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Alors qu’ il fait partie de la délégation officielle qui accompagne Joseph Kabila à New-York pour la traditionnelle assemblée générale de l’ ONU dont les travaux s’ ouvrent le mardi prochain, Barnabé Kikaya, conseiller diplomatique du chef de l’État congolais s’ est vu confier  une autre mission, convaincre Washington  à renoncer aux résolutions des sanctions ciblées en chantier à la chambre des représentants  contre certains dirigeants congolais.

Les militants du Rassemblement des forces politiques et sociales acquises au changement  seront bel et bien dans les rues de Kinshasa, le  lundi, 19 septembre 2016. Mais contrairement au plan initial, les manifestants en  ne se rendront plus en masse au siège de la Ceni pour y observer un sit-in.

Lors d’ une réunion tenue ce samedi au siège du parti Fonus, Rassemblement et gouverneur de la ville se sont plutôt accordés sur l’ organisation d’ une marche pacifique qui sera sanctionnée par un meeting. D’après l’ accord trouvé entre les organisateurs et l’ hôtel de ville,  la marche devra partir de l’ échangeur de limeté à la 17émè rue pour chuter sur le boulevard triomphal.

Satisfecit pour André Kimbuta qui salue sa politique de proximité. « J’avais promis le jeudi de venir vers les opposants pour la mise au point. Il faut aller vers les administrés. Ils sont tous administrés », déclare le gouverneur de la ville qui se réjouit du consensus qui s’ est dégagé entre les deux parties.

« C’est seulement aujourd’hui que je confirme que je vais prendre acte de la marche du Rassemblement. Nous nous sommes mis d’accord que la marche partira de la place de l’ Echangeur jusqu’au Boulevard Triomphal », explique t-il.

Le compromis trouvé prévoit que les manifestants rempruntent les avenues de la Libération, Kalembelembe et Kasavubu avant de déboucher sur le point de chute. Seule, une petite délégation du rassemblement a été autorisée à se rendre au siège de la Ceni  après la manifestation pour y déposer le mémorandum.

André Kimbuta qui tient à l’ itinéraire convenu place ainsi les organisateurs devant leurs responsabilités. « Il n’ y aura pas de sit-in», insiste le gouv. Le plus important renchérit-il, c’ est « la marche et le meeting qui seront organisés ».

Jean Pierre Kayembe

 

 

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M.Sylvestre Motayo Mbela, président de la Fédération Congolaise de Cyclisme ‘’Fécocy’’ qu’entouraient ses proches collaborateurs nouvellement élus, a tenu un important point de presse hier, au Restaurant Delgado dans la commune de Kasa-Vubu.

Ce point de presse a tourné autour du bilan de son action à la tête de la Fédération. A cet effet, trois points ont été abordés à savoir, l’état des lieux du cyclisme rd congolais, la logistique et le phénomène négatif qu’on enregistre généralement à la veille d’une Assemblée générale extraordinaire élective de la Fécocy.

*Condensé de l’adresse du président Motayo

Avant d’aborder le vif du sujet, M. Motayo a tenu à rassurer les membres nouvellement élus et ceux qui n’ont pu être élus. Evoquant le cas de M. Rachidi Kongolo qui est resté quatre (4) ans en dehors du pays et revenu comme 1er Vice-Président, M. Motayo leur dit qu’ils ne sont pas partis définitivement. Car ils demeurent dans la famille du cyclisme. Ils pourront revenir.

Parlant du bilan du cyclisme, M. Motayo évoque l’époque ayant précédé son avènement, ce qu’il en est advenu aujourd’hui, la logistique et les perspectives d’avenir. Il est arrivé en 2004 à la tête de la Fédération comme président du comité provisoire. C’était par la volonté de M. Egwake Omer, alors ministre des Sports. A cette époque-là, poursuit-il, la Fécocy n’existait que de nom. Le défi était donc de redynamiser le cyclisme. Il y avait deux Ligues : de Kinshasa et du Katanga et un embryon au Nord-Kivu. De 1960 à 2004, l’on n’avait organisé que 3 championnat national. Ils se sont efforcés d’organiser le championnat. Quand on fait le calcul, depuis qu’il est à la tête de la Fécocy soit quatorze (14) ans, l’on a pu organiser 13 éditions dont seulement 2 ont été financées par le trésor public et 11 restantes par la Fédération. Au niveau de l’adhésion des jeunes, le vélo constituait plus un moyen de transport mais nullement un instrument d’éducation ou de l’entretien de la santé ou de loisir. Le cyclisme n’existait vraiment pas. De deux ligues existantes à l’époque, l’on est passé aujourd’hui à neuf (9), créées notamment au Bas-Congo, Bandundu, Equateur, Province orientale…la dernière édition 2018 à Kinshasa avait réuni 8 ligues, en l’absence du Sud-Kivu. Et la Fécocy a instauré le système rotatif dans l’organisation du championnat national. Du point de vue de la représentation au niveau international, on ne parlait plus de la RDC. Ce qui n’est plus le cas. Avec le Tour cycliste international de la RDC, c’est sans conteste l’événement sportif le plus marquant, organisé chaque année en RDC. Cela réunit un grand nombre de pays participants et plusieurs branches ou secteurs d’activités sont mis en branle. Bref, M. Motayo estime que son bilan à la tête de la Fécocy, est positif.

A propos de la logistique, le cyclisme étant une discipline des nantis, il faudrait que le tissu économique soit bien nanti car les matériels coûtent chers. En RDC, le cyclisme est pratiqué par des jeunes qui n’ont pas de ressources (moyens) et l’on n’a pas de structures de vente ni de fournitures de ces matériels, la tâche devient compliquée. C’est ainsi que la Fécocy a jugé bon de prendre contact avec des partenaires devant venir en RDC pour l’implantation des circuits de distribution des matériels, aussi bien pour la RDC que l’Afrique centrale dans un premier temps. Sans matériels, c’est difficile de pratiquer le vélo et, ce faisant, d’accroître les performances.

Quant au dernier point spécifique à la Fécocy à la veille de l’AGEE, M. Motayo fait remarquer qu’on a toujours tendance à oublier tout ce qui a été réalisé par son comité. Mais à la place, on vilipende le comité, en substituant celui-ci par les autorités. A cet effet, le président Motayo voudrait un partenariat apaisé, soutenu et respectueux des règles.

*Le nouveau mandat sous le signe du travail pour développer l’activité de la discipline

Au jeu des questions et réponses, M. Motayo voudrait, pour  l’avenir, consolider les acquis. Son comité s’attèlera à vulgariser la discipline vers d’autres coins du pays. Poursuivre l’adhésion de la jeunesse et continuer à hisser l’intérêt du peuple congolais pour le cyclisme. L’organisation du Tour cycliste international de la RDC donne l’occasion aux congolais de bien connaître leur pays.

Parlant de l’aspect sportif et social, M. Motayo fait remarquer qu’auparavant, les cyclistes ne gagnaient pas grand-chose ; aujourd’hui,  ils arrivent à se payer eux-mêmes des vélos et construire des maisons. Ils sont acceptés comme tels dans la société. Du point de vue de revenus, ils prennent régulièrement part aux compétitions internationales. Quand il y a Tour de la RDC, chacun peut empocher 2.000 $ de prime. Le meilleur congolais s’en tire avec de 5.000 voire 10.000 $ USD. La Fécocy voudrait passer de l’étape amateur à l’étape professionnelle. Elle est prête à envoyer dans un avenir très proche nos léopards à l’extérieur, pour prester dans des clubs. Et ces derniers pourront revenir renforcer l’équipe nationale. C’est la nouvelle formule que compte adopter la fédération pour avoir de bons résultats. Et comme pour clore le point de presse, M. Motayo annonce la bonne nouvelle, c’est que la Fécocy sera dotée d’un siège moderne dans un avenir très proche. Ledit siège est en construction.

Antoine Bolia

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M.Kabila et les perspectives d’avenir

Cet avant-dernier article de la série de trois met en vedette  ‘’Joseph Kabila, artisan de la paix et père de la démocratie’’, comme le note si bien l’auteur de la ‘’Situation salariale des fonctionnaires congolais de Kinshasa de 1960 à 2018 », M. Soni, voyant en Raïs un grand visionnaire pour l’émergence imminente de la RDC, le démontre carte sur table dans son étude qui du reste servirait de best-seller économique au régime.

Fière chandelle à J. Kabila

« L’avènement à la magistrature suprême de Joseph Kabila Kabange après lassassinat,
le 16 Janvier 2001 de M’zée Laurent-Désiré Kabila, marque un tournant décisif dans l’orientation économique de
la Rd Congo. En effet, il libéralise l’activité économique. Cette décision consacre ainsi une libre circulation concomitante de la monnaie nationale et des devises étrangères. Il prend un train de mesures consacrant le libéralisme économique et financier dans lequel évolue aujourd’hui le pays qui a beaucoup progressé sur le plan économique, grâce à la maîtrise du cadre macroéconomique », commence l’auteur.

Et de poursuivre, au plan politique, l’œuvre est immense. Le président de la République réussit à réunifier le pays qui, hier était balkanisé. Sous son leadership incontestable, un accord global et inclusif est signé à Sun city en Afrique du Sud. La paix est gagnée et avec elle, l’intégrité territoriale rétablie. La transition de trois ans s’ouvre dans le pays où les institutions de celle-ci sont mises en place avec tout un arsenal juridique et constitutionnel transitoire. Un système politique unique au monde voit le jour en RDC et s’appuie sur un socle d’un gouvernement (1+4), c’est-à-dire un Président avec 4 Vice-Présidents. Profondément
attaché à l’unité nationale, Kabila Kabange accepte ainsi de partager le pouvoir avec les anciens chefs rebelles congolais. Une nouvelle Constitution soumise au référendum, est promulguée. Les élections libres transparentes et démocratiques, sont organisées pour la toute première fois en RDC en 2006, suivies de celles de 2011 et le troisième cycle électoral se tiendra, ce 23 décembre 2018. Le Chef de l’Etat ne s’y  présentera pas. Respectant ainsi la Constitution qui lui interdit un troisième mandat, il pose un acte fort louable et exemplaire en Afrique centrale où les Présidents en fonctions sont coutumiers au tripatouillage de la loi fondamentale.

De nouveaux atouts pour l’émergence de la RDC

De prime abord, la RDC ayant accédé au point d’achèvement de l’initiative PPTE, n’a presque pas de dettes. Elle a donc la capacité de s’endetter sans problème pour son développement. Ensuite, le secteur minier avec le nouveau code minier qui impose 10% aux miniers au lieu de 3 comme auparavant, ajouter à cela la formation des ingénieurs, techniciens, informaticiens, etc. telle que le fait l’actuel Ministre Steve Mbikayi en octroyant les bourses aux étudiants qui embrassent ces formations, comme du reste il y a lieu d’encourager des actes louables tels celui posé par M. Muyej, Gouverneur de Lualaba qui a envoyé une dizaine d’étudiants en Chypre pour ce genre de formation. Et le souhait serait de refaire de l’école technique de Ruwe, une nouvelle pépinière des futurs
ingénieurs congolais comme c’était dans le temps.

C’est aussi le lieu de parler de la résurrection de la Gecamines et la hausse extraordinaire de la
production du cuivre. Avec l’effondrement de triste mémoire de la mine de Kamoto à Kolwezi pendant la 2éme République, la RDC avait disparu de la carte mondiale des producteurs du cuivre avec comme
conséquence la perte de plus de 70 des ressources en devises du pays. Dans cet élan d’effort, la Gécamines tient à reprendre sa place d’antan où elle produisait plus de 400 mille tonnes de cuivre par an.

Grâce à la dynamique imprimée par le Chef de l’Etat Joseph Kabila, à la coopération Sud-Sud, ayant abouti à la conclusion des « contrats chinois dans le cadre de « Cinq chantiers» et à l’arrivée massive de nouveaux investisseurs sur le sol congolais, la RD Congo, produit aujourd’hui par l’entremise des sociétés privées, partenaires de la Gécamines, plus de 1,5 million de tonnes de cuivre et plus d’une dizaine de millier de tonnes de cobalt. Cet effort, selon le ministre des Mines, Martin Kabuelulu, classe désormais la RDC, premier pays producteur africain du cuivre et fait de la ville de Kolwezi, chef-lieu de la nouvelle province du Lualaba, la Capitale mondiale du cobalt.

Avec la production mondiale de 60 du cobalt, la RDC, devenue de ce fait, l’enjeu du monde, comme à l’époque du caoutchouc au 19éme siècle pour la fabrication des pneus, espère ainsi tirer un grand profit de l’utilisation dans le monde du véhicule électrique dont la réalisation exige l’obtention sur le marché international de ce produit minier pour la fabrication des batteries qui seront du reste produites sur place à Kolwezi, augmentant ainsi la valeur ajoutée. Dans cette optique, la RDC va rompre ainsi ses anciennes habitudes qui consistaient à vendre les produits bruts sans valeur ajoutée. Bientôt, la RDC va produire des produits semi-finis et finis à haute valeur ajoutée (batterie électrique, câble électrique, … ).

Le gouvernement de la République, conscient du fait qu’il faut saisir au bond cette opportunité,
a déjà mis en place une loi de sous-traitance pour permettre aux opérateurs miniers congolais et
aux autres nationaux de participer par leurs propres investissements aux efforts de redressement
de l’économie congolaise sans oublier qu’avec le nouveau code minier, on peut s’attendre à l’amélioration sensible des recettes. Des ressources ainsi générées par le secteur minier seront réinvesties dans d’autres secteurs, distributeurs des richesses, tels que l’agriculture et le tourisme, en vue de diversifier l’économie congolaise pour contrecarrer l’instabilité des cours.

Modernisation et  rajeunissement de la fonction publique
La fonction publique a toujours été considérée à travers le monde comme étant un véritable moteur du développement. C’est dans ce cadre que le gouvernement a entrepris toute une série des réformes au sein de la fonction publique congolaise pour la rendre plus performante. Il faut citer notamment le contrôle et la maîtrise des effectifs, la bancarisation de la paie des agents et fonctionnaires de l’Etat, la création de l’Ecole nationale d’administration (ENA) ainsi que celle de la caisse nationale de retraite pour des fonctionnaires. Coup de chapeau au ministre Michel Bongongo pour les réformes entreprises.

L’ENA, une des réformes importantes au sein de la Fonction publique, a déjà sorti deux cent quarante diplômés. Pour arriver à ce résultat, l’ENA recrute sur concours des licenciés qui, pendant leur formation, touchent chacun un salaire de 600.000 FC en guise de motivation. A l’issue de leur formation, ils bénéficient d’un salaire de 1.500.000 FC. Présentement, l’ENA qui s’inspire du modèle français qui a fait ses preuves dans ce domaine, est devenue une “voie royale” d’entrée dans l’administration publique en RDC.

Tous ces efforts de modernisation de la fonction publique, visent à éviter tout ce qui s’est produit sous la Deuxième République où l’administration publique était tout simplement un  « dépotoir » qui accueillaient des danseurs du Mouvement Populaire de la Révolution (MPR) alors que le vrai agent de l’Etat était clochardisé. S’agissant plus particulièrement de la Caisse nationale de retraite, l’on peut noter que sur 1.300 fonctionnaires, environ 800.000 sont éligibles à la retraite.

Des entreprises d’Etat gérées avec dextéritéUn journal français, Le Figaro du 14 au 15 octobre 2017, salue l’effort d’accroissement des recettes fiscales de la RDC (plus de 10%). Si le pays continue sur cette lancée, l’on peut éventuellement s’attendre à l’augmentation substantielle des salaires des agents et fonctionnaires de l’État, donc du panier de la ménagère.

L’Etat a besoin de dirigeants performants et honnêtes aux commandes de ses entreprises. Les actuels dirigeants de l’OCC qui, en moins de 2 ans de gestion, ont liquidé plusieurs mois d’arriérés des salaires des employés méritent félicitations. Un autre exemple, et non de moindre concerne les dirigeants de la Banque centrale du Congo qui, dans leur responsabilité, ont émis des billets de grosses coupures de 20, 10 et 5 mille francs congolais sans provoquer la moindre inflation sur le marché, d’autant plus que des mesures d’encadrement avaient été prises auparavant par l’autorité monétaire sous la supervision du gouvernement dirigé alors par le Premier ministre Augustin Matata Ponyo. Cela a balayé ainsi toutes les craintes de Congolais en général et des universitaires en particulier, qui s’attendaient au retour du mauvais souvenir de la 2ème République où l’hyper inflation avait réduit à néant, le quotidien de la population.

(à suivre)

Emmanuel Badibanga

 

 

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Incontournable dans sa circonscription électorale, Nsaman Olutu, fin manager, a lancé pratiquement  mercredi 19 décembre l’artillerie lourde dans les cinq municipalités de Mont Amba afin de persuader les derniers indécis à voter pour le candidat du Front Commun pour le Congo (FCC), Emmanuel Ramazani Shadary à la présidentielle, à la députation nationale le numéro 32  et à la députation provinciale le 8 aux provinciales dans la Commune de Lemba.

Avec un charroi automobile impressionnant ainsi qu’une équipe costaud, ce professeur Emérite Nsaman Olutu a parcouru pratiquement tout le Mont Amba en commençant par la colline de Kisenso avec ses dix-huit bases, en passant par la vallée de Matete où il était attendu et accueilli par ses vingt bases, l’homme a enflammé tous les quartiers de Lemba, Ngaba et Limete avec un seul message: faisons toujours et encore confiance à Ramazani Shadary pour poursuivre l’élan de la souveraineté nationale,  ainsi qu’au numéro 32 et 8 pour une meilleure représentation à la prochaine législature.

A son passage dans chaque rue, les femmes, les hommes et les enfants lui ont véritablement démontré un grand enthousiasme quant à son élection le 23 décembre. L’homme qui a commencé  la campagne par les focus groupe, a entamé désormais  le dernier virage par les portes à portes afin d’écouter, d’échanger, de discuter avec les électeurs qui doutaient encore de  la vision de l’Autorité morale du PCSA qui demeure axée sur la cohésion de la gauche congolaise ainsi que la lutte contre la pauvreté en RDC.

Dans  chaque rue, personne ne voulais  manquer ce rendez-vous avec  Nsaman Olutu qu’ils appellent affectueusement : Ebwe nge. Et ils accouraient dans tous les sens à la rencontre d’Oscar Nsaman Olutu pour soumettre leurs doléances à quelques jours de la fin de la campagne pour certains, mais aussi pour dire : tu es déjà élu, et sois donc le bienvenu au parlement, pour d’autres. Tout dans une ambiance d’une véritable communion.

Au niveau du marché Mbanza Lemba,  difficile de continuer. Le professeur émérite Nsaman Olutu  a été obligé de s’arrêter  pour  rassurer la population que les élections auront lieu bel et bien lieu le 23 décembre.

Déterminé, toujours aussi prêt et attentif à sa population, Oscar Nsaman O-lutu se bat, à cor et à cri,  à mener ce combat jusqu’au bout pour la victoire du FCC, avec son candidat Emmanuel Ramazani Shadary. Mais aussi  la maximisation des chances de son regroupement, le « AAAC ainsi que tous les candidats de son parti , le PCSA.

Comme en 2011, la population de Matete, Ngaba, Lemba, Limete et Kisengo a décidé de rééditer l’exploit et faire confiance à celui qui  vit au quotidien avec elle et qui partage tous ses moments de détresse. Toutefois, la paix et la tolérance restent à l’épicentre des principales adresses d’Oscar Nsaman qui se considère toujours aussi redevable vis-à-vis de son électorat qui ne cesse de lui faire confiance continuellement.

JMNK

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Congolais d’origine et ancien étudiant en Médecine à l’Université de Kinshasa, installé aux États-Unis, Nathan Tshibambe a fondé une Organisation à but non lucratif appelée « All for A Healthy Africa, en français Tous pour la bonne santé en Afrique,( AAHA).

Il coordonne ainsi plusieurs actions dans le but de résoudre des problèmes médicaux critiques en Afrique dont Ebola, la santé des femmes victimes des mauvais traitements, le VIH/sida, etc.

Hope In Dreams Initiative (HIDI) et Healthy Water, pour ne citer que ceux-là, sont répertoriés parmi la vingtaine de ses projets qu’il finance grâce aux bourses et/ou des collectes de fonds de partenaires qui ne sont pas évidents parfois. Tshibambe a, dans HIDI par exemple, conçu et financé un projet de cinq ans pour l’assurance maladie de 200 enfants souffrant du VIH/SIDA au Hardt Haven Children’s Home et d’autres enfants moins privilégiés dans les communautés environnantes de la cité de Kpando au Ghana.

La bourse d’entrepreneuriat de Finstad du Collège St. OLAF, avec la collaboration de la communauté accueillante de Saki et l’aide de la compagnie de forage, a permis d’exécuter avec succès le projet de l’installation de deux puits d’eau stérilisés (Healthy Water) dans la communauté d’Ajengule à Saki, au Nigeria.

Cette année, Tshibambe a élaboré un plan spécifique à deux volets savoir : d’une part, offrir un accès gratuit aux soins de santé aux femmes congolaises pauvres et non assurées, et d’autre part, manifester sa solidarité aux enfants vivant avec le VIH/SIDA (EVV).

Dans son premier projet, Women Deserve Better (WDB), Tshibambe a, pour le compte de son organisation, payé les factures médicales des femmes congolaises, insolvables à cause de la pauvreté, retenues dans des hôpitaux durant plus de deux semaines dans la ville de Kinshasa (capitale de la République Démocratique du Congo/RDC).

Par cette action, dit-il, l’objectif était de faire passer le message suivant aux autorités congolaises : ”la femme congolaise compte et ce son droit de recevoir un accès gratuit aux soins de santé de qualité.”

Au sujet de la RDC, son pays d’origine, il rappelle que le Dr. Oly Ilunga Kalenga, l’actuel ministre de la Santé, avait reconnu dans un discours récent qu’il y avait un accès

limité aux services de santé de base et des mauvais résultats dans le domaine de la santé en RDC. En outre, il avait estimé que le pays avait encore un long chemin à parcourir, avant de répondre aux besoins de santé de base de la population. ” En revanche, à mon avis, chaque progrès commence par un vecteur d’organisation autour d’un idéal réaliste et décisif. Et dans le cas de la RDC, j’estime qu’il y a absence de ce vecteur autour de cet idéal qui peut impulser les générations futures dans le domaine de la santé. La détérioration de l’état de santé et la réduction de l’espérance de vie de la population chaque année en sont les preuves”, a-t-il expliqué, espérant donc qu’après les élections, les autorités congolaises élaboreront un plan audacieux dans le domaine de la santé afin d’éviter le pire pour le pays.

“Moi et mes collaborateurs sommes prêts à apporter notre modeste expérience à la demande “, annonce ce compatriote.

Mamie Ngondo / MEDIA CONGO PRESS

 

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En campagne électorale à Kananga, chef-lieu de la province du Kasai central, Emmanuel Ramazani Shadary est revenu sur la terre Kasaienne qu’il a réussie  à pacifier  sur instruction du chef de l’Etat Joseph Kabila, pour mettre fin au phénomène terroriste Kamwina Nsapu,  alors qu’il était Vice-Premier ministre, ministre de l’Intérieur et Sécurité de la RDC. Grâce au changement d’approche, Shadary a fait ce que ses prédécesseurs étaient incapables de faire. Voilà qui a permis au Grand Kasaï  de retrouver la paix  lui arrachée pendant plusieurs mois  par des miliciens opérant sous le label Kamwina Nsapu.

A en croire la Celcom du dauphin, c’est vers 15 heures 53 minutes,  heure de Kananga,  que l’avion qui transportait à son bord Emmanuel Ramazani Shadary, candidat du Front Commun pour le Congo (FCC) à la présidentielle du 23 décembre 2018  a atterri à l’aéroport de Lungandu dans la ville de Kananga, chef-lieu du Kasaï Central.   Le  numéro 13 a été accueilli au bas de la passerelle par le Gouverneur de la province,  Denis Kambayi,  le ministre d’État en charge de l’Economie, Joseph Kapika et le Maire de la ville, Jean Muamba Kantu Nkanjila,  tous cadres du FCC.

Après cet accueil chaleureux,  le cortège de Ramazani Shadary qu’accompagnaient plusieurs personnes,  s’est dirigé sur une distance de 8 kms jusqu’à à la Place Mukengeshabantu,  lieu du meeting où les Kasaiens venus de tous les territoires l’attendaient à bras ouverts. Soulignons que le Kasaï Central est la 19ème province de sa tournée électorale.

Ramazani Shadary revient donc ce mardi sur la terre Kasaienne qu’il a réussie  à pacifier  sur instruction du chef de l’Etat Joseph Kabila, pour mettre fin au phénomène terroriste Kamwina Nsapu,  alors qu’il était Vice-Premier ministre, ministre de l’Intérieur et Sécurité de la RDC. C’est Grâce à lui, que le grand Kasaï  a retrouvé la paix  lui arrachée pendant plusieurs mois  par des miliciens opérant sous le label Kamwina Nsapu.

En effet,  c’est le forum sur la paix,  la réconciliation et le développement organisé du 19 au 21 septembre 2017 par Ramazani Shadary  que les filles et fils de l’espace Grand  Kasaï se sont réconciliés après plusieurs morts causés par cette tragédie macabre.

Au cours de ce forum, Jacques Kabeya Ntumba, le nouveau chef de Bajila Kasanga avait demandé pardon au nom de la famille régnante Kamwina Nsapu à laquelle il appartenait et tous les chefs de l’espace Kasaiens avaient pris l’engagement de ne plus permettre que des crimes odieux soient de nouveau commis dans leur espace.

Aujourd’hui,  voici le réconciliateur et pacificateur revenir  sur la même terre pacifiée hier pour  solliciter les suffrages à  son tour, pour accéder à la magistrature suprême comme cinquième président de la République.  « La main qui donne c’est celle qui reçoit; dit un adage ».  Devant une foule immense venue le remercier  pour la paix retrouvée dans cet espace,  le candidat du FCC a dit être  confiant et convaincu que ses voix aux urnes le 23 décembre  sont  certaines dans cet espace.

Une fois élu, Shadary promet aux Kasaiens  la restauration de l’autorité de  l’État,  la lutte contre les tracasseries routières,  le finissage  des travaux de la centrale hydroélectrique de Katende pour alimenter la province, l’asphaltage de la  voirie de Kananga,  la lutte contre les érosions et la corruption,  la modernisation des bâtiments universitaires afin de mettre dans les  bonnes  conditions les étudiants qui bénéficieront également d’ une bourse d’études.

Aux jeunes, d’ouvrir l’œil et le bon pour protéger les installations de la CENI le jour du vote,  a t- il martelé.  C’est sous les ovations et applaudissements  de l’assistance que cette cérémonie s’est clôturée  en toute beauté.

JMNK

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De passage à Kamituga, dans la province du Sud-Kivu, le Coordonnateur du Comité stratégique du Front Commun pour le Congo (FCC), le professeur Néhémie Mwilanya  a attiré l’attention de la population, lui demandant de n’accorder aucune voix à ceux qui ont accusé le président Kabila de violer la Constitution, en briguant un troisième mandat. Aujourd’hui cette thèse ne s’avère pas juste, le Président de la République ayant décidé d’organiser les élections en désignant Emmanuel Ramazani Shadary pour le succéder.  « Certains leaders ont pris des engagements avec certaines puissances étrangères. Ils ont signé des accords à Genève, à Nairobi et à Johannesburg, pour vendre notre pays. Vous êtes sans ignorer qu’une partie de l’île d’Idjwi ne nous appartient plus. Ils ont promis d’autres terres et des minerais que regorgent notre pays, pour mettre en mal le code minier et notre indépendance économique, a-t-il renchéri. 

Le Coordonnateur du Comité Stratégique du Front Commun pour le Congo (FCC) poursuit la campagne électorale de sa famille politique, dans la province du Sud-Kivu. Ce lundi 17 décembre dernier, Néhémie Mwilanya Wilondja a assisté au meeting organisé au poste d’État de Kamituga, par la candidate numéro 62 du FCC, de la circonscription électorale de Mwenga, Dr Wasso Wabiwa Irène.

Accompagné de Claude Nyamugabo, Gouverneur de Province et Coordonnateur provincial du FCC,  Néhémie Mwilanya a  invité les milliers des militants qui étaient présents au meeting, à voter pour le Candidat numéro 13, à l’élection présidentielle, et aussi à porter leurs choix sur les candidats du Front Commun pour le Congo, plateforme électorale dont Joseph Kabila est l’Autorité morale.

Le professeur  Mwilanya qui est lui-même candidat, à la députation nationale de la circonscription électorale de Fizi, a rappelé aux habitants du territoire de Mwenga que le Kivu est le berceau de la révolution. « Mzee Laurent Désiré Kabila vivait ici chez nous, à Hewa Bora, avant la libération de notre pays, le 17 Mai 1997 », a-t-il rappelé.  Joseph Kabila Kabange, notre Président poursuit- il, qui avait succédé à son père après son assassinat, s’est battu pour reconstruire et réunifié ce pays après plusieurs guerres, entretenues par les ennemis du Congo, connaît le même combat que Lumumba.  « Son péché c’est d’être nationaliste », a-t-il martelé.

Je vous prie de faire attention à plusieurs candidats qui passent par ici, a déclaré le Coordonnateur du Comité Stratégique du FCC. Plusieurs politiciens qui sont opposants, étaient aux côtés de Joseph Kabila, il n’y a pas longtemps. Ils l’ont accusé de violer la Constitution, en briguant un troisième mandat. Aujourd’hui cette thèse ne s’avère pas juste. Le Président de la République a décidé d’organiser les élections en désignant Emmanuel Ramazani Shadary pour le succéder. Il faut leur poser la question: “Pourquoi sont- ils encore à l’opposition” ?

Je vous invite tous à faire attention. « Certains leaders ont pris des engagements avec certaines puissances étrangères. Ils ont signé des accords à Genève, à Nairobi et à Johannesburg, pour vendre notre pays. Vous êtes sans ignorer qu’une partie de l’île d’Idjwi ne nous appartient plus. Ils ont promis d’autres terres et des minerais que regorgent notre pays, pour mettre en mal le code minier et notre indépendance économique, a-t-il renchéri.

C’est pour toutes ces raisons que je vous invite à voter pour Emmanuel Ramazani Shadary comme candidat Président.  « Il va assurer la souveraineté et les intérêts de la RDC », a-t-il soutenu. Votez également les candidats à la députation nationale pour qu’il ait la majorité à l’Assemblée Nationale. Je vous prie de voter aussi les candidats à la députation provinciale du FCC pour qu’ils soient nos représentants au Sénat, et aussi puisque ces députés provinciaux choisiront les prochains gouverneurs des Provinces.

Prenant la parole à son tour, la Candidate numéro 62, Dr Wasso Wabiwa Irène, a remercié sa base qui l’a honoré ce lundi à Kamitunga. « Vous m’avez témoigné votre soutien. Malgré la pluie, vous êtes là pour moi », a-t-elle déclaré sous les applaudissements et les cris de joie de ses militants, vêtus de blanc et transportant les drapeaux du Partis des Congolais pour le Développement, son parti politique.

Et de compléter « je n’ai pas grand-chose à vous dire. Le 23 décembre, votez pour moi et pour Emmanuel Ramazani Shadary », a-t-elle conclu.  Notons que les militants et autres sympathisants venus nombreux ont bravé la pluie. Après le meeting, ils ont chanté et esquissé quelques pas de danse avec leur candidate, au rythme Rega.

JMNK