En perspectives des prochaines élections: Minaku mobilise les communicants de la MP

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Le Secrétaire général de la Majorité présidentielle, l’honorable Minaku Ndjalandjoko, a réuni hier les communicants de la Majorité présidentielle, de facto du Front commun pour le Congo (FCC), afin d’échanger avec eux et définir ensemble les éléments de langage, à l’approche de la date du 23 décembre 2018. Date à laquelle les Congolais  se rendront aux urnes, en vue des  élections combinées (présidentielle, législatives nationales et provinciales). Ne dit-on pas que quiconque veut aller loin ménage sa monture ?

L’occasion était aussi indiquée pour dire à l’intention des communicants que comme le chef de l’Etat est devenu le modèle par excellence du respect de la Constitution, tous les Congolais, surtout les candidats à la présidentielles et à la députation nationale et provinciale, devraient eux-aussi respecter la Constitution et les institutions de la République.

 « Le président Joseph Kabila qui avait promis le respect de la Constitution, a fait une éloquente preuve du respect de la celle-ci. Pour rappel, en effet, le président de l’Assemblée nationale, l’honorable Aubin Minaku Ndjalandjoko avait lancé, deux ans plutôt, la Centrale électorale de la Majorité présidentielle pour la victoire aux élections. Aujourd’hui que le Front Commun pour le Congo (FCC) a un candidat désigné par ses pairs et entériné par l’Autorité morale, en tant que signataire de la Charte du FCC, il nous réunit régulièrement pour que nous puissions définir la stratégie et les éléments de langage, pour que nous puissions déjà bien communiquer dans l’intérêt de la nation congolaise et dans le respect de la Constitution », a indiqué Serge Kadima, un des communicants de la MP.

A l’en croire, Aubin Minaku a évoqué la question en rapport avec un état de droit. C’est ce que le chef de l’Etat et certains acteurs politiques ont fait. Et de rappeler que la CENI a invalidé les candidats députés nationaux de la Majorité présidentielle, de même que certains membres du gouvernement. Nous nous inclinons parce que c’est une volonté constitutionnelle et celle des institutions de la République. Dans un Etat de droit, ajoute-t-il, nous sommes obligés de respecter les institutions de la République, et c’est ce que nous a rappelé le Secrétaire général de la Majorité présidentielle.

Tout le monde doit se plier devant la loi

Soulignons qu’au cours de cette réunion avec les communicants de la Majorité présidentielle, Aubin Minaku leur a dit un certain nombre de choses fondamentales, notamment les  piliers de la démocratie qui sont mis à l’épreuve pendant cette période pré- électorale qui  arrive à pas de géant. Pour Yves Kisombe, un autre communicant, l’Etat de droit doit être le socle commun, que l’on soit de la Majorité présidentielle ou de l’opposition politique. « Promouvoir l’Etat de droit, c’est soutenir le respect de la constitution et des institutions. Le chef de l’Etat a été l’exemple par excellence. Concernant le respect de la constitution (nationalité), la règle doit être nécessaire par tous, qui que l’on soit », insiste-t-il.

Pour lui, aucune considération politique ne doit primer, par exemple le fait que vous soyez impliqué dans une question judiciaire, qu’il s’agisse d’ordre moral ou autre, faux en écriture ou détournement. Tout cela démontre que l’état de droit s’impose à tous. En France, donne-t-il l’exemple, François Fillon, candidat en tête de sondages, a été freiné par la justice qui a suivi son cours. Qui que l’on soit, lorsqu’on a des responsabilités publiques, on doit être exemplaire.

Et d’insister sur le fait que tous ceux qui ont une nationalité étrangère, doivent subir la rigueur de la loi par rapport à leurs candidatures et par rapport aux fonctions officielles. C’est tout cela la promotion de l’Etat de droit. Par rapport au soutien au processus électoral, Aubin Minaku a affirmé qu’aucun plan ne va nous détourner de ce but patriotique. Et les élections auront lieu le 23 décembre 2018, c’est la volonté du président de la République et des institutions et nous FCC nous nous inscrivons dans ce chemin-là. Surtout que beaucoup sont des compatriotes qui ont insisté et ne juraient que sur la tenue des élections à la date indiquée par la CENI.

Il a terminé par dire que tout le monde  doit respecter les décisions des juridictions du pays. Le recours interjetés, c’est en filigrane l’acceptation des décisions de la cour. Voilà pourquoi nous appelons au respect des décisions de la justice et des institutions.

JMNK

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