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Alors qu’ il fait partie de la délégation officielle qui accompagne Joseph Kabila à New-York pour la traditionnelle assemblée générale de l’ ONU dont les travaux s’ ouvrent le mardi prochain, Barnabé Kikaya, conseiller diplomatique du chef de l’État congolais s’ est vu confier  une autre mission, convaincre Washington  à renoncer aux résolutions des sanctions ciblées en chantier à la chambre des représentants  contre certains dirigeants congolais.

Les militants du Rassemblement des forces politiques et sociales acquises au changement  seront bel et bien dans les rues de Kinshasa, le  lundi, 19 septembre 2016. Mais contrairement au plan initial, les manifestants en  ne se rendront plus en masse au siège de la Ceni pour y observer un sit-in.

Lors d’ une réunion tenue ce samedi au siège du parti Fonus, Rassemblement et gouverneur de la ville se sont plutôt accordés sur l’ organisation d’ une marche pacifique qui sera sanctionnée par un meeting. D’après l’ accord trouvé entre les organisateurs et l’ hôtel de ville,  la marche devra partir de l’ échangeur de limeté à la 17émè rue pour chuter sur le boulevard triomphal.

Satisfecit pour André Kimbuta qui salue sa politique de proximité. « J’avais promis le jeudi de venir vers les opposants pour la mise au point. Il faut aller vers les administrés. Ils sont tous administrés », déclare le gouverneur de la ville qui se réjouit du consensus qui s’ est dégagé entre les deux parties.

« C’est seulement aujourd’hui que je confirme que je vais prendre acte de la marche du Rassemblement. Nous nous sommes mis d’accord que la marche partira de la place de l’ Echangeur jusqu’au Boulevard Triomphal », explique t-il.

Le compromis trouvé prévoit que les manifestants rempruntent les avenues de la Libération, Kalembelembe et Kasavubu avant de déboucher sur le point de chute. Seule, une petite délégation du rassemblement a été autorisée à se rendre au siège de la Ceni  après la manifestation pour y déposer le mémorandum.

André Kimbuta qui tient à l’ itinéraire convenu place ainsi les organisateurs devant leurs responsabilités. « Il n’ y aura pas de sit-in», insiste le gouv. Le plus important renchérit-il, c’ est « la marche et le meeting qui seront organisés ».

Jean Pierre Kayembe

 

 

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François Nzekuye Kaburabuza (Député national, initiateur de la motion incidentielle)
C’est par lui que la motion incenditielle a été initiée pour rejeter la pétition dirigée contre le secrétaire Général de la Majorité présidentielle, plutôt au Président de l’Assemblée nationale. Il a estimé que la pétition des 52 députés nationaux de l’opposition était vexatoire et téméraire. En effet, tout au seuil du développement des moyens de leur action, les pétitionnaires ont tenu à souligner avec force, en usant aussi bien des lettres en italique qu’en caractères gras, qu’ils entendaient agir contre l’honorable Aubin Minaku en sa  qualité de Secrétaire Général de la Majorité Présidentielle. Nous sommes en présence d’une action mal dirigée. Ce n’est pas le Président de l’Assemblée nationale qui admet le recours aux mécanismes des motions incidentielles prévus aux articles 69 et 70 du Règlement intérieur, mais bien plutôt l’Assemblée plénière à l’issue d’un vote démocratique.

Henri Thomas Lokondo Yoka (Député national/MP)

Souvent mal compris, du fait de son esprit indépendant au sein de la Majorité présidentielle. Pourtant, l’élu de Mbandaka, dans l’Equateur exerce son mandat parlementaire qui voudrait que dans l’hémicycle du temple de la démocratie, le débat règne en son sein. C’est toute son inquiétude et combat au sein de la chambre législative pour ne pas faire croire à l’opinion que l’Assemblée nationale est devenue une caisse de résonnance du pouvoir. Ayant pris la parole lors de la motion incidentielle, Henri Thomas Lokondo justifie sa prise de position non pas qu’il soit en faveur de la pétition, mais relever au cours d’un débat les insuffisances de ladite pétition. Il l’a dit en ces termes : J’ai suivi attentivement la motion incidentielle de notre collègue

. Sij’ai décidé d’aller à l’encontre de cette motion c’est pour une question simple. Monsieur le Président, je crois l’avoir dit l’autre jour, user, encore que ce qu’il a dit dans sa motion, certaines choses sont discutables. J’ai lu la pétition des amis de l’opposition. Moi, ça me gêne Monsieur le Président, parce que, user de cette manière-là comme je l’avais dit la foi passée, c’est donner l’impression que nous avons peur du débat. Moi, j’avais des choses à dire sur la pétition et tout ce qui est dit dans la pétition n’est pas juste. Monsieur le Président, comme je l’avais dit l’autre foi, c’est une question de responsabilité : laissez les gens débattre des choses d’abord parce que la motion incidentielle peut intervenir à tout moment. Ici, on est là pour le débat et regardez l’image que nous donnons à la République. On initie une motion de défiance ou toute autre motion, systématiquement, il faut qu’il y ait une motion incidentielle. Moi, je suis un homme de débat et la pétition-là, j’avais des choses à dire pour la combattre. Mais, si on veut continuer de cette manière-là, oui sur le plan du Règlement intérieur, de la loi, on peut avoir raison ; mais sur le plan politique, de l’image même de notre institution, l’image de la République il faut cesser d’interrompre le débat.   

François Bokona Wipa Bondjali (Député national, Président de la Commission PAJ/AN)

La motion a été présentée par le collègue François Nzekuye. Vous devriez savoir les motions de défiance, de censure, les pétitions,  les motions préjudicielles, incidentielles sont prévues par le Règlement intérieur de notre chambre. Dans tous les cas, c’est un droit reconnu  à chaque député de faire toutes les catégories de motions. Autant les uns ont le droit d’initier des pétitions, autant les autres ont le droit  et la liberté de faire une motion incidentielle. Maintenant, on considère que c’est devenu systématique  parce qu’on a le choix, on peut arrêter un procès en cours du processus, tout comme on peut attendre qu’on soulève des exceptions à la fin. Comme le collègue l’a dit, les questions qui sont parfois soulevées par certains collègues ne sont pas pertinentes ; certaines initiatives ne sont pas pertinentes, et que nous pensons que nous ne pouvons pas aller plus loin, autant les arrêter in limenilitis, c’est-à-dire tout au début. C’est ce qui s’est passé avec la motion de tout à l’heure, les collègues ont considéré qu’il n’était pas pertinent de l’inscrire dans l’ordre du jour, parce que les motifs qui sous-tendent la demande de déchéance du président de l’Assemblée nationale sont légers ; sont visiblement et ostentatoirement non pertinents, voilà pourquoi on a estimé que nous ne pouvions pas organiser de débat à ce sujet parce que ça serait une honte pour notre chambre. Et que, parce que c’est un droit reconnu à chaque député, le Président de l’Assemblée a accordé deux interventions pour, deux interventions contre la motion, et aux termes du débat le vote est allé dans le sens de rejeter la pétition, et c’est ça ce qui a été fait. C’est ça un peu le jeu démocratique. La démocratie, c’est ce jeu dialectique  entre la Majorité et l’Opposition. Cette dernière qui va chercher à bousculer, à aiguillonner et même à déranger la Majorité. Et, la Majorité à son tour fait tout pour que L’Opposition ne puisse pas gêner le fonctionnement des institutions, pour que la Majorité puisse gouverner, gérer le pays sans aucune entrave.

Le président est mis en cause, comment peut-il présider une plénière lui consacrée, n’est-ce pas une entorse ?

Ça aurait été une entorse si la séance d’aujourd’hui était pour qu’on examine le fond de la pétition. Mais aujourd’hui, c’était l’inscription à l’ordre du jour. De l’inscription, on peut inscrire un point à l’ordre du jour aujourd’hui pour l’examiner un jour, deux jours ou trois jours après. C’est au moment où, l’on veut entamer l’examen de ce point, le Président de l’Assemblée peut se retirer, même si dans une séance, une pétition est programmée, s’il y a des questions législatives ou d’autres questions de contrôle parlementaires qui ne le concernent pas lui, qui précèdent l’examen de la pétition, cette question même au cours d’une séance sont examinées sous la présidence du président de l’Assemblée nationale. Lorsqu’on veut entamer le point où il est concerné même en cours de cette séance-là, en ce moment, il se retire pour laisser la place au membre du bureau le plus pré-séant dans la salle.

Vicky Katumwa Mukalayi (députée nationale MP/Kalemie, Groupe parlementaire Terre d’Avenir)

Je suis intervenue pour appuyer la motion incidentielle, et rejeter la pétition pour un double caractère de cette incidence qui a heurté la conscience entant que députée nationale. Dans cette pétition, j’ai relevé à ce sujet le caractère à la fois vexatoire et téméraire de la pétition. Plusieurs accusations sont infondées. Le caractère vexatoire de cette pétition pour vous dire que les contrôles parlementaires que nous avons fait pendant cinq ans sont légion. Moi, même j’étais membre de plusieurs commissions d’enquête ; j’étais membre de plusieurs commissions de contrôle ; plusieurs fois membre de la commission d’enquête sur la fibre optique, sur la commission d’enquête sur la société AIFS en ma qualité de membre de l’Ecofin. J’ai été membre de la commission d’enquête sur la gestion du FPI qui a fait à ce que plusieurs autorités et gestionnaires ont été relevés de leurs fonctions. Je ne sais pas pourquoi les collègues soulèvent des choses qui existent ; qui ont été membres  des commissions. J’ai soulevé également le caractère téméraire où j’ai constaté qu’il a de l’acharnement. Pour ce faire, tous nous avons été élus, et je ne crois pas que nous allions cautionner la dictature ou le diktat de nos collègues de l’opposition. Faire croire que le Président de l’Assemblée nationale fait ombrage aux initiatives de l’Opposition c’est injuste. Aubin Mikau respecte le Règlement intérieur de notre chambre notamment l’article 29, point 10 ; 12, 14 et 15 qui lui donne les prérogatives de conduire le débat, et retirer la parole au député qui dépasse le temps lui accordé. Même, nous de la majorité il le fait. Pour preuve, ceux qui interviennent plus sont les collègues de l’Opposition et font entendre le contenu même de leurs interventions et parfois des injures vis-à-vis des membres du Gouvernement et autres mandataires de l’Etat. J’ai dit que nous devions nous assumer entant qu’élus et ne pas cautionner le diktat de l’Opposition dans cette salle.

Augustin Mbangama Kabundi (député national Membre de la PAJ, ancien juge à la Cour Suprême de Justice)

L’Honorable Nzekuye a fait cette motion pour montrer l’inutilité de faire examiner une pétition émotionnelle. On vous invite à être bref, vous faites la litanie de tout ce que l’Assemblée nationale a déjà fait, vous vous fâchez inutilement pour l’imputer au président de la Chambre. Ce sont des contrevérités que nous ne pouvons  admettre dans une chambre respectable comme la nôtre. Dans chaque chose, on commence par la forme. Savent-ils que nous sommes en politique et que chaque chose doit avoir une forme. Surtout  moi qui viens du judiciaire. Vous ne pouvez pas accéder aux arguments de quelqu’un, si  pertinents soient-ils, sans que vous n’ayez respecté la forme. On ne peut même pas vous le permettre de présenter vos arguments pertinents que cela puissent l’être. Il faut avoir la qualité, le délai requis, respecter la forme. C’est ce qu’on appelle préalables qui, au Parlement se font par motions ; tandis qu’en justice, on parle des incidents de procédure. Les amis de l’Opposition qui font ça ne respectent rien ; ils sont trop émotionnels. Ils évoquent la Constitution. Cette dernière n’organise pas les motions. Elle permet à la chambre législative comme la nôtre de contrôler le Gouvernement, les entreprises, etc. par les différentes initiatives parlementaires telle la question orale avec ou sans débat, la question écrite, question d’information, etc. qui sont des mécanismes constitutionnels mis à la disposition de notre chambre. Mais, ils sont organisés par le Règlement intérieur. L’Opposition n’a aucun droit, ni nous de la Majorité  de dissocier le Règlement Intérieur de notre Chambre à la Constitution. La forme, c’est le Règlement intérieur, et lorsqu’on baise la forme, on ne peut pas attaquer le fond. C’est un principe  universel. Nul ne peut interdire à un député qui a le moyen d’user de ses prérogatives réglementaires et constitutionnelles lorsqu’il estime que la procédure est biaisée. Peut-il estimer de poursuivre ou d’arrêter l’examen d’une matière s’il l’échait. Il faut dire qu’il y a même la hiérarchie dans la motion : motion d’ordre, de procédure, préjudicielle, incidentielle, de défiance, de censure  etc. d’entrée de jeu, lorsqu’on entame la matière et ceux qui l’ont examinée à l’avance vous diront qu’il y a vice de forme. Donc, on ne peut pas aller au fond parce que la forme est biaisée. Ce qui est arrivée à la pétition émotionnelle des amis de l’opposition. C’est ça ce qu’on appelle motion incidentielle que le Président de la Chambre soumet à la plénière souveraine. C’est cette dernière qui a un dernier mot, pas le Président de notre chambre, comme l’Opposition veut nous faire avaler la couleuvre. Il n’y a que des contrevérités et le président de l’Assemblée nationale n’a jamais décidé sur quoi que ce soit ; il a la police du débat et, d’ailleurs, il le fait plus en faveur de l’Opposition, plutôt qu’en notre faveur, nous de la Majorité. Celui qui a fait la pétition, il l’ fait sous le coup de la motion. Il allait nous mobiliser toute la journée pour écouter ses contrevérités ?   Lorsqu’on lui dit le temps accordé est imparti, il se fâche pour initier une pétition. Vous savez cher ami Pius, que dans d’autres chambres, comme en France, en Angleterre, le député prend la parole tout au plus pendant 2 ou trois minutes. Mais ici, certains collègues de l’opposition vont au-delà de 5 minutes. Et lorsqu’on lui retire la parole, il veut faire croire à tout le monde que notre président use de la dictature, alors que c’est eux qui abusent du temps. Notre ami Alonga voudrait qu’on lui donne toute la journée pour exposé ses émotions dans une chambre de 500 députés nationaux pour étaler ses connaissances d’avocat. Ici, c’est politique. Les juristes ont du mal à comprendre ce qui se fait politiquement parce que pour eux, c’est le droit judiciaire. Non, pas ici ! Il y a le droit politique qui a ses réalités.

(Pius Romain Rolland)

 

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Après la réunion de concertation avec le Comité exécutif de la Fédération congolaise de football association (FECOFA), la Commission de gestion de la Ligue nationale de football (LINAFOOT) qui a fait la remise et reprise avec l’ancien Comité de gestion s’est réunie à son siège pour examiner les voies et moyens de fixer la date du démarrage du championnat. Une date qui passe par l’étude des préalables des clubs. La Commission était pendant toute la semaine  en train de  passer  en revue le calendrier élaboré par l’ancien Comité de gestion  pour l’étudier et le discuter avec les clubs ce mardi 24 octobre dans la salle de conférence de la Fédération Congolaise de football association à 14h00’. La Commission de gestion s’est également penchée surtout sur le calendrier pour essayer de minimiser le coup de transport pour les lieux des compétitions au cas où un club voyage pour jouer dans une ville, il doit terminer à livrer toutes ses rencontres prévues dans la ville  comme Kinshasa et Matadi (Ouest), Lubumbashi, Mbuji-Mayi (Centre Sud), Bukavu, Goma et Kindu (Est).

(Gaby Mass)

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une vue d’un combat de judo (ph. Bolia)

-Précisions sur championnat en individuel catégorie senior (hommes et dames) de la Lijukin    

A l’Entente Urbaine de Judo de Kinshasa Est ‘’Eujk-Est’’, l’on ne connaît toujours pas le nom du second finaliste après la ½ finaliste du jeudi 19 octobre dernier au stadium des martyrs. Si le premier a pour nom St Robert qui avait battu Molokaï 3-2, la deuxième confrontation Onatra vs Tonya Tonya n’avait pas connu de fin normale. Emaillé des incidents au moment où Tonya Tonya menait au score 1-0, la rencontre n’avait pas connu une fin  normale.

*Les entités en concertation

Face à la situation sus évoquée,  les deux ententes  Eujk-Est et Eujukino4 étaient en réunion hier, avec  les associations sportives de judo encore en lice dans leurs championnats respectifs.

De cette réunion, le calendrier harmonisé se présente comme suit :

Mercredi 25 octobre 2017 : ¼  de finale de l’Eujukino4

  1. Cekam vs Sokashi :
  2. Ste M. Goretti vs Centrakin :

Jeudi 26 octobre 2017 : ¼ de finale Eujukino4

Eujk-Est 18è édition

Vendredi 27 octobre 2017 à 15h30

½ finale : Onatra vs Tonya Tonya :

Dimanche 29 octobre ½ finale de l’Eujukino4

Finale Eujukino4

Mercredi 02 novembre

Finale Eujk-ESt

Jeudi 03 novembre à 15h30

  1. Molokaï vs perdant de la rencontre du vendredi 27 octobre
  2. St Robert vs gagnant de la rencontre du vendredi 27 octobre

N.B : Toutes ces rencontres ont lieu à huis clos c’est-à-dire guichet fermé

De 9h00 à 10h00 : Pesée essaie

10h00 à 12h00 : Pesée officielle Stade Cardinal Malula

La compétition a lieu de 15h00 à 17h00 au stadium des Martyrs. Achat macaron obligatoire 3.000 FC + 1 photo passe port, athlètes et dirigeants pour accès à la compétition.

Ne peuvent accéder à l’installation que les membres des associations en compétition du jour dont les dix athlètes judokas ayant pris part à la pesée d’un président, d’un secrétaire sportif et d’un coach, tous porteurs des macarons d’accès délivrés par l’entité de leur appartenance. Ceci pour observer la discipline et l’application du règlement des compétitions en leur disposition.

*La Lijukin donne des précisions pour son championnat en individuel catégorie senior (hommes et dames)  

Par une note circulaire parvenue à la rédaction du journal L’Avenir, la Ligue de Judo de Kinshasa ‘’Lijukin’’que préside Me Eugène Aliwu Tshiam informe les judokas catégorie senior hommes et dames, qu’elle organisera du 06 au 08 novembre prochain, son championnat en individuel. Et cela conformément au programme ci-après :

Inscription : Du 12/10/2017 au 05/11/2017 de 09h00 à 16h00

Lieu : Dojo national au Stade des Martyrs

Droit d’inscription : 4.000 FC

Lundi 06/11/2017 : Pesée au Dojo national Stade des Martyrs de 10h00 à 16h00

Du mardi 07 au mercredi 08/11/2017 : compétitions de 10h00 à 17h00 au stadium de basket stade des Martyrs.

N.B :   les 4 premiers de chaque catégorie senior représenteront la ville de Kinshasa à la Coupe du Congo prévue au mois de décembre 2017, à Kinshasa.

De même, ils feront d’office  partie de la présélection des Léopards judo pour préparer le championnat d’Afrique qui aura lieu à Tunis, au mois de janvier 2018.

(Antoine Bolia)

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Josué MPaka Limba, un jeune humoriste qui  évolue aux  pieds de Ronsia, un humoriste congolais, nous fait un point sur l’humour selon  lui. Or, l’humour au départ, est un art qui a la forme d’ironie, il est à la fois plaisant et sérieux, soit sentimentale et satirise.

C’est quoi l’humour pour toi ?

Pour moi, l’humour est le seul métier où l’humoriste s’amuse ainsi que les spectateurs d’un côté et de l’autre l’humoriste fait un peu le même boulot que Dieu, qui est de donner le bonheur à une personne stressée, fâchée, triste, etc.

Pourquoi tu es devenu humoriste au lieu d’autre métier?

Au départ je n’étais pas humoriste, j’étais un jeune homme qui aimé suivre des vidéos d’humoristes, des gags et des filmés des comédies.  Vu que j’aime beaucoup voir les gens heureux, le bonheur des autres est aussi le mien, ainsi fait aussi mon bonheur à moi. Me voilà humoriste aujourd’hui pour donner à plusieurs le vrai bonheur sans qu’il fournisse beaucoup d’effort.

Qui t’a donné le gout de devenir humoriste ?

C’est Ronsia KUKIELUKILA, qui m’a donné le plus envie. Je le connue à KIMBANGU. Pour moi, c’est un grand frère, un ami et un confident.

Comment tu l’es devenu ?

En 2014, donc il y a 3ans passé que j’ai rencontré Ronsia, il m’a donné une formation en stand up comédie, sincèrement je tout appris chez lui. Il a formé un groupe des jeunes humoristes appelé Salop’arts de l’humour, cela que j’émerger jusqu’à aujourd’hui.

En fait, donné du bonheur aux gens ce n’est pas facile, cela sort du cœur. Il exige à ce que celui qui le donne doit être au départ heureux dans son intérieur et celui qui le reçoit, en riant il fait non seulement du bien à son corps et son âme, il nous laissé voir l’état de son intérieur.

Qu’avez-vous fait comme carrière et quel est votre niveau d’étude ?

J’ai trois ans de carrière. Donc trois années depuis que je bosse avec Ronsia dans le salop’art. je fais deux années en arts dramatiques et là je passé en troisième année de graduat où je faire le cinéma.

Qu’as-tu déjà fais comme présentation ?

Je fais les trois spectacles de « On est équipé » de drôle de samedi de Ronsia et toutes les fois que «  le drôle de samedi » est produit, je donne une prestation. Toutes les soirées « Sunday comedy ». Et enfin dans des BOOM que certaines écoles organisent.

Quel est votre analyse sur l’humour en RDC, particulièrement à Kinshasa ?

Je dire qu’en RDC, l’humour est parmi les arts qui n’ont pas encore atteint le summum. Ce n’est pas par manque de bons humoristes, car nous en avons. Je peux citer : Emmanu Tara, Ronsia Kuk, Yves César et tant d’autres. Le problème se situe au niveau où nous n’avons pas de salles adéquatés pour livrer des spectacles, il y a le problème de sponsoring  qui se pose, en plus, les meilleures conditions de travail ne sont pas réunies.

En outre, je crois que nous devons plus intégrer ou réintégrer la culture de se détendre et se divertir en RDC, parce que cette culture a perdu son vrai sens en RDC. Notre humour a vraiment besoin d’un coup de pousser, donne de la place à l’humour congolaise francophone de marque aussi son existence comme celui de lingala.

Quels sont vos rêves dans ce métier ?

J’aimerais bien devenir un jour un grand humoriste congolais. Devenir le Gradel Male de la RDC, devenir un humoriste international et être à même de prester en toutes les langues internationales.

Quels sont vos projets ?

Comme projet, si tout marche comme je l’espère, l’année prochaine, je produirai mon premier « One man show » et je compte produire chaque année au moins un « One man show » en tournée bien. je crois fermement que le meilleur est en venir

(Sarah Lukoji)

Dans le cadre de l’évaluation de l’accord de la Saint Sylvestre, l’Union pour la nation congolaise, parti cher à Vital Kamerhe, vient de faire une déclaration politique ce lundi 23 octobre 2017.

Il ressort de celle-ci que l’UNC retire son délégué, en la personne de Pierre Kangudia Mbayi du Gouvernement Tshibala. Concerté en amont, celui-ci devra laisser son fauteuil de ministre d’Etat au Budget.

La raison qui a milité en faveur de cette décision, renchérit le communiqué, c’est qu’après avoir constaté le retard dans le processus électoral, partant du calendrier électoral, l’UNC voit certaine  la non-tenue des élections au 31 décembre 2017. Pourtant, en effet, dit la déclaration, c’était en vue de l’organisation des élections dans les délais tels que voulus par ledit accord que ce parti avait pris part au Gouvernement.

Mais connaissant les réalités des politiques congolais, d’aucuns se demandent si Pierre Kangudia va obtempérer, ou s’il va rester au gouvernement sans mandat de son parti. D’autres encore le voient  lancer ‘’son UNC’’, ouvrant encore une fois la brèche de dédoublement des partis politiques. Mais au cas où il s’en allait, le poste restant vacant, ça pourrait être le moment de remanier le Gouvernement, comme on en parle de plus en plus dans les salons hupés. A défaut de Tshibala 2, si pas aller vers un autre formateur. Mais ce qui est certain, dans quelques heures, Kangudia s’en va.

Badi

Après deux mois de pourparlers, les professeurs de l’Université de Kinshasa, UNIKIN ont décidé de suspendre leur mouvement de grève  après  la rencontre avec le gouvernement, par le biais du ministre Steve Mbikayi. A les en croire, ils ont trouvé  un compromis autour de leurs revendications.

La décision a été rendue publique le samedi au cours de l’assemblée générale de l’APUKIN, Association des professeurs de cette université publique. Selon son président le professeur Antoine Kitombole,  les activités pourront reprendre déjà ce lundi 23 octobre 2017. Toutefois, précise-t-il, ils attendent voir en même temps la bonne foi du gouvernement jusqu’à la fin de ce mois d’octobre.

Badi