO doit remplir sa mission sur le plan national », a indiqué le VPM José Makila.  Outre les moteurs, des pièces de grande importance introuvables sur le marché local font également partie du lot.

 

TRANSCO a été créé en 2013 dans le but de soulager les problèmes de transport qui se posaient avec acuité dans la ville de Kinshasa étant donné que le souci du chef de l’Etat Joseph Kabila et de son gouvernement était d’assurer une bonne qualité de transport en commun aux Congolais. Raison pour laquelle des efforts sont constamment fournis dans ce secteur pour répondre, tant soit peu, au besoin de la population. Rappelons que cette dotation qui entre dans le cadre de la subvention du Gouvernement est d’une importance capitale étant donné qu’elle intervient dans un contexte économique et politique difficile, à quelques semaines de l’organisation des élections en Rdc.

Payne