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Alors qu’ il fait partie de la délégation officielle qui accompagne Joseph Kabila à New-York pour la traditionnelle assemblée générale de l’ ONU dont les travaux s’ ouvrent le mardi prochain, Barnabé Kikaya, conseiller diplomatique du chef de l’État congolais s’ est vu confier  une autre mission, convaincre Washington  à renoncer aux résolutions des sanctions ciblées en chantier à la chambre des représentants  contre certains dirigeants congolais.

Les militants du Rassemblement des forces politiques et sociales acquises au changement  seront bel et bien dans les rues de Kinshasa, le  lundi, 19 septembre 2016. Mais contrairement au plan initial, les manifestants en  ne se rendront plus en masse au siège de la Ceni pour y observer un sit-in.

Lors d’ une réunion tenue ce samedi au siège du parti Fonus, Rassemblement et gouverneur de la ville se sont plutôt accordés sur l’ organisation d’ une marche pacifique qui sera sanctionnée par un meeting. D’après l’ accord trouvé entre les organisateurs et l’ hôtel de ville,  la marche devra partir de l’ échangeur de limeté à la 17émè rue pour chuter sur le boulevard triomphal.

Satisfecit pour André Kimbuta qui salue sa politique de proximité. « J’avais promis le jeudi de venir vers les opposants pour la mise au point. Il faut aller vers les administrés. Ils sont tous administrés », déclare le gouverneur de la ville qui se réjouit du consensus qui s’ est dégagé entre les deux parties.

« C’est seulement aujourd’hui que je confirme que je vais prendre acte de la marche du Rassemblement. Nous nous sommes mis d’accord que la marche partira de la place de l’ Echangeur jusqu’au Boulevard Triomphal », explique t-il.

Le compromis trouvé prévoit que les manifestants rempruntent les avenues de la Libération, Kalembelembe et Kasavubu avant de déboucher sur le point de chute. Seule, une petite délégation du rassemblement a été autorisée à se rendre au siège de la Ceni  après la manifestation pour y déposer le mémorandum.

André Kimbuta qui tient à l’ itinéraire convenu place ainsi les organisateurs devant leurs responsabilités. « Il n’ y aura pas de sit-in», insiste le gouv. Le plus important renchérit-il, c’ est « la marche et le meeting qui seront organisés ».

Jean Pierre Kayembe

 

 

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Me Azarias Ruberwa, lors de l’investiture du Gouvernement Samy Badibanga à l’Assemblée nationale

Le 10 août 2017, pour la sixième fois, la République Démocratique du Congo va célébrer la Journée Africaine de la Décentralisation et du Développement Local (JADDL).  C’est ce qu’indique un communiqué signé par Me Azarias Ruberwa, ministre d’Etat, ministre de la Décentralisation et Réformes Institutionnelles. « Cette journée a été instaurée par l’Union Africaine en 2012 à l’initiative de la Conférence Africaine de la Décentralisation et du Développement Local «CADDL », dont la République Démocratique du Congo est membre et cosignataire des statuts », indique le communiqué, qui ajoute que la Conférence Africaine de la Décentralisation et du Développement Local est le Comité Technique Spécialisé de l’Union Africaine en matière de la Décentralisation et du Développement Local. Elle regroupe les Ministres africains en charge de la Décentralisation et du Développement Local.

Pour le ministre d’Etat, ministre de la Décentralisation et Réformes Institutionnelles, la célébration de la journée Africaine de la Décentralisation et du Développement Local tire son origine des dispositions de l’article 20 de la Charte Africaine des valeurs et principes de la Décentralisation, Gouvernance Locale et Développement Local adoptée le 27 juin 2014, demandant aux Etats Parties de commémorer la Journée Africaine de la Décentralisation et du Développement Local le 10 Août de chaque année pour promouvoir ces valeurs et principes comme préalables à l’amélioration des conditions de vie de l’ensemble des peuples du continent.

Disons que la commémoration de l’édition 2017 de la Journée Africaine de la Décentralisation et du Développement Local est dédiée à la jeunesse du Continent.  C’est ainsi que le thème général de la Journée Africaine de la Décentralisation et du Développement Local édition 2017 est le suivant: « Egalité des chances, autonomisation socio-économique et participation des jeunes à la gouvernance locale et au développement local en Afrique ».

Le thème général est explicité par les sous-thèmes ci-après: Sous-thème 1: Etat des lieux de la « Décentralisation» en RDC; Sous-thème 2: Participation de la jeunesse africaine à la gouvernance locale; Sous-thème 3 : L’économie numérique, moteur du progrès socio-économique des jeunes en Afrique. Ce thème est inspiré par l’Agenda 2063 et la Charte Africaine sur les valeurs et principes de la Décentralisation, Gouvernance Locale et Développement Local.

A en croire Me Azarias Ruberwa, la célébration de la Journée africaine de la Décentralisation et du Développement Local en République Démocratique du Congo le 10 Août 2017 sera marquée par deux activités suivantes, outre la diffusion du présent communiqué : Le 09 Août 2017 à 10 heures, l’organisation de la matinée d’information et de sensibilisation des jeunes sur le thème général : Egalité des chances, autonomisation socio-économique et participation des jeunes à la gouvernance locale et au développement local en Afrique. Et le 10 Août 2017, le message radio télévisé du ministre d’Etat, ministre de la Décentralisation et Réformes Institutionnelles.

(JMNK)

Après la présentation par la Police des assaillants attribuables à la milice Kamwina Nsapu, ayant semé la panique dans la Ville province de Kinshasa, qui sont encore ceux-là qui ont mis à feu et sang la capitale et certains coins de la province du Kongo Central ? Que recherchent tous ces gens en s’attaquant à la Police et aux infrastructures, symboles par excellence de l’Etat congolais ? Les Congolais qui, en leur grande majorité vivent au taux du jour, ne gagneraient rien à travers cette insécurité  qui plonge de plus en plus la capitale dans l’incertitude. Preuve que les nouvelles autorités de la Police ont du pain sur la planche, surtout qu’elles doivent prouver de quoi elles sont capables, en protégeant les Congolais et leurs biens.

Sinon, à en croire le Colonel Mwanamputu, porte-parole du Commissaire général de la Police nationale congolaise, hier lundi 7 août 2017, la situation a été calme à Kinshasa jusque vers 9 heures 50 minutes, les maisons de commerce et marchés avaient ouvert et la population vaquait librement à ses occupations. Brusquement en certains endroits de la capitale, notamment à l’UPN, Selembao, N’Djili à Tshangu, Matete à Mont Amba, des hors la loi portant des bandeaux rouges autour de la tête ont surgi, récitant des prières et entonnant des slogans hostiles à l’encontre des institutions légalement établies.

Et de renchérir que ces assaillants Bundu dia Mayala, armés de calibre 12 et armes blanches, se sont attaqués aux forces de l’ordre qui, professionnellement ont réussi à rétablir l’ordre public à moins de deux heures, en les dispersant à coup de gaz lacrymogène. Et à titre de bilan humain provisoire, il a malheureusement été déploré à ce stade quelques pertes en vies humaines, au total 12 personnes fauchées par balles perdues dont 4 assaillants à Saint Thérèse (N’Djili), 2 au Marché de la liberté sur le boulevard Lumumba, 1 à Matete et 5 autres au niveau de Selembao.

En termes des dégâts corporels, le communiqué de la Police fait état du lynchage par les assaillants du Commissaire supérieur adjoint Dibwa,  Commandant du Commissariat de Selembao Nord qui est dans un état de santé très critique et de l’assassinat du Commissariat principal Ilunga, commandant en second de l’escadron Mobile d’intervention Funa. En plus, un élément de la Police militaire a reçu un coup de calibre 12 à bout portant du côté des organes génitaux.

Par ailleurs, des interpellations administratives de quelques assaillants ont été faites et sont à présent en train d’être verbalisés. Actuellement, la situation est sous contrôle et la vie a repris son cours normal. Au Kongo Central, indique la même source, tout est redevenu calme et c’était aux environs de 9 heures que de façon synchronisée au niveau de Boma, les assaillants se sont dirigés jusqu’à la Mairie où ils ont été dispersés sans incident. A Matadi, l’aile dure a retrouvé sur son parcours les forces de l’ordre et lors des affrontements, l’on a déploré 2 morts du côté des inciviques et 3 policiers grièvement blessés.

Quel est l’élément déclencheur ou le détonateur ?

Cette situation qui a pris tout le monde de cours mérite quand même d’être éclaircie, d’autant plus que la population voudrait savoir, quel a été le déclencheur, ou le détonateur ? Et ce, au vu de la débandade constatée dans plusieurs communes de la ville de Kinshasa et dans certains coins de la province du Kongo Central.

D’où sont venus les adeptes de  Bundu dia Mayala, parti politique mystico-religieux appartenant à Ne Mwanda Nsemi, lui-même libéré de la prison de Makala par ses adeptes ? Ce mouvement entre-t-il dans le cadre de ceux qui ont été alignés par le Rassemblement/Aile Félix Tshisekedi à l’occasion de son 2ème congrès ?

Au regard des informations en notre possession, c’est à partir du 1er août 2017 que les actions du Rassemblement ont été lancées, incluant  l’appel à observer 2 journées ville-morte les mardi 8 et mercredi 9 août ; l’organisation des meetings populaires le dimanche 20 août 2017 dans les chefs-lieux et autres grandes villes des provinces ainsi que dans les 4 districts de la ville de Kinshasa.

A partir 1eroctobre 2017 : à défaut pour la CENI de convoquer le corps électoral pour les scrutins électoraux prévus au 31 décembre 2017 au plus tard, les actions suivantes sont prévues et seront d’application jusqu’au départ de Joseph Kabila du pouvoir et du bureau de la CENI : appel au peuple congolais de ne plus reconnaître Joseph Kabila comme Président de la République et à la communauté internationale d’en faire autant ; seating devant les bureaux de la CENI sur toute l’étendue de la République pour le départ de Corneille Naanga et de tout son Bureau ; lancement des actions de désobéissance civile en vertu de l’article 64 de la Constitution, notamment ne plus s’acquitter de tout impôt, taxes, redevances publiques, factures de la SNEL, REGIDESO …

Sentant le danger venir suite à des appels des ennemis de la paix à la désobéissance civile dans la ville province de Kinshasa par certains acteurs politiques de l’Opposition, le Vice-Premier ministre et ministre de l’Intérieur et Sécurité, Emmanuel Ramazani Shadary, a lancé le samedi dernier la campagne de sensibilisation des chefs des rues de Kinshasa sur la vigilance et la promotion des valeurs morales et patriotiques.

Dans la grande salle du Zoo de Kinshasa, après avoir survolé l’évolution du processus politique depuis 2016 à ce jour, le patron de la territoriale a sensibilisé plus de mille chefs des rues et tous les bourgmestres de la capitale qui ont pris part à cette cérémonie. A l’occasion, ils ont reçu des instructions précises pour contribuer au maintien de l’ordre public dans la capitale congolaise, et ce, face à  la montée du banditisme urbain.

Face aux difficultés de communication exprimées par les chefs des rues, sur place, le VPM a remis une enveloppe pour l’achat de 2000 téléphones portables pour renforcer les capacités des animateurs des entités de base. Ce, avant d’annoncer la régularisation de la situation relative aux frais de fonctionnement desdites entités.

(JMNK)

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Après son enrôlement devant témoins dans son fief électoral, l’honorable président de l’Assemblée nationale profite de son séjour pour mobiliser tous ses frères et sœurs d’Idiofa quant à l’effectivité des élections à venir à tous les niveaux. Aubin Minaku les a également sensibilisés de faire comme lui, c’est-à-dire, s’enrôler massivement afin de garantir à ce deuxième territoire du pays sur le plan démographique, un véritable poids politique sur l’échiquier national. Le leader d’Idiofa a également répondu aux désidératas sociaux des différents secteurs de sa contrée.

Séjournant depuis jeudi 03 août dernier dans le territoire d’Idiofa, sa terre natale qui se trouve être également sa base électorale, le président de l’Assemblée nationale et Secrétaire général de la Majorité présidentielle, M. Aubin Minaku Ndjalandjoko, mène plusieurs actions d’envergure dans cette partie du pays. Notamment, sur le plan politique, social et du développement communautaire, humanitaire et caritatif.

Après la ville d’Idiofa, Aubin Minaku vient de passer tout son week-end dans le grand Nord du territoire du même nom. Et tout au long de la route, Aubin Minaku était ovationné par des foules immenses de la population.  Première escale, le secteur de Kalanganda, situé à près de 65 kilomètres de la ville d’Idiofa. Puis, le village Bea-Nsiengwon, le secteur de Bulwem, pour aller finir la journée dans la cité de Kalo dans le secteur de Sedzo où il a passé la nuit.

Partout où il est passé, l’accueil était plus que délirant. Tous les secteurs, toutes les cités, toutes les communes rurales, étaient en ébullition au passage de ce leader incontournable et incontestable du territoire d’Idiofa.Les jeunes euxl’ont accueilli parfoisavecdes caravanes motorisées. A chaque entrée de la cité, le député réélu d’Idiofa a marché à pied, accompagné des autorités locales, mais surtout, avec des chaleureuses masses populaires très enthousiastes, jusqu’aux lieux divers réservés pour son accueil, le rassemblement et son meeting. Du jamais vu auparavant dans ce territoire.

Partout on entonnait l’unique chanson fétiche : « Kabila liboso, Minaku na sima », qui se traduit littéralement en français, « Kabila devant ; Minaku derrière ».Des drapeaux des partis politiques couvraient tous les chemins. L’on a noté la présence très remarquée tout au long de la route du CNC (Congrès national congolais), parti cher à l’honorable Pius Muabilu Mbayu Mukala, qui a fait preuve d’une forte mobilisation. Il y avait aussi la présence d’autres grands partis tels que le PPRD, du PALU, de la CCU, de l’AFDC, du MSR, de l’ARC, etc.

Dans des mots de circonstance, les autorités locales ont exprimé la grande joie de tous leurs administrés pour l’honneur que le président de l’Assemblée national a fait à leurs différentes entités à travers ses visites. Surnommé « Nzete ya Malili » (ou l’arbre qui donne la fraicheur, en langue française), Aubin Minaku est remercié partout pour toutes les bonnes actions qu’il a menées dans toutes cesentités.

Le message de Joseph Kabila transmis à la population d’Idiofa

Après des serments des chefs de groupement, Aubin Minaku, en sa double qualité de président de l’Assemblée nationale et Secrétaire général de la Majorité Présidentiel, faisait des meetings en Kikongo ya l’Etat, une des quatre langues nationales la plus parlée du coin. D’abord, il commence par transmettre le message du Président de la République à toutes ces populations d’Idiofa avant de chuter sur les désidératas de chaque contrée. Ainsi, partout ailleurs, il a premièrement rassuré que les élections seront bel et bien organisées. Que personne ne vienne tromper les uns et les autres. Et cela, à tous les niveaux. Il y aura donc des élections provinciales, législatives et présidentielle. Là-dessus, il n’y a plus aucun doute, a-t-il confirmé.

Tous ceux qui déclarent que les élections ne se tiendront pas, a dit l’honorable Minaku, ont des agendas non électoraux. Ils veulent des troubles et le bain de sang. Car ils savent qu’après, il y aura des appels au dialogue à l’issue duquel, le pays va entrer dans des années de transition et les politiciens vont se partager des postes à travers un gouvernement d’union nationale. Et dans tout cela, c’est le peuple qui sera toujours perdant. Mais, le Président de la République Joseph Kabila ne veut pas de ce schéma. Il prôneplutôt la voie des élections démocratiques. La Majorité présidentielle ayant compris cela, se prépare déjà pour les élections.

C’est ainsi qu’Aubin Minaku a exhorté toutes ces populations à se préparer en conséquence pour ces différentes échéances électorales. D’autant plus qu’ils vont devoir élire dans les tout prochains jours, leurs députés provinciaux et nationaux et même unPrésident de la République. Toutefois, Aubin Minaku a rassuré que le Chef de l’Etat Joseph Kabila est déterminé à organiser les élections sur toute l’étendue du territoire national. Mais, qu’elles soient des bonnes élections, desélections démocratiques, inclusives et apaisées. Et non des élections qui amèneront des troubles après.

Par conséquent, il faut que tout le processus électoral puisse se passer en toute sérénité et que toutes les étapes électorales soient bien suivies.Mais aussi, tous les coins et recoins de la République doivent participer à ces élections. L’on ne peut organiser les élections sans le Kasaï. Il faut que l’enrôlement se passe aussi dans le Kasaï qui sort des troubles. Voilà pourquoi, il faut laisser du temps nécessaire à la CENI (Commission électorale nationale indépendante), qui est l’organe technique en cette matière électorale, afin d’organiser ces élections dans les meilleures conditions et dans un délai raisonnable. Raison pour laquelle, il a appelé ses électeurs à la patience.

Et comme la démocratie c’est la loi du nombre, Aubin Minaku a donc sensibilisé toutes les populations du grand Nord d’Idiofa à s’enrôler massivement pour que chaque fille et chaque fils d’Idiofa puisse se munir de sa carte d’électeur. Ce, afin que le territoire d’Idiofa puisse avoir un poids politique assez considérable à la mesure de son statut de deuxième territoire du pays sur le plan démographique, après Lubero au Nord-Kivu, selon les statistiques de 1984. C’est pendant les élections que chaque territoire, chaque secteur va démontrer sa puissance politique, a-t-il dit.

Aubin Minaku a aussi insisté sur la pratique démocratique à tous les niveaux, même dans les foyers.  Puisque, chacun est libre de faire son choix. Il a également prôné l’unité de tous les fils et filles du territoire d’Idiofa. Car, dit-on, l’union fait la force. Et il s’est déterminé à s’impliquer personnellement pour que cette unité soit effective à tout prix.

Aubin Minaku répond aux désidératas de ses électeurs

Signalons que partout ailleurs, chaque entité lui présentait un mémo dans lequel sont contenus les désidératas de chaque population.Pour ce faire, le speaker de la Chambre basse du Parlement fait comprendre d’entrée de jeuqu’il s’engage, en sa qualité de deuxième personnalité du pays, afin que le Chef de l’Etat Joseph Kabila Kabange s’implique pour développement de chaque entité du territoire d’Idiofa.

Et il a promit de tout mettre en œuvre, pour que les désidératas de chaque entité puisse trouver satisfaction.Ainsi, il veut que chaque entité du territoire d’Idiofa puisse être couverte par au-moins un réseau de téléphonie mobile pour faciliter la communication des administrés. Il a de ce faitrassuré quedès son retour à Kinshasa, il va entrer en contact avec les directions des télécoms pour y travailler, se servant ainsi de sa puissance politique.

Dans plusieurs contrées, il y a eu des besoins concernant la desserte en eau potable et en énergie électrique. L’élu d’Idiofa a également promit de trouver solutions à ces problèmes. Quant à la vétusté des infrastructures publiques et d’autres maisons, il a donné des réponses concrètes quant à la réhabilitation des bureaux des secteurs. L’on a également exprimé les besoinsd’autonomisation des Instituts supérieurs pédagogiques (ISP), comme à Kalanganda, Bea-Nsiengwon, et Bulwem. Là-dessus, sil a aussi promit de trouver très rapidement des solutions et de prendre langue avec les autorités nationales de tutelle.

De même pour la situation épineuse de la mécanisation des fonctionnaires de l’Etat. Surtout qu’il était accompagné dans sa délégation, de l’inspecteur général de la territoriale qui est un fils du terroir. Partout où il est passé, le leader d’Idiofa a fait des cadeaux de cœur pour satisfaire les mamans avec des enveloppes, et les jeunes avec des équipements de sport. Lui aussi en retour, a reçu beaucoup cadeaux en guise de reconnaissance de la population à son égard.

Même dans la nuit profonde, la population a attendu Aubin Minaku

Poursuivant son périple dans le grand Nord d’Idiofa, le président de l’Assemblée nationale a repris son chemin le dimanche matin à partir de la mission catholique Mbeo. Ici, comme partout ailleurs, il a répercuté le même message du Chef de l’Etat sur les élections et la démocratie. Aussi, a-t-il promit sa contribution pour aider tant soit peu, aux difficultés qu’éprouvent l’ISDR-Mbeo et surtout pour la concrétisation de la bibliothèque virtuelle de cette deuxième grande école du grand Bandundu.

Bravant les difficultés de la route très sablonneuses dans des savanes comme dans des forêts, Aubin Minaku s’est arrêté un moment au village Koreama dans le secteur de Kapia où il a été reçu par le chef coutumier Michel Mentshi. Il a profité aussi pour faire passer le message du Président de la République. Il a apporté le même message dans les cités de Mangaï 2 et à Mangaï 1.Egalement, au village Ipamu, le président de l’Assemblée nationale a rassuré la tenue des élections et a promit la réhabilitation de la route Ipamu – Dibaya Lubwe et d’appuyer son hôpital.

A quelques kilomètres de là, l’élu du territoire d’Idiofa Aubin Minaku a conféré avec la masse populaire à Bulumbu et il a fait passer le même message du Chef de l’Etat sur les élections. C’est en début de soirée qu’il a foulé ses pieds dans la commune rurale de Dibaya Lubwe.  Accueilli comme un roi encore ici, le président de l’Assemblée nationale a donné le même message et a sensibilisé la population à l’enrôlement massif en vue des prochaines élections. Il a également promit de répondre positivement aux désidératas de cette population qui a besoin d’un émetteur radio.

Quittant cette cité dans la nuit, Aubin Minaku a été accueilli nuitamment par une grande foule à Kapia secteur, à plus ou moins 110 kilomètres de la ville d’Idiofa, où il s’est livré au même exercice que dans les toutes les autres entités. Et il a terminé cette tournée difficile au secteur de Banga vers 1 heure du matin. L’étonnant est que la population n’a pas dormi pour accueillir chaleureusement leur leader.Chose qui n’a jamais été faite auparavant. Incroyable mais vrai.

Et pour ce geste aussi aimable, le président de l’Assemblée nationale a offert à cette population deux vaches. Et malgré la nuit, il a tenu son meeting devant le bureau administratif du secteur. Au cours duquel, il a fait le message du Chef de l’Etat. Lequel message est bien reçu partout où Aubin Minaku est passé. Et la population a exprimé sa gratitude par des applaudissements et acclamations.

(Depuis Idiofa, Lepetit Baende)

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Le tribunal militaire garnison de Tshikapa dans la province du Kasaï a condamné lundi 31 juillet deux militaires pour le viol de deux mineures. D’après des sources locales, les condamnés sont deux soldats des Forces armées de la RDC qui étaient placés au check-point de Mbumba sur la route Tshikapa-Tshimbinda pour empêcher l’avancée des miliciens de Kamuina Nsapu.
En juin dernier, ils ont intercepté deux filles âgées de 14 et 15 ans qui se rendaient à Tshimbinda, avant de les violer dans la brousse. De retour à Tshikapa, les jeunes filles ont informé leurs parents qui ont saisi la justice.
A l’issue d’un mois de procès devant le Tribunal Militaire Garnison de Tshikapa, les deux militaires dont Bakana Ntumba et Bongonda Bongonda Dieu merci ; tous des caporaux écopent chacun de 7 ans de prison. Chacun doit également payer une amende de 4.000 dollars américains au titre de dommages et intérêts.
Les deux condamnés disposent de cinq jours pour faire appel. L’ONG Association pour la défense des droits des enfants et femmes opprimés (ADEDEFO), qui s’est constituée partie civile en partenariat avec FDSS,  salue le verdict même si les violeurs sont condamnés avec les circonstances atténuantes. Le ministère public avait requis vingt ans d’emprisonnement.
Selon la coordinatrice ADEDEFO, Philomène Mwamba, ce type de verdict peut dissuader les potentiels auteurs de viol et réduire cette pratique dans la région.  Elle note ces derniers mois l’augmentation sensible des cas de violence sexuelle  qui sont commis par les éléments des forces de l’ordre. ADEDEFO remercie FDSS pour son accompagnement dans cette lutte visant à réduire tant soit peu les cas des viols au Kasaï en général et Tshikapa en particulier. Les deux victimes ont été prises en charge médicale par ADEDEFO et ses partenaires. Un geste salué par les jeunes filles du Kasaï qui vivent sous stress dans cette zone opérationnelle ; dans laquelle les inciviques et hors la loi estiment que tout est permis.

(Lukengu Laurent/Tshikapa)

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 Il a plu au Commandant suprême des forces armées et de la police nationale Congolaise, le Chef de l’Etat Joseph Kabila Kabange, par ordonnance présidentielle,  de porter au commandement du commissariat provincial de la police nationale congolaise du Kasaï,  le Commissaire divisionnaire adjoint Dieudonné Odimba Okito. 

Le remplaçant de Stéphane Egwake a rejoint son poste samedi 05 août 2017 en provenance de Kinshasa par avion. Toutes les dispositions sont prises pour un accueil digne de son rang. Officiers supérieurs, officiers, sous officiers et éléments de la police nationale Congolaise, toutes les unités confondues, sous le commandement du Commissaire supérieur Jean-Pierre Bahati, assumant les fonctions du commandant commissariat ad intérim, sont arrangés pour rendre honneurs au tout nouveau Patron de la  PNC/Kasai. Au rang des officiers supérieurs,  deux colonels des forces armées, Bertin Mpuntela et Alain Kiwewa venus saluer leur nouveau collaborateur.

Honneurs  militaires et salutations des officiers terminés, le nouveau commandant de la PNC/Kasaï se livre à la presse et dévoile sa politique de commandement

L’homme vient poursuivre l’œuvre entreprise par son prédécesseur, a-t-il indiqué. Selon le Général Dieudonné Odimba Okito, la population du Kasaï vient d’être traumatisée par les tueries et exactions horribles orchestrées par les miliciens Kamuina Nsapu. Et ce traumatisme mérite  une thérapie. Cette thérapie est une police de proximité et disciplinée, fait savoir ce vieux routier de la police nationale congolaise. A la question de savoir, de quelle manière va-t-il gérer le commissariat provincial du Kasaï qui compte plusieurs policiers non payés, d’autres sans matricule? Dieudonné Odimba invite les policiers de son ressort à la discipline et au respect strict des principes régissant les éléments de l’ordre. Le non payement étant un problème général pour le pays, la solution arrive progressivement et cette question ne dédouane pas les policiers du Kasaï de la mission de la police, celle de maintenir l’ordre et de protéger la population et ses biens.

 Le commissaire divisionnaire adjoint et commandant commissariat provincial de la PNC/kasai est ovationné par les épouses des policiers. Ces dernières, à travers les chants et pas des danses saluaient l’arrivée de celui là ; qu’elles considèrent comme Père, en disant papa aye nzala esili …

 Selon les indiscrétions, le Général Dieudonné Odimba Okito n’est pas né de la dernière pluie. L’homme a une expérience dans le maintien de l’ordre, de la discipline et  de la protection des personnes et des biens, pour avoir rendu des services loyaux à la nation dans plusieurs provinces. La confiance placée en lui par le chef de l’Etat est un témoignage qui parle. Le terrain étant déjà balisé, Odimba Okito, doit faire preuve de son expérience pour asseoir la discipline au sein de la PNC/Kasaï où les tracasseries dans certaines unités ont élu domicile.

Son prédécesseur laisse derrière lui, un bilan très positif, telle la collaboration parfaite avec la population. Egwake était d’une grande importance pour les wewa qui assurent le transport en commun. La réhabilitation des locaux du commissariat provincial et du détachement PCR, question de placer ces agents dans les meilleures conditions de travail, sont entre autres traces de Stéphane Egwake. La population attend voir Dieudonné Odimba sur les  pas de son prédécesseur.

(Lukengu Laurent/Tshikapa)

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En prévision de la rencontre Diables Rouges-Léopards comptant pour les éliminatoires de la 8ème édition de Championnat d’Afrique des Nations phase aller prévue le vendredi 11 Août à Kinkala, le ministre  des Sports a rassemblé hier en début d’après-midi dans son cabinet les délégués des structures de soutien aux Léopards qui ont de tous les temps accompagné les fauves de la RdC .

Il était essentiellement question d’arrêter des stratégies pouvant contourner tous les pièges et stratagèmes éventuels pouvant empêcher les supporters venus de Kinshasa de  jouer pleinement leur rôle de 12ème homme.

Le ministre n’a ainsi exigé qu’une équipe d’avance de cinq ou six personnes soit immédiatement constituée et qu’elle quitte dès cet après-midi Kinshasa pour Brazzaville. Cela, dans le but de déterminer et d’harmoniser avec les services migratoires de Brazzaville, les deux capitales les plus rapprochées du monde.

Un consensus a été trouvé. La forte délégation de supporteurs RdCongolais appelée à traverser le pool Malebo effectuera le voyage le jour du match et partira à la première occasion ou traversée.

Il fallait arrêter le nombre de supporters désireux d’effectuer le voyage, leur prise en charge en termes de billets d‘entrée au stade, du déplacement des animateurs qui apportent la saveur à l’événement.

Sur place, toujours avec le concours du ministre des Sports,  le poids de  cette délégation et éventuellement une petite collation pour un rapide casse-croute avant d’entrer au stade. Le voyage s’effectuera le jour du match. Les voyageurs retenus figureront sur une liste unique extempiée d’un visa collectif.

L’équipe d’avance aura également mission de parler avec le ministre Congolais, afin d’éviter aux RdCongolais les désagréments survenus les années antérieures. Les Kinois avaient été violentés, certains d’entre eux tabassés par les agents de la police, qui étaient pourtant censés les protéger. Les autorités Congolaises ont donc intérêt que le match se joue dans la quiétude surtout qu’il s’agit de la manche aller et que le retour se jouera au stade des Martyrs.

Une rencontre de telle envergure devait être considérée comme une fête qu’elle qu’en soit le résultat.

La délégation partira de Kinshasa le jour du match c’est-à dire le vendredi 11 aout à 9 hoo. Elle installera ses pénates dans les parages immédiats du Stade omnisport de Kinkela où elle accèdera dès l’ouverture de cette arène.

Aussitôt le match terminé, les Kinois s’engouffreront dans les bus qui les avaient transportés et rentreront à Kinshasa faire la fête.

(Fernand Mukaku Lalabi CP)