Un compatriote congolais, le Docteur Parfait Salebongo est victime de l’injustice en Belgique, pays de vieille démocratie et qui sert d’exemple à plusieurs pays sous-développés. En effet, une réclamation de ses honoraires amputés illégalement sans aucune base légale depuis plusieurs mois par le Directeur médical (DM), lui a valu une rupture abusive et unilatérale de son contrat, en date du 09 mai 2017. Contre toute attente, le tribunal du travail, saisi le 28 novembre 2011, rendit le 22 mai 2012 son jugement en condamnant Dr P.E. Salebongo qui interjeta appel de cette décision contestée. Et la Cour d’Appel rendit successivement deux arrêts de référé contradictoires en changeant entre-autres les qualités du Directeur médical qui devint directeur général médical… C’est avec ces trois décisions de la juridiction du travail que se fondent sur les dommages demandés par les directeurs des Hôpitaux Iris Sud (HIS) valant plus de huit mille euros. Ce sont donc là les créances que les avocats de ces directeurs des HIS demandent au Dr Salebongo de payer. Comme on peut bien s’en rendre à l’évidence, ce sont des décisions fabriquées de toutes pièces, dans l’intention de ravir la maison de ce Congolais.
Un Congolais, en la personne de Docteur Parfait Salebongo est entrain de vivre le martyr en Belgique, sa seconde patrie. Pendant que la justice élève une nation et qu’elle est un rempart pour les pauvres, ce médecin congolais est entrain de vivre le contraire. En effet, tout a commencé le jour où il a réclamé ses honoraires amputés illégalement sans aucune base légale depuis plusieurs mois par le Directeur médical (DM), le directeur générale (DG) des Hôpitaux Iris Sud (HIS) rompit unilatéralement le 09 mai 2017 à l’initiative du DM le contrat de collaboration entre Dr P.E. Salebongo et les HIS avec un préavis d’abord de 4 mois puis rectifié à six mois relativement aux dispositions statutaires.
Couvert par une assurance en protection juridique, la société d’assurance demanda en date du 18 mai 2011 à l’avocat de Salebongo de le défendre. Pour questions de conflits d’intérêts d’après cette assurance, la protection juridique a été refusée plus tard au Dr P.E. Salebongo. Les deux directeurs finiront par faire appel à la police en date du 01 décembre 2017, soit à l’expiration de leur préavis pour interdire au Dr P.E. Salebongo l’accès aux HIS.
Le tribunal du travail, saisi le 28 novembre 2011, rendit le 22 mai 2012 son jugement en
condamnant contre toute attente le Dr P.E. Salebongo qui interjetant appel de cette décision contestée. Et la Cour d’Appel rendit successivement deux arrêts de référé contradictoires en changeant entre-autres les qualités de Directeur médical qui devint directeur général médical…C’est avec ces trois décisions de la juridiction du travail que se fondent les dommages exorbitants demandés par les directeurs des HIS, valant plus de huit mille euros !!! : Ce sont là les créances que les avocats de ces directeurs des HIS demandent au Dr Salebongo de payer, soit des décisions fabriquées de toutes pièces par des réseaux maffieux, dans le but de ravir sa parcelle et la mettre en vente aux enchères.
Un crime parfait
En guise de couronnement à ce qui ressemble bien à un «crime parfait», le docteur B. Denef, Médecin-chef, entre dans ce jeu pour le moins nauséabond. Dans une lettre recommandée datée 25 novembre 2011, Denef écrit à Salebongo : «Je suis informée d’un problème survenu ce 24 novembre 2011 dans le service de dialyse rénale du site hospitalier Joseph Bracops. Vous auriez quitté le service alors que 16 patients étaient en cours d’hémodialyse, sans avoir prévu de remplacement par un autre médecin». «Si ces faits s’avéraient réels, ajoute le médecin-chef, cet abandon de poste constituerait une faute grave étant donné que la surveillance des patients en cours de traitement aurait été interrompue et de ce fait vous n’auriez pas assuré la continuité des soins». Et de conclure : «(…), je souhaite vous entendre dans vos explications et ce dans les plus brefs délais et vous convoque à cet effet en mon bureau sis rue Baron Lambert n°38 à 1040 Bruxelles, ce lundi 28 novembre 2011 à 17 h. Je compte sur votre présence. (…)». Lundi 28 novembre. Il est 17h15 lorsque le “docteur Parfait” reçoit un appel téléphonique du médecin-chef Denef qui feint de s’étonner de son absence au rendez-vous. Après vérification de l’historique de l’envoi à la Poste, il s’avère que la lettre recommandée du docteur B. Denef a été postée le même lundi 28 novembre… à 18h6’. A propos de son absence à son poste le 24 novembre, Salebongo d’expliquer : “Ce jour là, je devais me rendre au Conseil d’Etat. Aucun patient n’a été mis en danger pour la simple raison qu’un collègue avait pris le relais jusqu’à mon retour. C’est une pratique courante entre médecins”.
Toutefois, le 17 février 2017, le tribunal des Saisies rendit une ordonnance avec les frais à payer pour la saisie immobilière en raison de plus ou moins 8000 euros ; mais au lieu de signifier cette décision, les avocats des HIS et le notaire fabriquèrent une décision du 31 mars 2017 dans laquelle un des avocats des HIS devint l’avocat du Dr Salebongo et la banque, créancière principale fut absente. Par cette décision parallèle du 31 mars 2017 ne faisant allusion qu’à la désignation du notaire, les avocats des HIS et le notaire voudraient pour 8000 euros (somme payée via l’huissier Leroy de Bruxelles) vendre par l’huissier SACRE de Koelkelberg la maison qui, en 2003 a été achetée à 329000 euros, pour 300 200 euros. Etonnant quand même !
A travers ce récit, tout le monde peut bien se rendre compte que des faux ont été commis dans ce dossier par les instances suivantes : la Cour de cassation belge, les Cours d’Appel et du Travail de Bruxelles, le Tribunal de 1ère Instance belge avec son président, le parquet général de Bruxelles, l’Ordre des médecins, le Barreau de Bruxelles qui a radié mon avocat…
On se trouve en plein surréalisme dans cette affaire qui oppose le docteur Parfait Salebongo à la direction des Hôpitaux Iris-Sud. Question : En convoquant ce médecin le 28 novembre à son bureau afin de l’entendre, le médecin-chef B. Denef pouvait-elle ignorer que le directeur général des «HIS», Daniel De Mey, avait déjà notifié au même médecin un préavis d’une durée de quatre mois prenant cours le 1er juin 2011 et que le licencié - comme le précisait De Mey - serait «libre de toutes obligations envers HIS à la date du 1er octobre 2011? Comment ne pas conclure, avec le site internet congoindépendant.com, dès lors, que le docteur Parfait Salebongo Ebwadu est victime d’un… « Crime parfait» mené par quelques voyous à col blanc?
(JMNK)